Nous sommes partis immĂ©diatement le lendemain. Nous sommes arrivĂ©s chez notre parent au village, mais lâĂ©tat de leur maison Ă©tait dĂ©plorable, ils avaient une chambre et un hall. Bien quâils nâĂ©taient que mari et femme, et câĂ©tait suffisant pour eux. Et parce que nous sommes partis sans appeler ma mĂšre, ils ont naturellement Ă©tĂ© pris au dĂ©pourvu. Je me suis souvenu quand je les ai vus, ils sont venus chez nous Ă Ankara, le nom de la femme Ă©tait GĂŒlĆah. AprĂšs nous avoir laissĂ© entrer, il a immĂ©diatement prĂ©parĂ© le dĂźner. La nourriture Ă©tait mangĂ©e, il y avait des conversations, nous buvions nos thĂ©s et la fatigue du voyage nous rendait tous somnolents. Tante GĂŒlĆah a soudainement dit: âOh, quâallons-nous faire maintenant, il y a deux lits pour dormir pour vous, mais vous ĂȘtes trois?âdit-il. Ma mĂšre a fait irruption dans le mot ,â Divine Gulshah, quâest-ce qui ne va pas avec ça, je dors avec mon mal, Akin est le seul qui dort!âdit-il. On a dit que la solution avait Ă©tĂ© trouvĂ©e, ils ont immĂ©diatement jetĂ© deux matelas dans le couloir et prĂ©parĂ© nos siĂšges. Les lits Ă©taient cĂŽte Ă cĂŽte, donc ils Ă©taient unis. Ma mĂšre sâest couchĂ©e au fond, ma belle-sĆur est allĂ©e au milieu et je me suis couchĂ©e toute seule. Ma mĂšre mâa prĂ©venu: âĂcoute, tu te couches trĂšs folle, fais attention Ă ne pas venir Ă nos cĂŽtĂ©s la nuit!âil a dit:â nous avons tous ri ensemble. Mais quand il a dit ça, des sentiments Ă©tranges se sont rĂ©veillĂ©s en moi pendant un moment. Puis nous nous sommes endormis en Ă©teignant la lumiĂšreâŠ
Les lits sont cĂŽte Ă cĂŽte, ma belle-sĆur est allongĂ©e sur le dos, quand jâai regardĂ© subrepticement vers ma belle-sĆur, jâai vu ses seins vivants lever les yeux en lâair dans sa fine chemise de nuit et jâai Ă©tĂ© excitĂ©e. Mais jâavais tellement sommeil que je dormais avec une main sur ma bite. Je me suis rĂ©veillĂ© la nuit, jâavais soif, je me suis levĂ©, jâai bu de lâeau de la cuisine et je me suis allongĂ© sur le lit somnolent. JâĂ©tais comme ivre, je me suis couchĂ© sans regarder Ă ma droite ou Ă ma gauche, et jâai senti ma main frapper quelque part. Lâendroit oĂč jâai frappĂ© Ă©tait la jambe de ma belle-sĆur. Jâai immĂ©diatement ouvert les yeux et jâai vu que ma belle-sĆur dormait entre son transat et mon lit. Je perdais le sommeil. Jâai lentement regardĂ© sous la couverture, ma belle-sĆur mâa tournĂ© le dos et a levĂ© son cul vers moi comme une pastĂšque. Jâai Ă©galement approchĂ© ma belle-sĆur Ă fond, connaissant lâopportunitĂ© pour ma belle-sĆur dâentrer dans mon lit. Ma bite Ă©tait comme un pieu. Cependant, jâai trouvĂ© un peu de courage en disant que la moitiĂ© Ă©tait dans mon lit, puis je me suis un peu rapprochĂ©. Maintenant, la tĂȘte de ma bite touchait le cul de ma belle-sĆur. JâĂ©tais tellement excitĂ©e. Il nây avait aucun mouvement chez ma tanteâŠ
Je me suis approchĂ© de ma belle-sĆur, qui est maintenant Ă mi-chemin de mon lit, et jâai mis ma bite Ă plat entre son Ă©norme cul DĂ©cembre. Ma belle-sĆur avait une fine chemise de nuit sous elle et il lui Ă©tait impossible de ne pas sentir ma bite. Je suis allĂ© trĂšs loin et je me suis accrochĂ© Ă ma belle-sĆur, mais je ne pressais pas beaucoup mon corps, je ne veux pas que ma belle-sĆur se rĂ©veille. Quand je ne pouvais pas me contrĂŽler et que jâĂ©tais complĂštement coincĂ© et que je devenais un seul corps avec ma belle-sĆur, ma belle-sĆur a soudainement bougĂ© et a tournĂ© son visage vers moi. Je plissais les yeux comme si je dormais, regardant ma tante Ă travers mes paupiĂšres. DĂ©c. Ma belle-sĆur Ă©tait rĂ©veillĂ©e, mais elle Ă©tait dans mon lit, elle ne pouvait rien dire, elle a immĂ©diatement fait ses valises et est allĂ©e dans son propre lit. JâĂ©tais dĂ©sespĂ©rĂ©e, il nây avait plus rien Ă faire, mais jâĂ©tais aussi excitĂ©e Ă un degrĂ© Ă©trange. aprĂšs avoir fait semblant de dormir en restant immobile pendant 10 Ă 15 minutes, je suis allĂ© du cĂŽtĂ© oĂč ma belle-sĆur Ă©tait allongĂ©e et bientĂŽt je me suis retrouvĂ© derriĂšre elle. Je lui tendis une main sans hĂ©sitation, ma main Ă©tait sur son Ă©paule. Ma belle-sĆur Ă©tait rĂ©veillĂ©e et me regardait la tĂȘte haute. Et je ne lâai pas donnĂ© aux corrompus, mais jâĂ©tais Ă©tonnĂ©, ma main Ă©tait sur ma belle-sĆur, et elle ne lâavait pas baissĂ©eâŠ
Ma belle-sĆur a rapidement remis sa tĂȘte sur lâoreiller et a tendu son cul vers moi depuis son propre lit dâun seul geste. Alors ma tante voulait aussi, ou peut-ĂȘtre quâelle sâĂ©tait rendormie, pensai-je. Ma tĂȘte Ă©tait confuse avec cette incohĂ©rence, je ne pouvais plus penser Ă rien. Ma bite de bouclier Ă©tait comme une pierre, et ma belle-sĆur est venue vers moi comme elle est venue. Finalement, jâai recommencĂ© Ă pousser entre ses fesses. DĂ©c. Mais cette fois, ma belle-sĆur poussait aussi son cul vers lâarriĂšre et se lĂąchait. Un peu plus tard, jâai regardĂ© ma belle-sĆur de cĂŽtĂ©, elle Ă©tait littĂ©ralement en forme dâarc, ses pieds et sa tĂȘte Ă©taient en avant et ses fesses Ă©taient appuyĂ©es contre ma bite. Jâavais un pyjama ample et un dĂ©bardeur, et ma belle-sĆur avait une chemise de nuit Ă©troite et fine avec des fleurs sur le dessus de sa rotule. BientĂŽt, ma belle-sĆur a commencĂ© Ă bouger. Elle avait une main devant elle, je pense quâelle jouait avec sa chatte et se satisfaisait. Pour mâen assurer, je me redressai lĂ©gĂšrement et regardai, ses yeux Ă©taient ouverts. Maintenant, jâĂ©tais complĂštement sĂ»r, ma belle-sĆur me voulait aussiâŠ
Je ne pouvais pas mâen empĂȘcher et je mâappuyais bien sur ma bite maintenant. Soudain, jâai vu ma belle-sĆur bouger, elle avait enlevĂ© sa chemise de nuit Ă lâĂ©tage, maintenant elle Ă©tait nue, mais je ne pouvais pas la voir. Ma belle-sĆur a doucement posĂ© sa main sur ma bite. Ma bite Ă©tait comme un pieu et mon cĆur battait la chamade. Avant que ma tante ne se tourne vers moi, elle a commencĂ© Ă toucher ma bite en insĂ©rant sa main dans mon pyjama et ma culotte avec une grande habiletĂ©. Jâai dit dans mon instinct quâil nây avait plus de retour en arriĂšre maintenant, et jâai pris ma main sur le cul de ma belle-sĆur et jâai commencĂ© Ă le caresser. Ma belle-sĆur sâest tournĂ©e vers moi et mâa dit: âTu ne dors pas, pervers?âil murmura. Jâai souri et chuchotĂ©: âComment puis-je dormir avec un tel dĂ©sastre Ă cĂŽtĂ© de moi?âquand je lâai dit, ma belle-sĆur est restĂ©e collĂ©e Ă mes lĂšvres Ă ce moment-lĂ . Il mâembrassait follement. Jâavais perdu la tĂȘte, je suçais aussi les lĂšvres de ma belle-sĆur. Je mâen fichais mĂȘme si ma mĂšre se rĂ©veillait plus, nous avons continuĂ© Ă faire lâamour en prenant ma tante sous moi. Jâembrassais et caressais Ă la fois ma tante, une main Ă©tait dans la chatte de ma tante, une main Ă©tait sur ses seins vivants, ce qui mâintĂ©ressait beaucoupâŠ
Jâai tirĂ© la chemise de nuit de ma belle-sĆur jusquâĂ sa gorge, elle avait un corps comme du lait incroyable. Jâai sucĂ© ses seins pleins. Ma belle-sĆur gĂ©missait tranquillement sous moi. Je me suis retournĂ© pour faire 69. Pendant que je lĂ©chais la chatte glabre de ma belle-sĆur, ma belle-sĆur me suçait la bite, ce qui Ă©tait comme un pieu. Il mâa fait une longue pipe et jâai lĂ©chĂ© la chatte de ma belle-sĆur comme une folle. Les eaux de sa chatte commençaient Ă venir, et les eaux du plaisir venaient de moi. Ma belle-sĆur a dit â â Allez, allez!âil gĂ©missait lentement. Ma belle-sĆur Ă©tait sĂ©parĂ©e de mon oncle depuis 2 ans, ma belle-sĆur nâavait pas Ă©tĂ© touchĂ©e par un homme depuis mon oncle. Dans mon oreille, â Troupeau baise-moi, nourris-moi!âil gĂ©missait. Maintenant que le moment Ă©tait venu, jâai placĂ© ma bite, qui Ă©tait comme un pieu, dans la bouche de la chatte brĂ»lante de ma tante, jâai pris ses jambes sur mon Ă©paule et je me suis lentement chargĂ©. Les yeux de ma belle-sĆur ont bougĂ©, elle Ă©tait extatique. Il gĂ©mit lĂ©gĂšrement alors que jâentrais en lui dâun seul mouvement. Jâentrais et sortais Ă un rythme lent. Jâai eu beaucoup de plaisir, mais jâai dĂ» me retenir pour ne pas Ă©jaculerâŠ
Ma belle-sĆur contrĂŽlait le rythme et je lui mordais les jambes. JâĂ©tais dedans jusquâĂ la racine. Ma belle-sĆur est sortie de dessous moi et mâa dit: âTu tâallonges sur le dos!âil murmura. Je me suis allongĂ©, ma belle-sĆur est montĂ©e sur moi et a pris ma bite dedans. Maintenant, il me sautait dessus comme des poulains fous. Ses seins sautaient de haut en bas. Elle soulevait ses cheveux dâune main, et de lâautre main elle attrapait la racine de ma bite â â Oui, oui, oui!âil gĂ©missait tranquillement. Je nâĂ©tais plus dans un Ă©tat, je voulais jouir, mais nous aurions dĂ» Ă©jaculer ensemble. Couchant ma belle-sĆur sur le cĂŽtĂ©, jâai de nouveau enracinĂ© sa chatte et lui chuchotais des mots dâamour Ă lâoreille. Ma belle-sĆur babillait aussi quelque chose mĂ©langĂ© Ă des gĂ©missements. Dans son oreille, âJouissons ensemble, tante!âJâai dit, ma belle-sĆur a hochĂ© la tĂȘte dans le sens oĂč cela arriverait aussi. Il se mordait les lĂšvres et a commencĂ© Ă Ă©jaculer convulsivement. Je suis venu avec ma belle-soeur et je jouis dans sa chatte. Quand je suis restĂ© dedans pendant un moment et que je lâai sorti, ma belle-sĆur a immĂ©diatement commencĂ© Ă lĂ©cher ma bite en la prenant dans sa bouche.
AprĂšs avoir nettoyĂ© ma bite en la lĂ©chant, il mâa dit Ă lâoreille: âSi tu ne me baises pas comme ça tout le temps, je le dirai Ă ta mĂšre!âdit-il. Alors jâai ri et secouĂ© la tĂȘte dans le sens dâOK. AprĂšs avoir rĂ©parĂ© nos vĂȘtements, ma belle-sĆur est allĂ©e aux toilettes, je suis allĂ©e aux TOILETTES et nous sommes retournĂ©s dans nos lits. Ma seule main Ă©tait dans la chatte de ma tante, je jouais et sa main Ă©tait sur ma bite. Nous nâĂ©tions pas dĂ©cidĂ©s Ă recommencer ou non. Puis nous nous sommes endormis. Quand je me suis rĂ©veillĂ© le matin, ma mĂšre Ă©tait debout sur ma tĂȘte, et ma main Ă©tait dans la chemise de nuit de ma tante, et ma tante dormait. Ma mĂšre mâa regardĂ© avec colĂšre: âAs-tu baisĂ© ta belle-sĆur bĂątarde?âdit-il. Jâai immĂ©diatement rĂ©cupĂ©rĂ©, jâai dit: âNon, maman, ne sois pas ridicule, quâest-ce que ça a Ă voir avec ça, jâai perdu ma main Ă cause de la somnolenceâŠâ. Et ma mĂšre a continuĂ© Ă ĂȘtre en colĂšre, disant: âComme si nous Ă©tions des idiots, nous ne savons pas!âil est sorti de la salle en disant. Je me suis avĂ©rĂ© avoir reçu une balle dans le cerveau. Ma mĂšre aurait pu voir ma tante baiser. JâĂ©tais trĂšs embarrassĂ©. Puis jâai rĂ©veillĂ© ma tante et lui ai racontĂ© lâincident. Ma belle-sĆur a dit â â Ne vous inquiĂ©tez pas, je vais le dĂ©couvrir dâune maniĂšre ou dâune autre!âil a dit, et il a Ă©galement quittĂ© la salleâŠ
Tante GĂŒlĆah et son mari se sont probablement levĂ©s tĂŽt et ont emmenĂ© les animaux au pĂąturage. Ma mĂšre Ă©tait aussi allĂ©e Ă la cuisine. Quand ma tante est allĂ©e voir ma mĂšre, des bruits de dispute ont commencĂ© Ă venir de la cuisine, ma mĂšre Ă©tait en colĂšre contre ma tante. Je me suis approchĂ© de la porte de la cuisine et jâai commencĂ© Ă Ă©couter. Ma mĂšre a dit: âJe tâai vu, Shermin, tu as couchĂ© la nuit, comment as-tu pu faire ça, câest mon fils, si tu es si excitĂ©e, va te faire foutre Ă quelquâun dâautre, salope!âil disait. JâĂ©tais confus, je me tenais lĂ Ă Ă©couter. Ma belle-sĆur se dĂ©fendait â â Que puis-je faire, HĂŒlya, je ne pouvais pas le supporter, tu sais, je nâai pas Ă©tĂ© touchĂ©e par un homme depuis 2 ans, jâai Ă©tĂ© excitĂ©e un instant.âdit-il. Ma mĂšre a dit :âMa vie nâest-elle pas une vie, ma vie ne veut-elle pas dâune bite, comment je tiens le coup, et en plus, je suis sans homme depuis 9 ans, devrais-je baiser la premiĂšre personne qui se prĂ©sente devant moi?âelle Ă©tait en colĂšre, tante. Je ne pouvais pas croire ce que jâentendais, ma mĂšre sâinquiĂ©tait de la masculinitĂ©âŠ
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