Je me suis rĂ©veillĂ© tĂŽt le matin avec lâeffet de lâair frais.Juil. Quand jâai regardĂ© par la fenĂȘtre, mon beau-pĂšre Ilhan emmenait les animaux au ruisseau. Alors je me suis habillĂ© et je suis sorti. Ma belle-mĂšre avait trait les vaches et mis le lait sur le feu pour quâil bout. Quand il mâa vu, il a ri et a dit: âMa belle Ă©pouse, es-tu rĂ©veillĂ©e, bonjour!âdit-il. âBonjour, maman!ânous avons dit:â nous Ă©tions en conversation devant le feu. Ma belle-mĂšre me disait quâelle avait des problĂšmes matĂ©riels et spirituels. Jâai dit: âLes problĂšmes financiers sont pris en charge, mais quel est le problĂšme spirituel, maman?Jâai dit. Il a commencĂ© Ă expliquer :â Nous avons vieilli, les filles ne sont pas venues, vous ĂȘtes Ă Istanbul, nous sommes restĂ©s ici. Vous connaissez la situation dâinspiration, il nây a pas de mĂ©decins chez qui nous ne sommes pas allĂ©s, mais ça ne sert Ă rien. Notre gagne-pain, ce sont les animaux, ils ont aussi besoin de soins, on vieillit, on ne peut plus sâen occuper, Ilhan ne comprend pas non plus, elle emmĂšne les animaux Ă lâeau, câest tout!âil a alors dit:â De toute façon⊠faisons du thĂ©, on dĂ©jeunera!âil a dit:â nous nous sommes levĂ©s et avons commencĂ© Ă nous prĂ©parer. Mon mari sâest Ă©galement rĂ©veillĂ© et est venu Ă table aprĂšs sâĂȘtre lavĂ© le visage. AprĂšs le petit dĂ©jeuner, jâai dit Ă mon mari: âAllons nous promener dans les champs ou quelque chose du genreâŠâ. Il a acceptĂ© et nous sommes descendus dans le jardin. Il nây avait rien de plus dĂ©licieux que de manger des tomates et des concombres sur une branche. Jâai vraiment aimĂ© çaâŠ
CâĂ©tait le soir, mais mon intĂ©rieur bouillait aussi, lâair frais et les aliments biologiques avaient presque un effet aphrodisiaque sur moi, et jâavais tellement envie de sexe que je ne peux expliquer Juillet. DĂšs que je me suis couchĂ©e, je me suis immĂ©diatement accrochĂ©e aux lĂšvres de mon mari et nous avons commencĂ© Ă faire lâamour. AprĂšs une bonne baise dans laquelle nous avons tous les deux eu des orgasmes, nous nous sommes couchĂ©s assez paisiblement, avons dormi.
Je me suis rĂ©veillĂ© tĂŽt le matin. Je suis allĂ© dans la salle de bain pour me laver. Jâai dĂ» me laver avant que quiconque ne se rĂ©veille, car ils avaient une salle de bain de fortune dans le village. CâĂ©tait une cuisine, mais ensuite ils ont construit une salle de bain en la recouvrant de nattes. Franchement, cela a rendu les gens nerveux. Heureusement, il y avait des bouilloires instantanĂ©es, je nâavais pas besoin de chauffer de lâeau. Je me suis immĂ©diatement dĂ©shabillĂ© Ă la hĂąte et je suis allĂ© sous lâeau. au bout de 2 minutes, câĂ©tait comme si je voyais une ombre, je regardais Ă gauche et Ă droite, je ne voyais rien. Je lâai dit Ă Kim cette fois et jâai continuĂ©, jâai pris mon bain, je me suis habillĂ© rapidement et je suis allĂ© dans la chambre oĂč nous nous sommes couchĂ©s. Mais jâai entendu un certain nombre de bruits de la salle de bain. Curieux, jâai regardĂ© par la fenĂȘtre. Et que devrais-je voir, mon beau-frĂšre Ilhan sort du fond de lâendroit oĂč je prends un bain. Soudain, jâĂ©tais abasourdi, je ne savais pas quoi faire. Mâa-t-il radiographiĂ©? Comment une telle chose arriverait-elle? Je suis allĂ© Ă lâarriĂšre de lâendroit oĂč jâai pris un bain lâaprĂšs-midi et jâai regardĂ©. Il y avait un dĂ©cembre de la largeur dâun doigt, juste Ă cĂŽtĂ© des sacs de blĂ© qui y Ă©taient rĂ©ellement mis. Je nâavais plus aucun doute, ma belle-mĂšre mâavait jetĂ© un coup dâĆil. Je suis revenu embarrassĂ©. Tout le monde Ă©tait sorti. Je ne savais pas quoi faire. Je ne pouvais pas non plus me fĂącher contre ma belle-mĂšre, câĂ©tait un jeune homme de 24 ans, peut-ĂȘtre mentalement dĂ©ficient, mais câĂ©tait aussi un homme, il avait aussi des besoins sexuels. Je nâĂ©tais pas en colĂšre contre lui et je nâai rien dit Ă personne.
Quelques jours sâĂ©taient Ă©coulĂ©s, et les dĂ©ceptions dâIlhan Ă mon Ă©gard avaient beaucoup changĂ©. Jâen Ă©tais conscient, mais que pouvais-je faire? Que pourrais-je dire? Ou plutĂŽt, il Ă©tait fou aprĂšs tout. CâĂ©tait la nuit et tout le monde dormait, et jâavais sommeil. Jâessayais de dormir, mais je nâarrivais pas Ă dormir. Mon mari avait dĂ©jĂ commencĂ© Ă ronfler. Soudain, jâai entendu le craquement de la porte extĂ©rieure, quand je me suis redressĂ© et ai regardĂ© la façade avant, jâai vu Ilhan aller au fond de la salle de bain. Quâest-ce que ce fou fait lĂ Ă cette heure-ci? jâai continuĂ© Ă le regarder. Je me demandais juste, va te coucher et va dormir, quâest-ce que câest pour toi? Mais je vous lâai dit, la curiositĂ© ne voulait tout simplement pas me laisser seul, et quand je lâai lentement suivi dehors et que jâai regardĂ© Ă travers les interstices de la clĂŽture, jâĂ©tais presque choquĂ©. DĂ©cembre. Ilhan avait baissĂ© son pantalon et tirait 31. Je voulais partir lĂ -bas immĂ©diatement, jâai mĂȘme fait deux pas en arriĂšre, mais jâai encore abandonnĂ©, je suis retournĂ© regarder un peu plus, jâai commencĂ© Ă avoir lâair plus droit. Ilhan se tenait Ă cĂŽtĂ© de moi juste en face de moi, tirant 31 rapidement. Jâai attendu un peu plus longtemps et Ilhan a commencĂ© Ă Ă©jaculer avec des contractions. Mais jâai eu le vrai choc juste aprĂšs, quand il sâest retournĂ© pour nettoyer le sperme restant dans sa bite, la lumiĂšre de la cour a complĂštement illuminĂ© sa bite et jâai vu la bite la plus grosse et la plus Ă©paisse que jâaie jamais vue de ma vie. Mes yeux Ă©taient ouverts comme une diseuse de bonne aventure et je ne pouvais pas dĂ©tacher mes yeux de sa queue, câĂ©tait terrifiant, câĂ©tait vraiment incroyable. Jâai vu beaucoup de bites sur Internet, mais je nâen ai jamais vu une comme ça nulle part. Pendant quâIlhan enfilait sa culotte, je suis immĂ©diatement retournĂ©e Ă lâintĂ©rieur. Quand je suis entrĂ©e dans la chambre, mon mari ronflait encore. Je lui ai immĂ©diatement tournĂ© le dos et jâai essayĂ© de mâendormir, mais la bite dâIlhan ne pouvait pas sortir de mon esprit.
Les jours suivants, la bite dâIlhan Ă©tait presque devenue une obsession dans mon cerveau. Mon Dieu, Ă quoi ressemblait cette bite? Comment une femme peut-elle lâaccueillir? je me mouillais Ă chaque fois que jây pensais. Mais je ne montrais rien Ă mon mari, jâallais tout de suite dans ma chambre, fermant la porte Ă clĂ© et me masturbant, pensant Ă la bite dâIlha.
CâĂ©tait mercredi aprĂšs-midi, câĂ©tait dans lâaprĂšs-midi, le tĂ©lĂ©phone de la maison a sonnĂ©. Mon mari a dĂ©crochĂ© le tĂ©lĂ©phone. Dâune voix agitĂ©e, il a dit: âQuand est-ce arrivĂ©, comment est-ce arrivĂ©? Sont-ils vivants?âquand il a parlĂ©, tout le monde a dit: âQuâest-il arrivĂ© Ă la rancune?âil sauta sur ses pieds. Mon mari a dit: âDâaccord, on arrive!âil a ditâ et a raccrochĂ© le tĂ©lĂ©phone. Alors que nous attendions tous anxieusement ce qui sâĂ©tait passĂ©, mon mari mâa dit: le toit du tracteur sâĂ©tait renversĂ© alors que ses oncles revenaient du champ, et ses oncles Ă©taient coincĂ©s dessous. Il est dans un Ă©tat trĂšs grave, et il a besoin de sang. Mon mari a dit: âPrĂ©parons-nous et sortons maintenant!âdit-il. Bien sĂ»r, je voulais aussi me prĂ©parer, mais mon mari a dit ââ Toi et Ilhan nâavez pas besoin de venir, nous irons! Je vous le ferai savoir en fonction de la situation!âdit-il. âNon, je viendrai aussi!âJâai dit:â Pas question!âil a dit et a fait une sieste. Jâai secrĂštement dit Ă mon mari ââ Reviens Ă toi, je ne peux rester seul ici, jâai peur!Jâai dit. Et mon mari a dit: âNâaie pas peur, ça ira. En plus, Ilhan est lĂ !âil a dit, et ils sont partis prĂ©cipitamment. Le village oĂč ils allaient a pris une demi-heure en tracteur, ils sont montĂ©s et sont partisâŠ
Il arrivait Ă 23h00 du soir, je nâavais pas encore de ses nouvelles. JâĂ©tais sur le point dâexploser quand le tĂ©lĂ©phone de la maison a sonnĂ©. Jâai immĂ©diatement sautĂ© et lâai ouvert. Câest mon mari qui a appelĂ©: âNous ne pouvons pas venir ce soir, son Ă©tat est trop grave, ils lâont rĂ©fĂ©rĂ© Ă la facultĂ© de mĂ©decine et nous y allons!âdit-il. âEt quand viendras-tu?Jâai dit. âJe ne sais pas, ce nâest pas clair!âdit-il. âLaisse au moins maman venir!Jâai dit. âMa mĂšre est aussi chez mes belles-sĆurs, il y a beaucoup dâallĂ©es et venues, ma belle-sĆur nâest pas en mesure de sâen occuper!âdit-il. âDâaccord!âJâai dit:â Jâai raccrochĂ© le tĂ©lĂ©phone. Ilhan Ă©tait allongĂ©e sur le sol en train de regarder la tĂ©lĂ©vision, elle ne connaissait pas le monde. Il sâest tournĂ© vers moi et a dit: âMes parents ne viennent-ils pas?âdit-il. ânon!Jâai dit. Il a continuĂ© Ă regarder le film Ă nouveau sans parler du tout. JâĂ©tais assis sur le canapĂ©, en train de rĂ©flĂ©chir. Il Ă©tait assez tard, â Ilhan, va te coucher et va te coucher si tu veux!Jâai dit. Sans parler, il se leva et prit sa place, enleva sa chemise et son jean, sâallongea sur le lit avec juste ses sous-vĂȘtements et ses maillots, sans se couvrir. Et il se tenait juste devant moi dans son pantalon de bite gĂ©ant. MĂȘme lâĂ©tat de gĂ©missement Ă©tait trop grandâŠ
Je me suis aussi allongĂ© lĂ sur le canapĂ©, mais je ne pouvais pas dormir, mes yeux Ă©taient toujours rivĂ©s sur lui. JâĂ©tais couverte dâĂ©motions mitigĂ©es, ma chatte Ă©tait mouillĂ©e et je faisais des mouvements involontaires, ma main Ă©tait dĂ©jĂ dans ma chatte en pyjama. Je mettais deux doigts dans ma chatte et je les retirais. Soudain, jâai vu Ilhan me regarder, jâai fait semblant de me gratter et jâai immĂ©diatement retirĂ© ma main. Jâai regardĂ© Ilhana, cette fois elle avait mis sa main dans sa culotte et jouait avec sa bite, me regardant dans les yeux. âQuâest-ce que tu fais Ilhan, enlĂšve ta main de lĂ !âJâai criĂ©. Il retira immĂ©diatement sa main et dĂ©tourna son regard. Puis je me suis Ă©nervĂ© parce que jâai criĂ© aprĂšs le garçon et jâai commencĂ© Ă lui parler pour me rattraper. Il donnait des rĂ©ponses courtes, il me quittait des yeuxâŠ
âIlhan, jâai besoin de te parler de quelque chose!Jâai dit. âQuây a-t-il, tante?âil a dit et mâa regardĂ©. âIlhan, pourquoi ne te maries-tu pas?Jâai dit. âPĂšre dit quâil est tĂŽt!âdit-il. âCe nâest pas tĂŽt, tu es un homme juste assez vieux pour te marier, et je dois me marier!Jâai dit. âMon pĂšre dit que personne ne te prendra!âdit-il. âCâest pour ça que tu tires 31?Jâai dit. Elle dĂ©tourna son regard et ne rĂ©pondit pas. âJe tâai vu lâautre jour, quand je tirais 31 derriĂšre la salle de bain!âquand il a dit:â Tu mens!âil a dit, sâest soudainement redressĂ© et sâest assis. Jâai peur que Biran fasse quelque chose. âNon, je ne mens pas, jâai vu, tu tirais 31!âquand il a rĂ©pĂ©tĂ© ââ Vas-tu le dire Ă mon pĂšre?âdit-il. âDois-je dire?Jâai dit. âNon, ne me dis pas, mon pĂšre me bat!âdit-il. âVous a-t-il dĂ©jĂ battu?Jâai dit. âOui, il lâa attrapĂ© sur le terrain une fois et lâa beaucoup battu!âdit-il.
Je ne peux vous dire Ă quel point ma chatte picotait quand jâen parlais. Le diable piquait, vous disant, voici une opportunitĂ©, saisissez-la. âEh bien, je ne vais pas le dire, mais je vais te demander quelque chose en retour, et si tu fais ça, je ne le dirai Ă personne, ou je le dirai aussi Ă ton frĂšre et Ă ton pĂšre!âJâai dit, mais mon cĆur semblait sortir de mon cĆur, je ne pouvais plus respirer, ma gorge Ă©tait nouĂ©e, jâĂ©tais dĂ©jĂ rempli de culpabilitĂ©. Ilhan a ditâ â Quây a-t-il, tante?âil sâest levĂ© et a essayĂ© de mettre son pantalon. âNon, ne tâhabille pas, je veux que tu prennes un bain, tu sens trĂšs mauvais. Mais Jul, allons dâabord te chercher des sous-vĂȘtements propres de lâintĂ©rieur!â Je suis allĂ© dans le placard et jâai sorti une culotte et un maillot en disant: âAllez, maintenant va aux toilettes!Jâai dit. âTu ne le diras pas Ă mon pĂšre quand tu te laveras?âdit-il. âLavons-vous dâabord, puis nous parlerons!âJâai dit:â et nous sommes allĂ©s dans la salle de bain.
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