Ces petites culottes ne couvriraient que la moitiĂ© du gros cul de ma tante. Je ne savais pas que ma belle-sĆur couverte et turbanĂ©e portait de telles dentelles, culottes brodĂ©es, soutiens-gorge. Jâai sorti ma bite et jâai commencĂ© Ă frotter sa culotte contre ma bite. Et il a mis le soutien-gorge dans ma bouche, lĂ©chant la marque du mamelon, lâembrassant. Je lâapprĂ©ciais incroyablement Ă lâĂ©poque. Jâai rĂ©alisĂ© que jâallais jouir peu de temps aprĂšs et jâai essayĂ© de mâarrĂȘter, mais en vain. Jâai Ă©jaculĂ© dans la culotte de ma belle-sĆur avec une grande prĂ©cipitation. Il nây avait plus rien Ă faire maintenant. Jâai essuyĂ© tout le sperme de ma bite avec sa culotte. Maintenant, ces petites culottes rouges Ă©taient recouvertes de mon sperme collant. HonnĂȘtement, je ne savais pas quoi faire, mais il nây avait rien Ă faire non plus. AprĂšs tout, ma belle-sĆur allait ĂȘtre ma femme, et je pensais quâelle me comprendrait. Dâailleurs, je pensais quâil ne sâen apercevrait peut-ĂȘtre pas parce quâil allait jeter le linge dans la machine. Jâai remis la culotte et le soutien-gorge dans le panier.
Je suis allĂ© dans la chambre. Ma tante est venue avec les thĂ©iĂšres de la cuisine. Il y avait des verres et une assiette de biscuits sur la table basse. Il posa les thĂ©iĂšres par terre. Il Ă©tait penchĂ© juste devant moi pendant que je rinçais les tasses Ă lâeau chaude et remplissais les thĂ©s. Je ne pouvais pas quitter des yeux son gros cul, qui Ă©tait clairement derriĂšre lui. Quand je suis entrĂ©, elle avait enlevĂ© son pull fin Ă manches longues. Il nâavait pas fermĂ© les boutons du haut de sa chemise, et entre le turban sur sa tĂȘte et la chemise, sa poitrine semblait blanche comme du coton. DĂ©c. Quand elle se pencha, on pouvait voir la fourche de ses seins. Elle portait une jupe longue et ample, la chemise Ă©tait serrĂ©e sur elle. On aurait dit que ses seins allaient sortir de sous la chemise moulante. AprĂšs avoir rempli les thĂ©s, nous avons commencĂ© Ă parler de la mĂ©tĂ©o. Nous ne nous appelions pas encore par nos noms, nous disions simplement âVousâ. Ma belle-sĆur Ă©tait timide et respectueuse envers moi.
Peu de temps aprĂšs cet Ă©vĂ©nement, nous avons eu une petite cĂ©rĂ©monie en famille Ă la maison un soir. Notre mariage a Ă©tĂ© annulĂ©. AprĂšs cela, les femmes et les hommes se sont assis sĂ©parĂ©ment. Les femmes sont descendues dans lâappartement de ma belle-sĆur. Nous avions un locataire lĂ -bas avant, mais nous avons sorti le chalet parce que jâallais Ă©pouser ma tante. Nous avons rĂ©novĂ© la maison et achetĂ© de nouvelles choses. AprĂšs ça, jâallais mâasseoir en bas avec ma belle-sĆur. On lâa sorti du bidonville.
Plus tard, quand les invitĂ©s sont partis, mon pĂšre a dit: âAllez, mon fils, descends, ne fais pas attendre ta femme!âdit-il. Et puis il mâa frappĂ© dans le dos pour trouver mon point de rĂšgles. Ma mĂšre et les filles de ma belle-sĆur Ă©taient Ă©galement montĂ©es Ă lâĂ©tage Ă ce moment-lĂ . Ma mĂšre, comme mon pĂšre, a dit â â Allez, mon fils, ne fais pas attendre ta femme!âil a dit, puis dans mon oreille ââ Fertilisez bien cette femme, pour quâelle donne Ă notre famille un petit-enfant mĂąle!âdit-il. Quand jâai entendu cela, jâai involontairement senti ma bite durcir. Oui, jâallais bientĂŽt baiser et insĂ©miner ma belle-sĆur. Ă cette Ă©poque, la fille aĂźnĂ©e de ma tante Ăzge me regardait constamment. Jâallais bientĂŽt baiser sa mĂšre. Jâai vu Ozge se mordre les lĂšvres. Je dois admettre que jâaurais aimĂ© le baiser Ă la place de sa mĂšre. Ozge Ă©tait une belle fille avec une ligne rebondie, de taille moyenne. Ses gros seins dressĂ©s Ă©taient visibles sous la robe bleue quâelle portait.
Je suis descendu, ma belle-sĆur Ă©tait assise dans le salon. Sa robe violette Ă©treignait son corps et montrait ses lignes. Il avait aussi Ă nouveau un turban violet brillant sur la tĂȘte. Il Ă©tait un peu excitĂ© quand il mâa vu. Je me suis assis Ă cĂŽtĂ© de lui. Ils avaient brĂ»lĂ© le hennĂ© la veille au soir. Il regardait le sol, pas moi. Je lui ai dit â â Tu es la confiance du fils de mon oncle envers moi! Je ne sais pas comment jâaccepte ça non plus!âquand il a dit, sans me regarder, âCâest notre coutume!âdit-il. Il avait tout acceptĂ© depuis le dĂ©but. Je suis restĂ© silencieux. Puis je lui ai pris la main, je me suis levĂ©, je lâai ramassĂ©e et je lâai emmenĂ©e Ă lâintĂ©rieur dans la chambre.
Il Ă©tait tellement excitĂ©, je pouvais sentir ses mains trembler. Quand je suis entrĂ© dans la piĂšce, jâai fermĂ© la porte. Il mâa dit: âJe vais me prĂ©parer, tu sors si tu veux!âdit-il. Je ne voulais pas lâoffenser. Je suis sorti. AprĂšs environ cinq minutes, il a frappĂ© Ă la porte et a dit: âDois-je entrer?âJâai demandĂ©. âOui!âquand jâai entendu ce quâil a dit, jâai lentement ouvert la porte et je suis entrĂ©. Il avait Ă©teint la lumiĂšre et il faisait sombre Ă lâintĂ©rieur. En raison des Ă©pais rideaux de velours, la lumiĂšre du lampadaire ne pouvait pas frapper Ă lâintĂ©rieur. Jâai donc ouvert la porte et allumĂ© la lampe de la salle de bain Ă lâintĂ©rieur. Maintenant, une faible lumiĂšre filait. Jâai enlevĂ© mes vĂȘtements un par un et je me suis complĂštement dĂ©shabillĂ©. Jâai soulevĂ© la couette et me suis couchĂ©.
Quand mon bras a touchĂ© le corps de ma tante, elle a Ă©tĂ© surprise. Il portait une chemise de nuit. Je me suis lentement tournĂ© sur le cĂŽtĂ© et jâai commencĂ© Ă lâembrasser sur les joues. Je passais aussi mes mains sur son corps. Jâai passĂ© ma main Ă travers sa chemise de nuit et lui ai attrapĂ© les fesses. Je pense que ma main touchant ses cuisses charnues lâa un peu fait frissonner. Ses hanches Ă©taient lisses. Il Ă©tait Ă©vident quâelle Ă©tait une femme soignĂ©e. Elle ne portait pas de culotte dans sa chemise de nuit. Jâai commencĂ© Ă lui caresser le cul avec ma main. Je serrais tes fesses, les pĂ©trissais. Quand jâai mis ma main dans sa chatte, jâai dit: âIihh!âil a fait du bruit. Jâai commencĂ© Ă lui caresser la chatte. Sa chatte Ă©tait immaculĂ©e et glabre. Je lui ai demandĂ©: âAvez-vous fait de lâĂ©pilation Ă la cire?âquand il a demandĂ© ââ Je lâai nettoyĂ© ce matin!âdit-il.
Ses lĂšvres de chatte Ă©taient charnues et grandes. Je les pressais du bout des doigts. Jâai commencĂ© Ă mettre mon majeur dans sa chatte et Ă le retirer. Ma belle-sĆur ne rĂ©agissait pas du tout. Mais jâai rĂ©alisĂ© que sa chatte arrosait. Mon doigt et ma main dans sa chatte ont Ă©tĂ© laissĂ©s dans lâeau. Jâai mis mon autre main Ă lâintĂ©rieur du col de sa chemise de nuit et jâai commencĂ© Ă palmier et Ă serrer ses seins sans soutien-gorge. Jâai enlevĂ© ses seins en enlevant le col de sa chemise de nuit. Ses seins Ă©taient gros et dodus, mais ils tombaient parce quâelle avait donnĂ© naissance Ă un enfant, et aussi Ă cause de son Ăąge. Je serrais ses tĂ©tons, suçant avec mes lĂšvres. Pendant que je jetais de petites bouchĂ©es, jâentendais ma belle-sĆur gĂ©mir lĂ©gĂšrement. Je ne pouvais plus le supporter, âOuvre tes jambes!âJâai dit doucement. Ma belle-sĆur a soulevĂ© sa taille en lâair et a dĂ©shabillĂ© sa chemise de nuit. Alors je me suis redressĂ© et jâai pris ma place entre ses jambes ouvertes. DĂ©c. Quand jâai jetĂ© la couette sur moi, jâai vu ma belle-sĆur avec sa chemise de nuit dĂ©nudĂ©e jusquâĂ la taille et ses jambes ouvertes dâun cĂŽtĂ© Ă lâautre.
Il regardait ma bite Ă lâĂ©poque. Ma bite est devenue comme un pieu et sâest Ă©levĂ©e dans les airs avec toute sa majestĂ©. Je me suis penchĂ© sur mes genoux. Et puis la tĂȘte de ma bite commençait lentement Ă entrer par sa chatte. Pendant ce temps, ma belle-sĆur a dit â â Hmmm!âun lĂ©ger gĂ©missement vint de lui. AprĂšs que ma bite soit entrĂ©e dans sa chatte, jâai commencĂ© Ă aller et venir lentement en elle au dĂ©but. Soutenue par mes pieds depuis le lit, je la baisais en position de missionnaire. Il nây a aucun bruit de ma belle-sĆur, elle Ă©tait juste allongĂ©e sous moi avec ses bras tendus des deux cĂŽtĂ©s. Jâembrassais son visage, ses joues, ses lĂšvres. Il y avait une lĂ©gĂšre odeur de parfum provenant de ses cheveux. Je suçais ses seins, mordant lĂ©gĂšrement les extrĂ©mitĂ©s.
Puis jâai commencĂ© Ă accĂ©lĂ©rer et Ă piquer davantage. Il Ă©tait juste allongĂ© sous moi pendant que jâallais et venais sur ma belle-sĆur et que je gĂ©missais de plaisir. Le lit avait commencĂ© Ă craquer. Jâai aimĂ© le lit et je lâai achetĂ© avant le mariage. CâĂ©tait un beau lit en laiton. Ami sâĂ©tait dĂ©veloppĂ©e parce quâelle avait Ă©tĂ© baisĂ©e par son oncle pendant des annĂ©es et avait donnĂ© naissance Ă des enfants. Je nâavais pas de difficultĂ© Ă y entrer et Ă en sortir. LâintĂ©rieur de sa chatte Ă©tait glissant et chaud.
Le silence de ma belle-sĆur mâa rendu encore plus excitĂ© et en colĂšre. Ma bite lui a-t-elle semblĂ© petite, je me demande? NâapprĂ©ciait-il pas ça? Jâavais accĂ©lĂ©rĂ© encore plus vite quand jâavais de telles questions en tĂȘte, et maintenant le lit faisait des bruits forts. Je suis sorti de ta chatte. Je lâai attrapĂ©e par la taille et lâai glissĂ©e en arriĂšre un peu plus loin. Quand elle a levĂ© ses jambes et les a plantĂ©es en lâair, sa chatte est apparue. Jâai alignĂ© ma bite avec sa chatte avec ma main et je suis lentement rentrĂ© dedans. Jâai mis ses jambes, que jâai ouvertes dâun cĂŽtĂ© Ă lâautre, sur mon Ă©paule et jâai commencĂ© Ă baiser plus violemment de cette façon. Son corps se balançait sous moi avec mes coups de bite. Ma belle-sĆur a lentement dit â â Aah, aah!âles sons commençaient Ă venir. Les bruits Ă©mis par le lit Ă©taient plus violents cette fois. Maman et papa avaient une chambre Ă lâĂ©tage. Je pensais quâils entendaient peut-ĂȘtre des bruits en sortant du lit.
Cette fois, jâai de nouveau sĂ©parĂ© ses jambes et jâai dit: âĂcartez bien ses jambes, tenez-les!Jâai dit. Ma belle-sĆur a fait ce que jâai dit, Ă©cartant largement les jambes dâun cĂŽtĂ© Ă lâautre et tenant ses cuisses par le bas. Jâai pris de la force en la tenant par la tĂȘte du lit, et quand jâai avancĂ© avec ma force, jâai senti que ma bite entrait dans sa chatte jusquâĂ mes couilles. Câest comme si ma belle-sĆur criait â â Ahh!âleurs voix commençaient Ă venir. Je la baisais comme un animal avec le pouvoir que je tirais de la tĂȘte du lit. Ses seins se balançaient dâavant en arriĂšre, Ă droite et Ă gauche. Jâobtenais un plaisir incroyable. Chaque fois que je le mettais dans sa chatte avec une plus grande force, elle disait: âComment? Est-ce que ça va comme ça? Ah? Dites-moi, votre mari vous a-t-il dĂ©jĂ baisĂ© comme ça? Allez, dis-moi!â Je lâai dit. Et de la part de ma belle-sĆur, câest juste fĂ©roce â â Ahh!âleurs voix arrivaient.
La piĂšce Ă©tait remplie des craquements du lit, des sons de âAah aahâ de ma belle-sĆur, des sons de â Gifle gifleâ qui sortaient lorsque mes couilles frappaient mon aine. Je nâavais aucune intention dâĂ©jaculer. Quand je la baisais comme un animal, jâavais deux virages sous moi. Je suis sorti de sa chatte et je lâai retournĂ©e avant quâelle ait eu lâoccasion de dire quoi que ce soit. Je lui ai demandĂ© de se redresser sur ses genoux. Il se soutint en tenant la tĂȘte du lit avec ses mains et se recroquevilla sur ses genoux. Jâai pris ma place derriĂšre lui.
Lorsque le cul a bien ouvert ses joues dâun cĂŽtĂ© Ă lâautre, le trou du cul est apparu, qui Ă©tait assez poilu et ressemblait Ă une fosse. Je lâai pressĂ© contre le trou avec mon pouce. Mon doigt Ă©tait trempĂ© de sueur dĂ©trempĂ©e. Jâai senti les poils raides. Je lui ai dit de bien plier la tĂȘte et la taille. Jâai sĂ©parĂ© ses jambes. Jâai remis ma bite dans sa chatte. Je lâai attrapĂ© fermement par la taille et jâai commencĂ© Ă accĂ©lĂ©rer de plus en plus. Ma belle-sĆur a encore dit â â Ahh, ahh!âil a commencĂ© Ă faire des bruits, et le lit a commencĂ© Ă trembler et Ă grincer comme il lâa fait tout Ă lâheure. Les bruits de mon aine frappant ses hanches rĂ©sonnaient dans la piĂšce.
Tere sĂ”brad, ma olen Cem, lĂ”puks hakkasin kirjutama suhetest, mis mul on elas kuni tĂ€naseni,…
hola, amantes de las historias sexuales casadas, les contarĂ© una historia que experimentĂ© today.My mi…
ÎÏÎčÎșα ÎŒÎΜα ÎΔÎčα ÏαÏ, ΔÏÎčÏÏÎÏÏΔ ÎŒÎżÏ ÎœÎ± ÎŒÏÏ ÏÏÎż ΞÎΌα ÏÏÏÎŻÏ ÎŹÎ»Î»Î· ÎșÎ±ÎžÏ ÏÏÎÏηÏη; Î”ÎŻÎŒÎ±Îč η…
ÏÏÎčÎŒÎż ÏÏÏÎșÏÎčÎșÏ ÏÎżÏÎœÏ ÎΔÎčα ÏαÏ, ÎŒÎÎœÏ ÏÏÎż Aydın. ΀ο ÏÎœÎżÎŒÎŹ ÎŒÎżÏ Î”ÎŻÎœÎ±Îč Reyhan, Î”ÎŻÎŒÎ±Îč 39…
xhamster beo Nuair a loisceadh mĂ© as mo phost ar chĂșiseanna neamh-chomhoiriĂșnachta ĂĄirithe agus nach…