film Ă la tĂ©lĂ©vision stasera Jâattends Ă lâarrĂȘt de bus pour rentrer Ă la maison. Je frissonne Ă lâintĂ©rieur, un rhume qui pĂ©nĂštre dans la moelle des os dâune personne . Rentre chez toi, allume le poĂȘle, essaie de te rĂ©chauffer, jâai encore plus froid quand je pense Ă toutes sortes de problĂšmes. AprĂšs un long moment passĂ© comme ça, le bus arrive et je saute dessus. ComparĂ© au bus dehors, il fait relativement chaud, je dĂ©tache un peu mon hijab, en termes modernes, mon turban. Je regarde dehors, il y a des amas de neige par endroits. Un arrĂȘt plus tard, une jeune fille est assise Ă cĂŽtĂ© de moi dans un bus qui avance lentement et sâarrĂȘte Ă lâarrĂȘt. Bonjour ⊠nâest-il pas froid, madame ? Oui, chĂ©rie, je ne sens vraiment toujours pas mes orteils froids. Au fur et Ă mesure que la conversation avance, elle avance, elle descendra au campus de la facultĂ© 3 Ă 5 arrĂȘts aprĂšs moi, je suppose que cette fille Ă©tudie probablement lâinternat. Je suis probablement en train dâennuyer la fille en lui disant que je vis aussi seule, que je viens de divorcer, que jâessaie de mâhabituer Ă la solitude ou quelque chose du genre, mais que puis-je faire, parler mâĂ©loigne un peu de mes problĂšmes; câest plus proche de moi que des hommes, aprĂšs tout, je suis pareil. Alors que nous nous rapprochons de lâarrĂȘt oĂč je vais descendre, notre conversation sâamĂ©liore et je ne veux pas partir, et il reste encore beaucoup de temps pour le dernier bus ; viens, chĂ©rie, allons prendre une soupe chaude et ensuite je tâemmĂšnerai Ă lâarrĂȘt de bus, et il me suit sans faire de bruit. Nous essayons de rentrer chez nous en traversant les routes boueuses de notre rue. MĂȘme si nous sommes rentrĂ©s Ă la maison, la maison est encore plus froide de lâextĂ©rieur, comme si elle Ă©tait dĂ©jĂ remplie, jâallume le poĂȘle que jâai laissĂ© prĂȘt, nous sommes tous les deux au poĂȘle, nous frottant les mains qui sont sur le point de geler, essayant de garder au chaud.Jâouvre mon manteau et mon foulard, exprimant que je mâĂ©chauffe un peu. Mon invitĂ© dit quâil a encore froid, que ses doigts ne se sentent pas dĂ©cemment et je prends ses mains entre mes mains . Quand il demande sâil y a un changement, il dit ehh, mais nos mains sont entrelacĂ©es . Je pense que ça a un peu chauffĂ©âŠ.. il enlĂšve son turban, enlĂšve son manteau, ou plutĂŽt sa couche de finition de ses Ă©paules et lâaccroche Ă un cintre .Comment ça va maintenant? Ma bonne SĆur, un peu mieux, crois-moi, jâai cru que jâallais mourir de froid .Jâai immĂ©diatement commencĂ© Ă prĂ©parer de la soupe, puis du cafĂ©, puis du thĂ©, et nous avons Ă©tĂ© tellement pris dans la conversation. Il saute parce que le bus est Ă 5 minutes, puis moi, mais peu importe Ă quel point il fait froid dehors, nous arrivons Ă lâarrĂȘt, mais il siffle ou quelque chose du genre, le nĂŽtre est, que puis-je dire, enturbannĂ© et facultatif, mais le bus sâenfuit en vain. Reste chez moi, ma chĂ©rie, câest un peu Ă lâĂ©troit ce soir, mais on verra demain, tu peux y aller demain matin si tu veux. On rentre chez moi ensemble; tant pis, câest bien que tu aies ratĂ© le bus, sinon tu ne serais mĂȘme pas revenu vers moi. Dâaccord, ma sĆur, une boue sur ma joue ⊠Lâhorloge tourne, on va se coucher ⊠on va se coucher, mais je nâai quâun lit simple Ă la maison.. Je vais dormir par terre Ă cĂŽtĂ© du poĂȘle, tu dors sur le lit, chĂ©rie . Soeur, pas au monde, tu vas tomber malade, dormiras-tu par terre dans lâapocalypse cet hiver. Quoi quâil en soit, la voie du milieu est de dormir ensemble dans un lit simple . Que va-t-elle porter au lit, ma fille, ce que je lui ai donnĂ©, Ă part mes chemises de nuit . Elle a une peau blanche et lisse qui nâa jamais vu le soleil , un ventre oĂč la preuve quâelle nâa jamais accouchĂ© est Ă©vidente, un ton de voix doux qui sent la miss âŠâŠ elle a des traits plus expressibles .. Bref, on va se coucher, mais la tempĂ©rature du poĂȘle est probablement passĂ©e, mon invitĂ© recommence Ă avoir froid . Lorsque nous essayons de ne pas nous toucher dans un lit simple, nous devons bien nous serrer dans nos bras Ă cause du froid. Ses seins comme des pierres, touchant mes seins, Ă©crasant presque les miens ; Je comprends que ta jambe soit mouillĂ©e quand tu mets quelquâun entre mes jambes, et tu as dĂ» transpirer, je suis dĂ©cemment secouĂ© par la rĂ©ponse de Yoo quand tu dis que je suis belle. Quoi, si tu ne transpires pas du tout, pourquoi es-tu mouillĂ© ? Je ne sais pas, mais je suis tellement excitĂ© quand tu fais un cĂąlin comme ça, Soeur !⊠Fille, comment sais-tu comment ĂȘtre excitĂ©e, comment ĂȘtre excitĂ©e, etc. ⊠JâĂ©crase la littĂ©rature. Soeur dit crois-moi, jâai Ă©tĂ© mĂ©chante, mais de toute façon, je termine la conversation en disant allons nous coucher. Nous allons au lit et je mâendors immĂ©diatement dâĂȘtre la mĂȘme avec une fille chaude, je pense que quelques heures plus tard mon sommeil est interrompu par le balancement du lit et notre fille se masturbe . Je ne supporte pas ça, et je lâaide dans son travail en lui frottant le cou et en lâembrassant de temps en temps. Tout dâun coup, nous sommes nus au lit et je lĂšche tes cuisses couleur fromage en conserve; Je lĂšche entre tes jambes, ça continue, ça continue, cette fille ne peut pas ĂȘtre laissĂ©e comme ça, quand je dis es-tu une fille, Je suis heureux quand tu dis non, parce que jâadore doigter. Je ne suis pas une fille, Je ne suis pas une fille, Je ne suis pas une fille, Je suis une fille, Je suis une fille, Je suis une fille, Je suis une fille, DĂ©c. Quand je dis un deux trois doigts, je fais la fille comme par la force, Dâailleurs, je lui rappelle sans nĂ©gliger, demain est un jour fĂ©riĂ© de toute façon, ma beautĂ© . DĂ©c. Nous ne partons jamais le week-end, pas seulement ce week-end, mais tous les week-ends tout au long de la vie de la facultĂ©