alexis fauxx Bonjour, lâhistoire que je vais vous raconter est parue dans la presse alors que jâĂ©tais militaire et câest tout Ă fait vrai. Je faisais mon service militaire Ă Konya un jour oĂč je faisais Ă nouveau des activitĂ©s normales, la femme du maĂźtre est venue au poste de police et nous sommes venus Ă lâĆil, nous avons commencĂ© Ă la couper avec le confort dâIstanbul, elle me regardait, sâenfuyait, pendant que mes yeux la serraient presque, 1,70 cou Ă©tait aussi une grande et belle fille, du, ces coupures ont continuĂ©, quelques semaines plus tard, jâai quittĂ© le nobet, mâa appelĂ© du logement et il lâa appelĂ©, alors je suis immĂ©diatement allĂ©, jâai dit oui, et il mâa posĂ© des questions sur son mari, alors jâai dit quâil allait en service, quâil ne gĂšlerait pas avant 22h00, et immĂ©diatement Ă lâintĂ©rieur de nous (il y a un bĂątard jâai dit: ây a-t-il quelque chose que je peux aider?âet il mâa dit que ce nâĂ©tait pas quelque chose que tu pouvais faire (il a aussi mal Ă la tĂȘte)
jâai dit comment savez-vous, quelle que soit la piĂšce, il a dit que nous verrons plus tard, et elle sâest cassĂ©e, je la portais constamment aprĂšs cet incident, il en Ă©tait conscient, et il nâa jamais dĂ©rangĂ© son mari, pendant que le bĂątard Ă©tait en patrouille, il a fait le tour de la maison de toutes les veuves de la baie, il ne mâa pas laissĂ© sortir, un jour la femme sâest rendu compte que son mari la trompait, et ils ont commencĂ© Ă se battre quand jâĂ©tais dans lâappartement, parce que tout Ă©tait proche, je pouvais facilement lâentendre une demi-heure sâĂ©tait Ă©coulĂ©e, et quand jâai assommĂ© le noble et suis entrĂ© dans la police station, le maĂźtre a quittĂ© la maison parce quâil Ă©tait un noble, mâa vu et a dĂ©campĂ© pour la patrouille il leur a dit de se prĂ©parer comme ça, il a dit que nous partirions tĂŽt ce jour-lĂ , donc si vous lâordonnez, monsieur, je suis allĂ© Ă lâintĂ©rieur et lui ai dit de se prĂ©parer pour la patrouille.
AprĂšs leur dĂ©part en service, jâai changĂ© de vĂȘtements et je suis sorti dans le jardin et jâai commencĂ© Ă fumer des cigarettes, tandis que la femme dâastb est sortie et mâa appelĂ© aussi, elle mâa demandĂ© une cigarette, et jâai dit fumez-vous parce que vous ĂȘtes limitĂ©, et tu ne fumerais pas, elle mâa dit comment savez-vous que je suis limitĂ©, jâai dit que le son de votre pesĂ©e retentit Ă lâextĂ©rieur, et jâai ajoutĂ©, ne vous inquiĂ©tez pas, jâai dit que vous mĂ©ritiez mieux, en me regardant, il a dit essayez-vous de me sortir de la presse, alors jâai dit oui, il mâa dit que vous alliez appuyer dessus, et il sâest figĂ© son dos, pendant quâil mangeait, vient Ă lâentrepĂŽt sous le logement la nuit quand jâallume le chauffage il a dit et est entrĂ©, je suis immĂ©diatement entrĂ© et jâai commencĂ© Ă regarder lâappartement par la fenĂȘtre Ă 1h30 du soir, une demi-heure aprĂšs avoir quittĂ© la patrouille de nuit, la lumiĂšre sâest allumĂ©e, jâai immĂ©diatement sautĂ© et je suis entrĂ© dans lâentrepĂŽt de lâappartement 5 minutes plus tard, il est venu et nâa pas parlĂ© du tout, alors je suis entrĂ© derriĂšre lui, je lâai serrĂ© dans ses bras sur le dos et je lâai appuyĂ© contre le mur, et nous avons commencĂ© Ă jouer, mais il ne savait pas comment jouer, mais il ne parlait pas, alors je suis entrĂ© derriĂšre lui et je lâai serrĂ© dans ses bras sur le dos, et nous avons commencĂ© Ă travailler, mais il ne savait pas comment travailler.
je lui ai dit que ton mari ne tâavait jamais vu, il a secouĂ© la tĂȘte, ce qui voulait dire non, alors je lui ai dit que jâĂ©tais toujours Ă mon opĂ©ra, jâai continuĂ© Ă lĂ©cher ses Ă©normes yeux, câĂ©tait comme si mon visage allait exploser si fort, ils Ă©taient presque de la pierre, jâai continuĂ© Ă lĂ©cher sans ralentir ni descendre, jâai lĂ©chĂ© cette chatte comme ça, la femme Ă©tait folle, ne parlait presque jamais, mais elle ne pouvait pas se faire mal aux yeux en gĂ©missant, elle Ă©tait divorcĂ©e, je suis tombĂ© amoureux et jâai continuĂ© Ă lui lĂ©cher la chatte, elle avait le mĂȘme gibi de pĂȘche, et je lâai plongĂ© dans sa chatte sans donner nâimporte quelle bite pour moins cher (je nâaime pas ça de toute façon), il faisait chaud, jâai commencĂ© Ă manger et je lui lĂ©chais toujours le cou et les oreilles il a Ă©jaculĂ© plusieurs fois pendant que je ressentais la chaleur, ai-je Ă©jaculĂ© un peu la nuit, jâai commencĂ© Ă prendre du plaisir 10-15 minutes plus tard, jâai Ă©jaculĂ© et je me suis faufilĂ©
aprĂšs ce jour-lĂ , la chaleur du logement a commencĂ© Ă brĂ»ler constamment, mais je ne suis jamais parti, il mâa vu au nobette un jour et mâa dit ne vois-tu plus la chaleur, alors je lui ai dit que ça te suffisait et je lui ai dit que je ne pouvais plus mâoccuper de toi, parce que jâavais des femmes dans les Roufs Ă lâĆil, je ne pouvais pas perdre de temps, parce que je quittais toujours le commissariat la nuit et que jâallais Ă la baie, au fait, je suis toujours un soldatâŠ.!