LâannĂ©e derniĂšre, en aoĂ»t, un jour mon oncle est venu nous voir et nous a dit â â Allons tous faire un voyage Ă lâĂ©tranger la semaine prochaine, allons Ă Paris pour quelques jours!âdit-il. Tout le monde a accueilli positivement cette idĂ©e, sauf mon pĂšre. Papa a dit quâil ne pouvait pas venir Ă cause de son travail. Alors on a dit OK et ma mĂšre, mon oncle et ma tante ont dĂ©cidĂ© dây aller. Nous allions passer des vacances de 3 nuits et 4 jours Ă Paris. Une semaine sâest Ă©coulĂ©e et le jour est venu de partir.
CâĂ©tait vers le soir quand nous avons atterri Ă Paris, nous sommes immĂ©diatement allĂ©s Ă lâhĂŽtel et nous nous sommes enregistrĂ©s. Tout le monde Ă©tait trĂšs fatiguĂ©, vous savez, les procĂ©dures habituelles de passeport avaient pris beaucoup de temps. Au fait, ma mĂšre et moi logions dans une chambre Ă lâhĂŽtel, et mon oncle et ma tante logeaient dans une chambre sĂ©parĂ©e. DĂ©c. Le soir, tout le monde sâest reposĂ©, a pris une douche, sâest prĂ©parĂ© et est descendu dĂźner Ă la gibotĂ©line Ă 22h00. Et quand mon oncle et ma tante sont arrivĂ©s, jâĂ©tais sur le point dâavaler ma petite langue de surprise. Ma belle-sĆur portait une robe transparente noire une piĂšce, ses sous-vĂȘtements Ă©taient Ă©vidents. Ma tante disait toujours que mon oncle nâĂ©tait jamais jaloux, mais honnĂȘtement, je ne mâattendais pas à ça non plus.
Quoi quâil en soit, la nourriture a commencĂ© Ă ĂȘtre mangĂ©e. Ma belle-sĆur avait lâair si sexy pendant que nous mangions, jâavais installĂ© la tente sous la table. Comme le repas Ă©tait un buffet ouvert, je devais aller acheter quelque chose quand mon assiette Ă©tait finie, mais je ne pouvais pas me lever et le ramasser car il serait Ă©vident que ma bite Ă©tait levĂ©e. Bien sĂ»r, je me suis levĂ© de table avec lâestomac vide. AprĂšs le dĂźner, nous nous sommes tous assis ensemble dans le hall de lâhĂŽtel et avons parlĂ© pendant un moment. Il Ă©tait plus de 24h00, ma mĂšre est entrĂ©e dans la chambre pour aller se coucher. Ma tante nâavait que 24 ans, son sang bouillait, elle voulait sortir, aller en discothĂšque. Quand mon oncle a dit quâil Ă©tait trĂšs fatiguĂ©, il ne pouvait aller nulle part, ma tante a boudĂ©. Je riais de ma belle-sĆur sous ma moustache. Ă ce moment-lĂ , je me suis levĂ© de chez mon oncle et ma tante, disant que je sortais, et jâai demandĂ© la permission dâaller dans ma chambre et de me prĂ©parer. Vous auriez dĂ» voir lâexpression faciale de ma belle-sĆur Ă ce moment-lĂ , elle Ă©tait trĂšs jalouse que je sorte, elle a commencĂ© Ă faire des grimaces Ă mon oncle.
Je suis montĂ© dans notre chambre, jâai dâabord pris une douche, puis je me suis habillĂ© trĂšs Ă©lĂ©gamment selon Paris, jâai mis mon parfum et jâai quittĂ© la chambre. Quand je suis descendu dans lâascenseur et que jâai traversĂ© le hall, ma belle-sĆur mâa soudainement sautĂ© dessus. JâĂ©tais tellement surpris, il sautait de joie. Mon oncle avait permis Ă ma tante de sortir avec moi le soir, et elle sâĂ©tait endormie elle-mĂȘme. JâĂ©tais incroyablement déçue Ă ce moment-lĂ , quels projets avais-je en tĂȘte pour les filles françaises, mais jâallais devoir bien mâasseoir car jâavais ma belle-sĆur Ă cĂŽtĂ© de moi đ
Jâai appelĂ© un taxi devant lâhĂŽtel et lui ai dit de lâemmener dans lâune des bonnes discothĂšques de la ville. Au fait, comme ma belle-sĆur nâa pas de langue Ă©trangĂšre, je parlais Ă tout le monde. DĂ©c. Le chauffeur de taxi nous a emmenĂ©s dans un endroit Ă©lĂ©gant du centre-ville. Quand jâĂ©tais sur le point dâaller Ă la discothĂšque, ma belle-sĆur a dit quâelle voulait aller se promener, alors jâai dĂ» dire OK. Nous avons commencĂ© Ă marcher dans les ruelles de Paris. DĂ©c. En chemin, nous marchions, jâai pris deux Redbulls Ă la vodka dans un bar et je suis sorti, nous buvions et bavardions. Boire dans nos mains, marcher seul dans les rues de Paris a eu un effet romantique, ma belle-sĆur a Ă©tĂ© attirĂ©e vers moi, a mis ma main sur son Ă©paule. Je pensais toujours de bonne foi, je disais juste que nous avions une conversation. Ă un moment donnĂ©, ma tante a dit â â DĂ©campons quelque part!âdit-il. nous avons errĂ© dans les ruelles dâune ville que nous ne connaissions pas pendant 1 heure, et nous nous sommes perdus dans un Ă©tat de dĂ©crĂ©pitude.
Il y avait des inscriptions âClubâ avec des lumiĂšres qui brillaient quelque part Ă proximitĂ©, nous avons dĂ©cidĂ© dây entrer mĂȘme si câĂ©tait un endroit un peu isolĂ©. Quand nous sommes entrĂ©s, il nây avait personne dâautre que nous et le barman. Quand jâai vu les poteaux dans lâendroit, jâai rĂ©alisĂ© que lâendroit Ă©tait un club de Strip-tease, mais je nâai rien dit Ă ma belle-sĆur. Nous nous sommes assis prĂšs de la scĂšne et avons achetĂ© un verre. Pendant que nous sirotions nos boissons, une catastrophe brune est apparue sur la scĂšne, elle ne portait quâun bikini, et ma tante sâest rĂ©veillĂ©e Ă lâincident lorsquâelle a commencĂ© Ă danser autour du poteau. Il Ă©tait un peu gĂȘnĂ©, mais il a commencĂ© Ă boire son verre plus vite. Au fur et Ă mesure que lâhorloge avançait, les femmes strip-teaseuses changeaient constamment et portaient des vĂȘtements de plus en plus racĂ©s, et Ă la fin du spectacle, elles Ă©taient complĂštement dĂ©shabillĂ©es. Je regardais dĂ©cemment les femmes de temps en temps, je regardais dĂ©cemment mon tĂ©lĂ©phone de temps en temps sans rĂ©agir.
Ma belle-sĆur mâa dit: âJe pense que tu y es tellement habituĂ©e, tu ne regardes pas du tout les femmes!âdit-il. âIl y en a beaucoup en Turquie!Jâai dit. Ma belle-sĆur a dit â â Allez, pourquoi ne lâai-je jamais vu?âdit-il. Jâai ri et jâai dit: âIls travaillent exclusivement pour moi, les femmes avec qui je suis en Turquie les triplent!Jâai dit. Ma belle-sĆur a dit â â Tu es trop rapide, nâest-ce pas?âdit-il. âNe parle pas comme si tu ne savais pas, tante!âDis-je en riant encore. Pendant ce temps, dâautres hommes sont venus sur place et peu Ă peu tout le monde a commencĂ© Ă jouer avec leur bite. DĂ©c. Ma tante avait bu trop dâalcool, elle ne les quittait pas des yeux, elle regardait les hommes sans aucune hĂ©sitation. Ă ce moment-lĂ , mes veines masculines turques Ă©taient enflĂ©es, jâai laissĂ© le compte sur la table, attrapĂ© ma belle-sĆur par le bras et lâai tirĂ©e hors de lâendroit. Nous nous sommes promenĂ©s un peu plus dans la rue sans jamais Ă©voquer le sujet et avons arrĂȘtĂ© un taxi. Il avait trouvĂ© lâheure 03h00. Jâai pris un taxi et jâai donnĂ© lâadresse de lâhĂŽtel.
Ma belle-sĆur avait trop bu, sâest Ă©vanouie dans le taxi, a mis sa tĂȘte sur mes genoux et sâest couchĂ©e. Quand elle Ă©tait allongĂ©e, toute sa jupe Ă©tait ouverte, dĂ©nudĂ©e jusquâĂ sa culotte, (je pense quâelle lâa fait spĂ©cialement, bien sĂ»r!). Ses jambes Ă©taient charnues et elle avait lâair si sexy que je lâai regardĂ©e pendant un moment. Puis jâai commencĂ© Ă lui frotter les jambes sous prĂ©texte de ne pas avoir froid. âIl fait froid, tante, tu dois avoir froid!â On me lâa dit, mais il nây a eu aucune rĂ©action de ma belle-sĆur, elle sâĂ©tait complĂštement Ă©vanouie. Sachant cela dĂ©cemment, jâai mis ma main entre ses jambes et jâai commencĂ© Ă lui caresser lĂ©gĂšrement la chatte Ă travers sa culotte. La culotte de ma belle-sĆur Ă©tait trempĂ©e. Jâai Ă©cartĂ© la culotte et jâai commencĂ© Ă passer ma main autour des lĂšvres de sa chatte. Oh, mon Dieu, ma tante avait une chatte merveilleuse, tout comme je le voulais. En attendant, nous Ă©tions arrivĂ©s Ă lâhĂŽtel. Il sâest levĂ© quand jâai appelĂ© ma belle-sĆur. Jâai Ă©tĂ© trĂšs surpris, cette femme qui avait beaucoup bu et qui sâĂ©tait Ă©vanouie est revenue Ă la raison avec un appel. Il marchait tout Ă fait normalement quand il est sorti du taxi et sâest dirigĂ© vers lâhĂŽtel. Je me suis demandĂ© si cette femme nâĂ©tait pas ivre.
Quand nous sommes entrĂ©s dans lâhĂŽtel, ma belle-sĆur a dit: âMa bouche sent lâalcool, ton oncle sera en colĂšre sâil le dĂ©couvre, quâallons-nous faire?âdit-il. Je lui ai dit â â Si tu veux, je vais prendre une chambre secrĂšte chez nous, tu peux y prendre une douche, faire tes valises et aller dans ta chambre?Jâai dit. Ma belle-sĆur a officiellement sautĂ© sur mon offre. Jâai immĂ©diatement demandĂ© une chambre Ă la rĂ©ception. Quand nous avons pris la clĂ© et sommes entrĂ©s dans la chambre, je me suis allongĂ© sur le lit, ma belle-sĆur a pris une douche. Un peu plus tard, il y a eu des bruits de tĂȘte baissĂ©e avant la douche, suivis de douloureux, â Ahhhh!â ne gĂ©mis pas. Jâai couru et cliquĂ© sur la porte de la salle de bain, âTante, ça va?âJâai demandĂ©. âBerk, je suis tombĂ©, jâai dĂ» trop boire, ma tĂȘte tourne!âdit-il. âTu vas bien? Tu veux que je tâaide?Jâai dit. âOui, viens mâaider, je nâarrive pas Ă me lever!âdit-il. Je nâaurais jamais pu imaginer la vue que jâai vue lorsque jâai ouvert la porte et que je suis entrĂ© dans la salle de bain, ma belle-sĆur Ă©tait allongĂ©e nue sur le sol. Jâai immĂ©diatement essayĂ© de lâattraper et de le soulever, Ă ce moment-lĂ je lui attrapais le cul des jambes. Finalement, alors que jâessayais de le soulever et de le mettre dans la baignoire Ă moitiĂ© remplie, jâai perdu lâĂ©quilibre et suis tombĂ© dans la baignoire avec ma tante. Il Ă©tait sous moi avec le corps nu de ma belle-sĆur.
Me maudissant, je me suis levĂ© et suis entrĂ© Ă lâintĂ©rieur. Jâai enlevĂ© mes vĂȘtements trempĂ©s et les ai mis prĂšs de la fenĂȘtre pour sĂ©cher. JâĂ©tais allongĂ© sur le lit avec des boxers mouillĂ©s en attendant ma tante. Ma belle-sĆur est sortie de la salle de bain en peignoir 15 minutes plus tard. Il se tenait devant moi, me regardait. CâĂ©tait en aoĂ»t, et bien quâil fasse trĂšs chaud, ma tante est venue me voir en disant quâelle avait froid et mâa serrĂ© dans ses bras et sâest couchĂ©e. Puis il a dit quâil ne pouvait pas se rĂ©chauffer comme ça, il voulait se mettre sous la couverture. Cependant, lâenvironnement devenait de plus en plus chaud. Se mettant sous la couverture, il enleva habilement la robe sur lui, la jeta de cĂŽtĂ©, tira la couverture sur lui. âAllez, mets-toi sous la couverture, rĂ©chauffe â moi, jâai froid!âil disait. Quand je me suis couchĂ© avec un boxer mouillĂ© sur moi, ma belle-sĆur mâa dit dâenlever mon boxer tellement elle Ă©tait mal Ă lâaise. Alors jâai fait ce quâil a dit, jâai enlevĂ© le boxer et je me suis mis sous la couverture, en attendant ce qui allait se passer maintenant. Ă ce moment-lĂ , ma belle-sĆur a jetĂ© sa jambe par-dessus ma jambe sous prĂ©texte de me serrer dans ses bras, frottant sa chatte sur ma jambe. Sa chatte mouillait littĂ©ralement ma jambe comme une pĂȘche juteuse.
Lors du dĂ©mĂ©nagement de ma belle-sĆur, je me suis tournĂ© vers elle avec ma bite, qui Ă©tait comme un pieu, et jâai posĂ© ma bite sur le ventre de ma belle-sĆur. Quand il a senti ma bite, il a commencĂ© Ă regarder mes yeux et sâest soudainement accrochĂ© Ă mes lĂšvres. On sâembrassait comme des fous, comme sâil voulait manger, pas mâembrasser. En sâembrassant, sa main ne restait pas inactive non plus, il attrapait ma bite, la bougeait de haut en bas, et je passais ma main sur tout son corps. AprĂšs quelques minutes, elle a arrĂȘtĂ© de sâembrasser et sâest penchĂ©e sur ma bite et a commencĂ© Ă lĂ©cher avec de doux baisers. Il lĂ©chait si bien, câĂ©tait comme sâil essayait de me sucer complĂštement la bite.
Pendant que ma belle-sĆur me lĂ©chait la bite, je lui ai dit de se retourner et de la mettre en position 69. La chatte jaune de ma belle-sĆur avait lâair de nâavoir jamais encore Ă©tĂ© baisĂ©e. La chatte que je viens dâattraper dans le taxi Ă©tait entre mes lĂšvres en ce moment et jâai commencĂ© Ă la lĂ©cher avec appĂ©tit. DĂ©c. Jâouvrais les lĂšvres de sa chatte avec mes doigts et lĂ©chais son clitoris, y pĂ©nĂ©trant avec un doigt. Pendant ce temps, ma belle-sĆur serrait ma bite dans ses bras avec plus dâappĂ©tit, mĂȘme si ma bite Ă©tait dans sa bouche, âMmmmmhh, ooohhh!âil faisait des bruits comme.
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