18 yılımız Merrhaaba, Je mâappelle ayĆe (pas mon vrai nom) Je suis une femme de 34 ans, 168 ans et 65 kg. Je vais vous parler de la relation entre moi et mon fils. DĂ©c. Je me sens toujours mal quand je me souviens, je suis triste, mais jâai vĂ©cu ça et je lâai apprĂ©ciĂ© plus que jamais dans ma vie.quand jâavais 16 ans, je me suis enfui chez un ami de mon frĂšre, jâĂ©tais sa deuxiĂšme femme. Il Ă©tait riche, beau, jâavais tout, jâĂ©tais heureux, mon fils est nĂ© quand jâavais 17 ans. Son nom est Emre (son vrai nom). AprĂšs cela, jâai eu 2 autres enfants. Ma vie Ă©tait belle, notre situation Ă©conomique Ă©tait trĂšs bonne, mon mari Ă©tait heureux, sa premiĂšre femme nâĂ©tait pas au courant, ce nâĂ©tait pas arrivĂ© depuis des annĂ©es. Pendant que je vivais heureux comme ça, les affaires de mon mari ont commencĂ© Ă se dĂ©tĂ©riorer. Nous avons Ă©tĂ© arnaquĂ©s Ă lâĂ©tranger, nous avons perdu tout ce que nous avions. Ce quâil avait sur lui nâĂ©tait pas suffisant, et il me lâa pris en me convainquant que je le rachĂšterais. Je me suis retrouvĂ© au milieu Ă lâĂąge de 33 ans avec 3 enfants dont la richesse Ă©tait terminĂ©e.Câest pourquoi je me suis disputĂ© avec mon mari, il nous a mis dans cet Ă©tat et a dĂ©truit lâapathie, beenii, aprĂšs ce gros combat, il est parti, est mort, je ne sais pas si jâai eu un k, il ne cherche pas sa premiĂšre femme depuis des annĂ©es?Je mâoccupe de mes enfants et de moi-mĂȘme en tant que baby-sitter Ă la maison. Mon fils Emre Ă©tait un beau garçon de 16 ans en surpoids Ă lâĂ©poque. Il Ă©tait trĂšs calme, notre dĂ©clin Ă©conomique et les actions de son pĂšre le rendaient trĂšs triste. Il ne parlait pas du tout, hepp, lâordinateur Ă©tait dans la presse. Parfois, il Ă©tait dans sa presse pendant des heures sans me parler personnellement. Il prenait souvent un bain, jâai compris, le jeune homme allait se masturber, câĂ©tait son droit.Les mois ont passĂ©, je voulais aller dans ma ville natale et voir mes parents.
Jây suis allĂ© avec mes enfants. Nous nâallions pas rester longtemps, mon congĂ© Ă©tait court. Le premier jour, jâai visitĂ© mon village, le champ oĂč jâai passĂ© mon enfance, le jardin, la forĂȘt avec mon fils, nous Ă©tions mouillĂ©s sous les pistolets dâirrigation dâun champ, jâavais une chemise sous une jupe. JâĂ©tais trempĂ©e, mes jambes collĂ©es Ă la jupe, ma taille ? seule ma chemise blanche Ă©tait collĂ©e Ă la chemise dans mes bras, debout au milieu. Mon fils me regardait, la chambre Ă©tait mouillĂ©e. Ă ce moment-lĂ , je ne pensais pas au moindre mal. Nous sommes rentrĂ©s Ă la maison, avons pris une douche, nous nous sommes sĂ©chĂ©s.La maison Ă©tait petite, maman et papa Ă©taient dans leur chambre, et je dormais parfois sur le lit de terrasse dans le couloir parce quâil faisait frais avec mes enfants. Mon fils dormait sur le canapĂ©-lit Ă cĂŽtĂ© de mes 2 autres enfants. Jâessayais de dormir. Jâavais en tĂȘte les jours oĂč je vivais dans cette maison, dans ce village, et la premiĂšre fois que jâai vu mon mari, je nâarrivais pas Ă dormir.30 40 minutes se sont Ă©coulĂ©es dĂ©cembre, mon dos Ă©tait tournĂ© vers mon fils. Il a mis sa main sur ma hanche et lâa tirĂ©e en arriĂšre. Je mâen fichais, jâai dit quâil dormait, il sâest Ă©crasĂ©. Mais il lâa fait 2 fois de plus. Puis jâai senti quelque chose de dur dans mes hanches. CâĂ©tait trĂšs dur, câĂ©tait Ă©pais. Puis il a rĂ©alisĂ©, Mon Dieu, le pĂ©nis de mon fils Ă©tait sur mes cuisses!Je ne savais pas quoi faire. Il a mis sa main sur ma hanche, lâa pressĂ©e lentement, a avancĂ© sa main et a touchĂ© le cĂŽtĂ© ust de mon vagin. Sa main Ă©tait lĂ , appliquant un peu de pression, se touchant simplement. je nâai pas Ă©tĂ© avec un homme depuis 2 ans, je ne lui ai mĂȘme pas parlĂ©. Jâaimais bien Eli, mais jâai repris mes esprits, quâest-ce que je faisais, câĂ©tait mon fils. Le pĂ©nis de mon propre fils Ă©tait sur mes cuisses. Je voulais me lever et dire, quâest-ce que tu fais? Jâai arrĂȘtĂ© juste au moment oĂč jâallais le faire. Je pensais?il avait 16 ans, ses hormones Ă©taient Ă travers le toit, et il touchait la femme quâil trouvait la plus proche de lui. Il le voulait. Jâai dĂ©cidĂ© de ne rien faire, il allait toucher et dormir de toute façon. AprĂšs avoir rĂ©flĂ©chi Ă tout cela, il a glissĂ© sa main sur mes seins. il serrait trĂšs lĂ©gĂšrement. Il touchait les extrĂ©mitĂ©s. Et il frottait son pĂ©nis sur ma hanche, le poussant entre les temps. DĂ©c. CâĂ©tait si dur, je pouvais sentir que câĂ©tait Ă©pais.
Il a sorti sa main du coin et les sons ont commencĂ© Ă arriver. Je pense quâil se masturbait. Il est allĂ© aux toilettes, est entrĂ©, puis sâest endormi sans y toucher?Le lendemain, je ne pouvais pas regarder son visage, cela me revenait Ă lâesprit la nuit derniĂšre. Et il agissait comme sâil nây avait rien. AprĂšs tout, il sâĂ©tait occupĂ© de ses affaires pendant quâil dormait. Nous resterons au village ce soir et reviendrons demain. Le soir, je rĂ©flĂ©chissais Ă comment me comporter, comment sauver mon fils de cet Ă©tat. Mais hier soir, la façon dont il mâa touchĂ© et le plaisir que mâa procurĂ© le pĂ©nis que jâai ressenti sur mes cuisses Ă©taient accablants. Comment aurais-je pu apprĂ©cier mon fils.En pensant Ă ces choses, je suis devenu akksham. Nous avons dormi de la mĂȘme façon, il a dormi Ă cĂŽtĂ© de moi. Je me suis retournĂ© et jâai fait semblant de dormir. Je pensais Ă ce que je ferais sâil me refaisait les choses dâhier soir, et trĂšs vite il mâa touchĂ© Ă nouveau la hanche, petit Ă petit. Puis jâai senti son pĂ©nis. CâĂ©tait Ă©pais et trĂšs dur. Il a de nouveau portĂ© sa main sur mon vagin. Il lâappuyait lĂ©gĂšrement. Oh, mon Dieu, jâapprĂ©ciais ça, jâapprĂ©ciais ça. Encore une fois, des pensĂ©es comme se lever et me gifler se figeaient dans ma tĂȘte, mais je me bloquais. Ce nâĂ©tait pas comme hier soir, il me frottait fort la cuisse. Elide glissait de haut en bas sur mon vagin. ?JâĂTAIS MOUILLĂ.? je pleurais Ă lâenvers, je te suppliais de ne pas le faire Ă lâenvers, mais je faisais toujours semblant de dormir. Il sâest masturbĂ© Ă nouveau et sâest endormi.Ai-je pleurĂ©?.Nous sommes retournĂ©s Ă Istanbul le lendemain. Jâai commencĂ© Ă travailler, et ils Ă©taient Ă la maison, câĂ©tait les vacances dâĂ©tĂ©, ils Ă©taient Ă la maison toute la journĂ©e. Au travail toute la journĂ©e, je pensais Ă ce que mon fils mâavait fait, jâĂ©tais triste. Mais surtout la deuxiĂšme nuit, je pleurais en pensant au plaisir que jâavais en frottant contre moi et en me mouillant. Ăa ne pouvait pas arriver. cela fait plus dâune semaine, tout Ă©tait normal Ă la maison, mon fils agissait normalement. La maison devenait trĂšs chaude. Je dormais la nuit avec seulement une culotte et un T-shirt. DĂ©jĂ la maison Ă©tait 1 chambre, 1 salon, 1 cuisine. Je dormais dans le salon quand ils Ă©taient dans la chambre. Pendant ce temps, Emre hepp Ă©tait sur lâordinateur, nâemmenant pas ses frĂšres dans la piĂšce. Je pense quâil regardait du porno. Il se douchait often.It câĂ©tait 8 ou 9 jours aprĂšs notre arrivĂ©e. Une nuit, je me suis soudainement rĂ©veillĂ©. Biiri rĂ©duisait mon poids. Oh, mon Dieu, câĂ©tait un ordre. la piĂšce Ă©tait sombre. Je pouvais voir son ombre. Je voulais me lever et crier, je voulais gifler, je voulais jurer. Mais je ne pouvais pas, quelque chose me retenait. Jâavais peur de lui faire du mal pour le reste de sa vie.
Et mĂȘme si je suis gĂȘnĂ© de le dire, oui, mon Ăąme le voulait. il nây a personne depuis 2 ans, parce quâil y avait un vide en moi quâil fallait combler?Je ne rĂ©agissais pas, il a baissĂ© mon poids. Il se tenait juste lĂ . Il a Ă©cartĂ© mes jambes, a baissĂ© la tĂȘte et a commencĂ© Ă me lĂ©cher le vagin. Oh, mon Dieu, jâai Ă©tĂ© surpris. Mille choses me passaient par la tĂȘte Ă ce moment-lĂ . Un cĂŽtĂ© de moi disait lĂšve â toi, Ă©carte-toi, laisse lâautre rendre ton fils heureux, et tu te souviens de ta fĂ©minitĂ©. Pendant que je me dĂ©battais entre les deux, mon fils me lĂ©chait dĂ©cemment le vagin. Il lĂ©chait lentement de haut en bas dans une forme ovale sur le sol. JâĂ©tais mouillĂ©, biiri me lĂ©chait le vagin pour la premiĂšre fois de ma vie. Lâanimal qui deviendrait mon mari Ă©tait un homme qui finirait son propre travail et irait dormir. Jâai eu ce plaisir une fois. CâĂ©tait incroyable. Je pouvais sentir que je me mouillais et que mon eau entrait. Je continuais le rĂŽle de dormir. Mais jâavais dĂ©cidĂ© dans ma tĂȘte. Jâallais le laisser lĂ©cher, caresser, embrasser, mais ça ne me serait jamais arrivĂ©. CâĂ©tait mon putain de fils !!!AprĂšs avoir rĂ©flĂ©chi Ă tout cela, il sâest approchĂ© de mes seins, sa main Ă©tait toujours en train de sucer mon vagin. Il aurait Ă©tĂ© encouragĂ© par mon silence, suçant mes seins. il frappait mes mamelons avec sa langue. CâĂ©tait quelque chose dâincroyable. lâincapacitĂ© dâĂȘtre avec personne pendant 2 ans sortait ici. Je me trompais en pensant que je me lĂšverais en 1 seconde. Mais le plaisir que jâai eu a Ă©tĂ© vaincu.En me lĂ©chant les seins, jâai soudainement ressenti une douleur incroyable dans mon vagin. Il Ă©tait entrĂ© en moi. Oh, mon Dieu, le pĂ©nis de mon fils Ă©tait en moi. La partie de la tĂȘte Ă©tait entrĂ©e, je pense. CâĂ©tait trĂšs, trĂšs Ă©pais. CâĂ©tait plus Ă©pais que celui de son pĂšre. Mes yeux Ă©taient-ils fermĂ©s avec un murmure pour moi ?Je suis dĂ©solĂ©, Maman? il a dit, et varr a essayĂ© de piquer tout cela avec sa force. Mais il ne lâa pas fait. Son pĂ©nis Ă©tait trĂšs Ă©pais et câĂ©tait comme sâil essayait dâentrer en dĂ©chirant mon vagin.
Bien quâil ait poussĂ© avec sa puissance, une partie entrait. Jâavais tellement mal. Ă la fois physiquement et spirituellement. Mon fils beenii Ă©tait clairement en train de baiser ! En plus de toute la douleur, je mâamusais Ă un degrĂ© que je nâavais pas atteint Ă cet Ăąge. Un gros pĂ©nis se dĂ©plaçant Ă lâintĂ©rieur de moi, des doigts forts caressant mes seins et une langue mouillĂ©e lĂ©chant mes mamelons. Que pourrait vouloir de plus une femme ?Il est restĂ© en moi pendant longtemps, il entrait et sortait trĂšs fort, ma chĂ©rie, il brĂ»lait, mais jâai serrĂ© les lĂšvres. Jâai fait de mes mains des poings, prenant de la force, nâexprimant pas la douleur en moi. Il a fait des allers-retours pendant un long moment, jâai eu un orgasme, je tremblais lĂ©gĂšrement, il est sorti de moi et a Ă©jaculĂ© dans mon ventre. Je pouvais sentir le sperme chaud couler dans mon estomac. Il sâest levĂ© de moi et mâa essuyĂ© le ventre Ă plusieurs reprises avec quelque chose. Il a enlevĂ© mon kilt et baissĂ© mon t-shirt, nâa-t-il pas oubliĂ© de me couvrir?Je me suis endormi avec ce choc. Je me suis rĂ©veillĂ© et je me suis habillĂ© immĂ©diatement et je suis allĂ© travailler. Jâai pleurĂ© toute la journĂ©e, me maudissant pour ce que jâai fait, comment jâai laissĂ© ça arriver. Mais quand je me suis arrĂȘtĂ© et que jây ai rĂ©flĂ©chi, jâai rĂ©alisĂ© que jâavais eu le sexe de ma vie hier soir. Il avait un pĂ©nis plus gros que celui de son pĂšre, Il est restĂ© en moi pendant des minutes. Il faisait des allers-retours depuis longtemps pendant que son pĂšre restait 3 4 minutes. Il mâa lĂ©chĂ© le vagin pour la premiĂšre fois. Il mâa trĂšs bien lĂ©chĂ© les tĂ©tons. Il me faisait grand plaisir. Pendant que je pensais Ă tout ça, ma main bougeait dans mon vagin, pensant Ă elle. Il est beau, il est grand et câest un gros pĂ©nis que je nâai jamais vu, mais dont jâai toujours rĂȘvĂ©. Ahhh oui, je me suis giflĂ© quand je me masturbais, en pensant, baise-moi encore plus, je suis un lion. Je pleurais, quâest-ce que je faisais, comment jâĂ©tais maman. Comment jâai pu coucher avec mon propre fils et en profiter et rĂȘver de lui.En pensant de cette façon, je suis devenu akksham, mes pas ne voulaient pas rentrer chez moi. Ă la maison ?lui? il y en avait. Qui me donne lâorgasme de ma vie qui me rappelle que je suis une femme ?lui?? Je suis rentrĂ©, jâai prĂ©parĂ© le dĂźner, il nâĂ©tait pas lĂ . Son frĂšre a appelĂ© pour dĂźner et nâest pas venu. Il ne quittait pas la piĂšce.