Bonjour Ă tous, je suis Aylin d’Izmir. Lorsqu’un homme cĂ©libataire a emmĂ©nagĂ© dans l’appartement vide d’Ă cĂŽtĂ©, nous avons d’abord pensĂ© qu’il Ă©tait Ă©tudiant. Ensuite, nous avons dĂ©couvert par les voisins qu’il Ă©tait un homme d’affaires, il s’est avĂ©rĂ© qu’il Ă©tait venu Ă Izmir pour travailler et s’Ă©tait installĂ© ici. Notre voisin Ă©tait un jeune et bel homme. Quand on se disait de petites salutations entre nous et quelque chose comme ça, j’ai commencĂ© Ă me poser de plus en plus de questions. DĂ©c. Nous, les femmes, sommes curieuses, nous nous demandons Ă quoi ressemble l’homme de prĂšs, comment l’intĂ©rieur de sa maison est meublĂ©, etc. Un jour, je n’ai pas trouvĂ© le chargeur de mon tĂ©lĂ©phone portable et mon mari Ă©tait parti travailler. J’ai frappĂ© Ă la porte de mon voisin pour lui demander d’emprunter un chargeur. Il m’a invitĂ© Ă entrer et a dit â ” J’ai ça.”il a apportĂ© son propre chargeur de tĂ©lĂ©phone, en disant. Mais leurs marques Ă©taient diffĂ©rentes, ça ne correspondait pas Ă la mienne. Je l’ai remerciĂ©, j’ai jetĂ© un coup d’Ćil autour de moi et je suis parti. Ainsi, j’ai aussi un peu soulagĂ© ma curiositĂ©.
Une fois, la nuit, un invitĂ© est venu dans l’appartement voisin, comme cela ressortait clairement des bruits. Quand j’ai rĂ©alisĂ© par la voix de l’invitĂ© entrant qu’il s’agissait d’une dame, mon mari Ă©tait Ă©galement curieux et a frappĂ© Ă la porte du voisin sous prĂ©texte de demander si l’eau coulait. Mon mari m’a dit quand il est revenu, notre voisin a accueilli mon mari trĂšs agrĂ©ablement, âC’est un homme trĂšs gentil!”dit-il. Quoi qu’il en soit, quand il Ă©tait l’heure de se coucher, nous sommes allĂ©s dans notre chambre. Mon mari et moi avons une bonne vie sexuelle (du moins je le pensais!), on baise presque tous les soirs, au revoir, on jouit pour s’amuser. Cette nuit – lĂ , mon mari et moi avons fait l’amour fou et baisĂ© Ă nouveau, mon mari a rempli tous les trous en moi. Plus tard dans la nuit, il y avait des bruits de gĂ©missements fous venant de l’appartement voisin. Nos chambres Ă©taient adjacentes et les murs de terrasse Ă©taient minces parce qu’ils Ă©taient faits de matĂ©riaux d’entrepreneur. Bien que mon mari soit une personne trĂšs jalouse, il a dit â ” AllĂ©luia Ă notre voisin, si le mec a une sorte de bite, il la frappe bien, il a officiellement rompu la femme!”dit-il. C’Ă©tait bizarre Ă l’intĂ©rieur, ma chatte Ă©tait officiellement mouillĂ©e. Je suis sortie sur les genoux de mon mari, je l’ai fait me frapper Ă nouveau dans la chatte, imaginant mon voisin.
Notre voisin Ă©tait un gentil garçon avec une barbe sale, des sourcils noirs, des yeux noirs, chaque fois qu’il me voyait, il disait bonjour, baissait le cou, il Ă©tait trĂšs gentil, mais diffĂ©rentes dames venaient tout le temps chez lui. Il Ă©tait Ă©vident que les dames qui venaient Ă©taient de grande qualitĂ©, c’Ă©taient des femmes ordinaires et non des putes. Chaque fois qu’un invitĂ© venait, j’allais dans la chambre et j’Ă©coutais, il n’y avait pas besoin de coller mon oreille au mur, les femmes qui venaient se lamentaient comme un bĆuf, âTrĂšs Ă©pais, entrez lentement!”et puis il dit â” Ăa fait mal, mais, putain, ne me l’enlĂšve pas!”il criait. Ce que j’ai le plus aimĂ©, c’est qu’il avait l’air trĂšs magistral de l’extĂ©rieur, et tout comme nous Ă©tions excitĂ©s au lit, et ils juraient en baisant les femmes qui entraient. Maintenant, je commençais Ă ĂȘtre jalouse des femmes qui venaient et pour la premiĂšre fois, je voulais quelqu’un d’autre que mon mari. J’avais dĂ©cidĂ© quoi faire et j’allais me faire baiser par mon voisinâŠ
Mon voisin n’allait pas travailler le matin le lundi. DĂšs que mon mari a pris son petit-dĂ©jeuner et est parti travailler, j’ai frappĂ© Ă la porte de mon voisin. AprĂšs avoir Ă©changĂ© des salutations, il a dit: “Je pense que l’antenne parabolique de notre satellite est revenue, il n’y a pas d’image, si vous ĂȘtes disponible, puis-je regarder l’Ă©mission du matin avec vous?J’ai dit. “Bien sĂ»r, entrez!”il a dit et m’a invitĂ© Ă entrer. J’Ă©tais habillĂ©e de façon dĂ©contractĂ©e, mais les contours de mon corps Ă©taient Ă©vidents, je portais un pantalon de survĂȘtement rose moulant en dessous, une culotte string blanche Ă l’intĂ©rieur, je portais un soutien-gorge en dentelle sur mes seins et je portais un T-shirt avec une sangle (mes seins des annĂ©es 90 sont droits, ma hanche est un peu sortie et ma chatte est charnue). Quoi qu’il en soit, nous sommes entrĂ©s, et il portait un survĂȘtement bleu marine et un T-shirt blanc. La taille de sa bite Ă©tait Ă©vidente Ă partir de son pantalon de survĂȘtement, sa bite duveteuse s’affaissait comme une bite de cul. Il a allumĂ© la chaĂźne que je voulais, a demandĂ© deux minutes de repos, est entrĂ© dans la piĂšce et a mis un jean en dessous. J’avais l’impression que j’aurais aimĂ© qu’elle ne s’habille pas en jean, ma chatte Ă©tait dĂ©jĂ arrosĂ©e.
Mon voisin a fait du thĂ©, l’a apportĂ©, nous nous sommes assis ensemble en regardant la tĂ©lĂ©vision, en mĂȘme temps nous avons commencĂ© Ă discuter. Il avait le sang chaud. Quand la conversation a beaucoup progressĂ©, j’ai dit â ” Tu travailles dur…”. “Comment le sais-tu?”quand il a dit :”Tu vas toujours travailler, parfois tu rentres tard Ă la maison, et quand tu es Ă la maison, tu ramĂšnes du travail Ă la maison, je suppose?J’ai dit. “Non, tu te trompes, je n’apporterais jamais de travail Ă la maison!”dit-il. “Je parle d’autres choses! Certaines nuits, vous entendez des bruits de votre chambre jusqu’au matin!J’ai dit. “Haaa!”aprĂšs avoir dit, il a penchĂ© la tĂȘte en avant et a dit â” Je pense que j’ai causĂ© de l’inconfort, je suis dĂ©solĂ©!”dit-il. “Non, tu n’as pas besoin de t’excuser, au contraire, j’aime ça!J’ai dit. “DĂ©solĂ© de ne pas avoir compris?”dit-il. J’ai Ă©cartĂ© les jambes et j’ai pointĂ© sa bite moelleuse, qui Ă©tait visible par-dessus son jean, et j’ai dit: âEst-il trop gros?”J’ai demandĂ©. Il a compris mon intention, il a dit â ” DĂ©cidez par vous-mĂȘme!”il s’est levĂ© et s’est assis Ă cĂŽtĂ© de moi en disant. J’ai mis ma main sur sa bite et j’ai dit: âĂa ne se sent pas plein Ă cause d’un jean!”j’ai ditâŠ
“Laisse-moi remettre le survĂȘtement alors!”dit-il. “Tu ne devrais pas l’habiller aussi?”quand j’ai dit: “Non, je ne te le donnerai pas tout de suite sans m’embrasser!”il a dit, il est allĂ©, a mis son survĂȘtement, est venu, s’est de nouveau assis Ă cĂŽtĂ© de moi. Quand j’ai tendu la main, sa bite, qui Ă©tait dĂ©jĂ grosse, a commencĂ© Ă grossir encore plus. Cela n’aurait pas pu arriver, sa bite Ă©tait si Ă©paisse que je ne pouvais pas saisir sa bite avec ma main. Je voulais monter sur ses genoux, ” Non, pas encore!”il a dit et m’a attrapĂ© par les cheveux et a tirĂ©. Puis il a Ă©tĂ© pressĂ© contre mes lĂšvres. Il me mordait littĂ©ralement les lĂšvres, suçait ma langue et crachait dans ma bouche de temps en temps. DĂ©c. Il a enlevĂ© mon T – shirt, il me suçait le cou en disant: “Ne me fais pas d’ecchymoses s’il te plaĂźt!â Je ne pouvais que dire. Et il ne s’est jamais souciĂ© de mon soutien-gorge, Caart! il l’a dĂ©chirĂ©. âJ’aime ça dur aussi, mais mon mari ne peut pas!J’ai dit. “Je sais que tu aimes ça dur, certaines nuits ta voix me vient aussi et je t’entends dire baise plus fort!”dit-il. “Et tu peux me baiser plus fort?”quand j’ai dit â”Vous verrez dans une minute!ditâŠ
AprĂšs avoir longtemps pris soin de mes seins, les avoir lĂ©chĂ©s et sucĂ©s, il a atterri sur les cĂŽtĂ©s infĂ©rieurs. Il prenait ma chatte dans sa bouche par-dessus mon pantalon de survĂȘtement, mordant. Le devant de mon survĂȘtement rose Ă©tait littĂ©ralement trempĂ© d’eau coulant de ma chatte. Quand il a enlevĂ© mon pantalon de survĂȘtement et a vu ma culotte string, il a dit: “Oui, c’est ça!”dit-il. âQu’est-ce que c’est?J’ai dit. “J’en ai marre des strings, ça m’excite comme un fou, je peux baiser sans l’enlever!”dit-il. âĂa m’excite de vous faire gĂ©mir aussi, putain de femmes!J’ai dit. âNe t’inquiĂšte pas, je vais te faire gĂ©mir aussi!”alors il a Ă©cartĂ© mon string et a beaucoup lĂ©chĂ© les cĂŽtĂ©s de ma chatte, l’a embrassĂ©. Il apprĂ©ciait ça. Je n’ai jamais vu mon mari me lĂ©cher la chatte comme ça, mon mari parle deux langues, il baisait directement. Mais mon voisin a lĂ©chĂ© pendant environ une demi-heure sans se fatiguer et sans pause, et j’ai Ă©jaculĂ© plusieurs fois entre-temps. DĂ©capitation. DĂ©capitation. dĂ©capitation. dĂ©capitation. C’Ă©tait l’heure des lĂšvres de ma chatte, il suçait les lĂšvres de ma chatte, pinçait et tirait avec ses dents, circoncisait. “Mets ta langue dans ma chatte!”quand j’ai dit: âNon, ma bite va entrer lĂ -dedans!”il a dit et a commencĂ© Ă sucer l’endroit que j’apprĂ©cie le plus, c’est-Ă -dire mon clitoris. Quand il a lĂ©gĂšrement enfoncĂ© ses dents dans mon clitoris, mon cul a officiellement quittĂ© le siĂšge, j’Ă©tais en l’air. Il allait si bien que mĂȘme si ses dents se touchaient, ça ne faisait pas mal (je sais que mon mari a mal avec sa langue).
J’aimais tellement ça que je voulais me faire baiser le plus tĂŽt possible â ” Allez, va te faire foutre!J’ai dit. “Attendez, il y a plus!”il a dit et a levĂ© mes hanches en l’air, a mis sa langue contre le trou de mon cul. Pas un tel plaisir, depuis combien d’annĂ©es suis-je mariĂ©, et ce fils de pute qui deviendra mon mari ne l’a jamais fait, il pourrait me coller sa bite dans le cul sans me lĂ©cher le cul, me doigter, et parce que mon cul est serrĂ©, il jouirait tout de suite. Je veux dire, je ne savais rien de mon cul baisĂ©. Mais mon voisin n’Ă©tait pas comme mon mari, il me doigtait le cul, suçait mon pucker, le suçait comme une ventouse, crachait dans mon trou du cul, lĂ©chait et suçait Ă nouveauâŠ
Il a arrĂȘtĂ© de me lĂ©cher le cul et s’est dĂ©shabillĂ© et est venu Ă ma tĂȘte, a mis sa bite dans ma bouche jusqu’Ă mes lĂšvres. Il avait une grosse ossature, sa tĂȘte Ă©tait Ă©norme comme une tĂȘte de champignon, son torse Ă©tait veinĂ©. Ce n’Ă©tait pas trĂšs long, mais c’Ă©tait trop Ă©pais. Il m’a attrapĂ© par les cheveux, ” Ouvre la bouche, salope!”il l’a mis jusqu’Ă ma gorge et a commencĂ© Ă me baiser la bouche. “Eh bien, ouvre la bouche, salope Ă la bouche de con!”plus j’en disais, plus je le prenais dans ma bouche avec appĂ©tit. Puis il a pris mes jambes sur son Ă©paule, a mis la tĂȘte de sa bite contre le trou de ma chatte, mais ne l’a pas mise dedans, il me lĂ©chait les seins. “Soooooo!â je suppliais, il m’avait officiellement rendu malade dick. Je l’ai giflĂ© dans ma colĂšre et lui ai dit: âRange-le! J’en ai marre d’imaginer ta bite dans ma chatte et de me doigter la chatte pendant que tu baises d’autres femmes!J’ai dit. âTu veux une bite, Salope? VoilĂ ta bite!”il a dit et a tenu si fort que j’avais l’habitude de penser que ma chatte Ă©tait large parce que je baisais mon mari tous les soirs, et que mon mari apprĂ©ciait mon cul Ă©troit Ă cause de cela, il s’est avĂ©rĂ© que ma chatte n’Ă©tait pas large, mais celle de mon mari Ă©tait petite.
Quand mon voisin a enracinĂ© sa grosse bite dans ma chatte, mon souffle s’est arrĂȘtĂ© et je ne pouvais pas avaler. Ăa ne pouvait pas ĂȘtre une chose aussi intĂ©ressante, mais sa grosse bite remplissait complĂštement ma chatte, ma chatte n’avait plus de place pour respirer. Comme si cela ne suffisait pas, quand elle m’a fait croire qu’elle voulait mettre ses couilles dedans, j’ai pensĂ© que ma chatte se dĂ©chirait officiellement. J’ai ressenti de la douleur et du plaisir en mĂȘme temps. Il prenait mes doigts dans sa bouche, me suçait les doigts, baisait ma chatte par le bas en la pompant rapidement, parfois il Ă©tait vraiment excitĂ©, me serrait les seins comme s’il allait les arracher. Puis il m’a tournĂ© sur le cĂŽtĂ© et a continuĂ© Ă me baiser. Ma chatte Ă©tait comme un hamburger d’ĂȘtre baisĂ©e. Il Ă©tait tellement gentil, et ses rythmes Ă©taient super. J’avais des orgasmes les uns aprĂšs les autres d’un cĂŽtĂ©, et de l’autre, je disais: âTire, mon amour! Leurre! Tire, mon homme! Tire, mari! je gĂ©missais “âŠ
aprĂšs 20 minutes, ma chatte est engourdie de ne plus ĂȘtre baisĂ©e, je ne suis plus en forme, ” Ăa suffit, mon amour, ma batterie est Ă©puisĂ©e! Tu divorces aussi!â J’ai commencĂ© Ă mendier. Et mon voisin a dit :”Je vais tellement charger ta batterie qu’elle durera au moins une semaine!”alors soudain, il a sorti sa bite de ma chatte et m’a retournĂ© et l’a tordue. Puis il a crachĂ© dans mon trou du cul et a mis la tĂȘte de sa bite dessus et s’est accrochĂ© jusqu’Ă ce qu’il les pique tous, chargeant le tour. Bien sĂ»r, je meuglais comme un bĆuf, comme ces putains de femmes, et je me disais â ” Trop Ă©pais, lent, attends une minute, tu m’as dĂ©chirĂ© le cul!â Je suppliais. Et mon voisin a dit: “Tais-toi, putain de salope, tu voulais te faire dĂ©foncer, en voilĂ une dure pour toi!”en disant, il n’arrĂȘtait pas de me baiser le cul qui pĂšte. aprĂšs m’avoir baisĂ© le cul comme ça pendant 15 minutes, il est venu sur mon cul. Quand il a sorti sa bite de mon cul, le trou dans mon cul Ă©tait tellement agrandi et ouvert qu’une tasse de Raki exagĂ©rĂ©e s’adapterait confortablement!
Vers midi, alors que mon voisin allait travailler, je suis allĂ© chez moi d’une maniĂšre misĂ©rable. Ma chatte me faisait officiellement mal au cul. Le soir, alors que mon mari voulait naturellement baiser (comme tous les soirs), j’ai vidĂ© mon mari avec ma bouche sous prĂ©texte que j’Ă©tais trĂšs malade. La charge de mon voisin a vraiment disparu pendant une semaine, alors j’ai vidĂ© mon mari avec ma bouche tous les soirs pendant une semaine. La douleur dans ma chatte et mon cul a durĂ© une semaine!