espion fam.com Au fil du temps, nous avons commencĂ© Ă traĂźner sur Internet et Ă discuter ensemble. Il voulait que je parle aux hommes. Franchement, je ne voulais pas au dĂ©but. Son insistance et mon excitation aussi nous ont poussĂ©s Ă discuter avec des hommes Ă©trangers. De petites conversations ont commencĂ© Ă se former. Au fil du temps, la dose de ces conversations et le niveau dâĂ©rotisme ont commencĂ© Ă augmenter.
Mais ces conversations ont Ă©tĂ© instantanĂ©es, elles sont restĂ©es lĂ . Nous nâavons pas pu trouver le bon pour continuer. Certains sont trĂšs pervers, certains hĂątifs, certains sont arrogants We Nous voulions quelquâun qui mâapprĂ©cierait vraiment et avec qui nous pourrions tout partager.
Avec le temps, nous avons trouvĂ© la personne que nous recherchions et nous avons commencĂ© Ă parler Ă Msn. Il sâappelle Mustafa. CâĂ©tait un homme mariĂ© de 30 ans avec un travail. Il Ă©tait en deuil parce quâil nâavait pas rencontrĂ© de couple mariĂ© depuis des annĂ©es. Il voulait vraiment quâon soit rĂ©els. Nous avons ouvert la fenĂȘtre, je portais mon pantalon de survĂȘtement. Il Ă©tait trĂšs beau, trĂšs poli. Il nâĂ©tait pas pressĂ© et son discours Ă©tait trĂšs rĂ©gulier. Nous avons discutĂ© de sexe dâici et lĂ jusquâau matin.
On se parlait tous les jours maintenant. Nos conversations avec Mustafa se sont poursuivies, avec ou sans ma femme. Il sâintĂ©ressait vraiment Ă moi. Il mâaimait bien. Tout se passait trĂšs bien. Nous faisions aussi des bĂȘtises. Nous sommes passĂ©s de montrer mes seins instantanĂ©ment Ă caresser ma chatte sans ĂȘtre vus devant la camĂ©ra. Il nous a Ă©galement montrĂ© son outil incroyable. Il nous regardait et nous complimentait en mâembrassant ou en me caressant.
On se racontait des fantasmes et on sâexcitait mutuellement. Jâavais des relations sexuelles avec ma femme quand elle pouvait simplement fermer la fenĂȘtre et nous entendre. Nos voix Ă©taient si excitantes pour lui. Nous en avons Ă©galement ressenti un plaisir incroyable.
Ces conversations ont durĂ© un an. Mustafa et ma femme veulent se rencontrer maintenant, je ne pouvais pas dire que ça arriverait. Vous connaissez une situation trĂšs difficile. Jâavais officiellement une petite amie, que je voyais Ă chaque occasion, avait des relations sexuelles virtuelles⊠Ma femme le savait aussi. Il y avait deux hommes dans ma vie⊠Tous les deux essayaient vraiment de me rendre heureuxâŠ
Mustafa respectait mes limites. Il savait tout de moi maintenant. Mais mon tout Even MĂȘme ce que jâaime Ă©ternuer And Et finalement, finalement, jâai dit Ă Mustafa de rĂ©pondre Ă la demande de ma femme. Nous Ă©tions dans des villes diffĂ©rentes. On Ă©tait trop loin. Le jour oĂč nous nous sommes mis dâaccord, je me suis habillĂ© comme dâhabitude. Ma femme et moi sommes allĂ©s la saluer, vĂȘtus dâun pull, dâune jupe longue, dâun voile sur la tĂȘte. On ne sâest jamais parlĂ©.
Mustafa est venu en bus. Je le connaissais quand jâĂ©tais dans le bus. Ma femme Ă©tait dans un endroit diffĂ©rent et jâĂ©tais dans un endroit diffĂ©rent. CâĂ©tait un rĂ©gal pour nous. Je pensais toujours que je pourrais changer dâavis au stade final. Il mâa vu mais ne mâa pas reconnu. Parce quâil ne mâavait jamais vu couvert. Lâhomme qui savait oĂč jâĂ©tais sur mon corps ne pouvait pas me reconnaĂźtre Ă cause de ma couverture.
Ils ont serrĂ© la main de ma femme. Le temps Ă©tait froid. Ils se sont Ă©loignĂ©s de moi et jâĂ©tais sur la plateforme de tĂ©lĂ©chargement pendant un moment. Ils sont entrĂ©s dans la gare routiĂšre. Ma femme appelait. Il a dit dâaller Ă la voiture. Jâai juste dit ok. Je suis allĂ© Ă la voiture et jâai attendu. Je voulais que ma femme vienne et reparte chez nous le plus tĂŽt possible. Quinze minutes plus tard, ils arrivaient tous les deux de la direction opposĂ©e. Je ne pouvais penser Ă rien.
Ma femme a pris le volant. Mustafa Ă©tait assis Ă lâarriĂšre et jâĂ©tais Ă lâavant. Ma femme me souriait, jâĂ©tais trĂšs nerveux, excitĂ© Ă mort. Ma femme a marchĂ© sur le gaz. Moustafa,
âNe veux-tu pas dire bienvenue, Bouquet?âdit-il. Je ne pouvais mĂȘme pas tourner la tĂȘte dâexcitation, avec ma voix tremblante.
âBienvenueâ dis-je. Parler avec vous et nous lâa fait taire. Je ne sais vraiment pas pourquoi jâai dit ça. On est rentrĂ©s Ă la maison. JâĂ©tais devant, ma femme et Mustafa Ă©taient derriĂšre moi. Nous sommes entrĂ©s dans lâappartement. Jâouvrais les portes rapidement As Comme si quelquâun nous voyait, nous attrapait, nous Ă©tions des criminelsâŠ
Notre appartement Ă©tait au rez-de-chaussĂ©e. Nous sommes entrĂ©s. LĂ , nous avons rencontrĂ© des yeux pour la premiĂšre fois. Nous sommes allĂ©s dans le hall. Il a enlevĂ© son manteau, je lâai achetĂ©. Jâavais un manteau dans une main. tendant ma main,
âBienvenue Mustafa,â dis-je. Il avait lâair cool. souriant
âBienvenue, Bouquet saidâ dit â il. Nous nous sommes juste serrĂ© la main avec ma main tremblante lorsque nous nous demandions sâil fallait embrasser ou non, sur la joue ou sur les lĂšvres. Je suis allĂ© raccrocher son manteau, je ne pouvais plus rentrer⊠jâattendais devant la porte avec excitation. Ouvre enfin la porte
Jâai dit :âJe vais prĂ©parer le dĂźner.âEn fait, le dĂźner Ă©tait prĂȘt. La table serait seulement prĂ©parĂ©e. Jâai fumĂ© une cigarette dans la cuisine. Jâai commencĂ© Ă le poser sur la table du salon.
âAllons-nous aider?âdit ma femme.
â Ăa ira bien â dis-je. Nous avons mis la table en peu de temps sans parler. Nous nâavons pas beaucoup parlĂ© pendant que nous mangions. Sauf pour le voyage de Mustafa et le froid. Nous nous sommes levĂ©s du dĂźner et avons dĂ©barrassĂ© la table ensemble. Moustafa
âDois-je aider avec la vaisselle?âdit-il. Jâai regardĂ© ma femme avec hĂ©sitation, jâavais toujours peur dâĂȘtre seul avec elleâŠ
âOh, bien sĂ»râ tout ira bienâ, a dĂ©clarĂ© ma femme. On faisait la vaisselle avec Mustafa. Bien sĂ»r, mon Ă©tat calme et inquiet nâa pas Ă©chappĂ© Ă ses yeux sensibles.
âBouquet, sâil te plaĂźt, dĂ©tends-toi. On passera une bonne soirĂ©e. Comme un ami. Si tu veux, je peux y aller tout de suite. Jâirai ce soir si tu veux. Je peux rester ici deux jours si tu veux. Je ne suis pas dâhumeur Ă te contrarier. Toute la dĂ©cision est Mert et la vĂŽtre⊠â dit â il.
Jâai Ă©tĂ© soulagĂ© par ses paroles. Parce que si on ne voulait pas, Mustafa ne nous forcerait pas. On a lavĂ© la vaisselle.
âTu ne vas pas enlever ton foulard?âdit-il. Jâai rĂ©alisĂ© quand il lâa dit, le voile Ă©tait toujours sur ma tĂȘte,
âBien sĂ»r que je lâenlĂšve, ce nâest pas ce que je porte toujoursâ, ai-je dit.
Nous sommes allĂ©s dans le hall. Il Ă©tait huit heures. Ma femme mâa appelĂ© et nous sommes entrĂ©s dans la chambre. Ătreint
âMa belle femme, comment vas â tu, comment te sens-tu?âdit-il.
âJe ne sais pas, comment vas-tu?âJâai dit.
âJe vais bienâ a dit ma femme
âAlors je vais bien aussi,â dis-je. On a ri. Il dĂ©posa un long baiser sur mes lĂšvres.
âJe vois, tu es trĂšs excitĂ©, je sais. Mais dĂ©tends â toi, fais tout ce qui te passe par la tĂȘte, chĂ©rieâ, dit-il et retourna dans le salon. Jâai versĂ© du thĂ© immĂ©diatement.
Je suis allĂ© dans la chambre et je me suis complĂštement dĂ©shabillĂ©. Je ne portais rien Ă lâintĂ©rieur. Jâavais une robe de soirĂ©e rouge une piĂšce. Il avait une encolure triangulaire et une sangle en corde. Son dos Ă©tait Ă©galement fendu. Jâai rassemblĂ© mes longs cheveux en haut avec une Ă©pingle Ă cheveux. Jâai mis mes collants fins nude. Lâourlet de ma robe Ă©tait juste un pouce au-dessus de mes genoux. Jâai mis un rouge Ă lĂšvres rouge vif sur mes lĂšvres. Je me suis regardĂ© dans le miroir. JâĂ©tais trĂšs gentil. Ma femme appelait
Jâai dit: âJâai versĂ© du thĂ©, je reviens dans cinq minutes.âCâĂ©tait du thĂ©. Je lâai mis sur le plateau, je lâai mis dans le biscuit. Je suis allĂ© dans le salon, ils Ă©taient tous les deux choquĂ©s quand je suis entrĂ©. Jâai Ă©tĂ© nĂ©gligent. Jâessayais dâĂȘtre Ă lâaise. Jâai mis le plateau sur la table. Mon partenaire
âMon amour, tu es si belleâ, a-t-il dit. Retour Ă Mustafa
âMustafa, ça ne tâa pas plu?âJâai dit.
âJâaime beaucoup ça, Buket, mais je suis sans voix, je ne trouve pas les mots pour le direâ, a-t-elle Ă©galement dĂ©clarĂ©âŠ
Jâaimais ĂȘtre aimĂ© comme ça par deux hommes. JâĂ©tais tellement excitĂ©. Mes mains tremblaient. Je me suis retournĂ© et leur ai versĂ© du thĂ©. Je suis sĂ»r quâils regardaient tous les deux mes fesses. Leurs deux yeux semblaient sortir de leurs orbites alors quâils regardaient mes seins pendant que jâoffrais les thĂ©s.
Je me suis assis Ă cĂŽtĂ© de ma femme. Mustafa Ă©tait devant moi. Jâai croisĂ© les jambes. Mustafa ne pouvait pas dĂ©tacher ses yeux de mes jambes. Mon mari parlait de la femme belle, passionnĂ©e et sexy que je suis. Ces conversations de ma femme mâont mis trĂšs Ă lâaise.
Jâai interrogĂ© Mustafa sur sa relation avec sa femme. Il a dit quâil avait un beau mariage de lâextĂ©rieur, mais que sa femme Ă©tait trĂšs conservatrice sexuellement.
Je nâarrivais pas Ă me croire. De quoi je parlais avec lâhomme de la main et en robe sexy sur moi, les jambes croisĂ©es, Ă cĂŽtĂ© de mon mari devant lui⊠Nous parlions de la vie sexuelle de lâhomme comme si câĂ©tait trĂšs normalâŠ
Je ne pouvais tout simplement pas sortir ces pensĂ©es de ma tĂȘte. Peu importe Ă quel point jâessayais dâĂȘtre Ă lâaise, mes mains et ma voix tremblaient. On discutait. De temps en temps, quand il nây avait rien Ă dire, Mustafa ou ma femme intervenaient et nous continuions Ă parler. Le temps passait en quelque sorte. Nous avions aussi des conversations sexuelles.
Le thĂ© Ă©tait fini. Je me suis levĂ©, je suis allĂ© Ă la cuisine et jâai encore versĂ© du thĂ©. Je suis entrĂ© dans la chambre. Je portais ma jupe courte Ă bretelles bleues. CâĂ©tait si court que je pouvais tout voir. Jâavais une culotte bleue et je la portais aussi. Je suis entrĂ©. Ils ont tous deux dit avec admiration â â Oooo..âJe me suis Ă nouveau assis timidement Ă cĂŽtĂ© de ma femme. Devant Mustafa I je nâai pas croisĂ© les jambes, mais peu importe mes efforts, je ne pouvais pas empĂȘcher ma culotte dâĂȘtre vue lĂ oĂč jâĂ©tais assise. Mustafa a Ă©galement remarquĂ© que je nâĂ©tais pas Ă lâaise, je suppose, il essayait de ne pas me regarder. Nous discutions, maintenant je parlais plus. Ils me faisaient parler exprĂšs.
Je suis allĂ© Ă la cuisine pour le thĂ©. Ma femme Ă©tait derriĂšre moi. Il mâa serrĂ© dans ses bras dans la cuisine et a embrassĂ© mes lĂšvres pendant un long moment.
âMa chĂ©rie, tu es toujours nerveuse. Si tu le fais parce que je le veux, disons Ă lâhomme de partir.âJe nâai rien dit. Ma femme est allĂ©e Ă Mustafa. Je fumais dans la cuisine. Jâai allumĂ© la deuxiĂšme cigarette. Mustafa est arrivĂ© cette fois â ci My Mes mains et mes pieds tremblaient de partout.
âComment vas-tu, Bouquet?âĂcoute, si tu te sens mal Ă lâaise, dis-le-moi.â
âNon, je nâĂ©tais pas dĂ©rangĂ© en fait I je ne pouvais tout simplement pas mâhabituer Ă la situation. Je me sens tellement bizarre. Mais dâune maniĂšre ou dâune autre, jâai dit que je ne voulais jamais que tu partes. Mais peu importe Ă quel point jâessaie, avec ma femme, câest difficile de le dire ouvertementâ, ai-je dit.
â Je te comprends, â dit-il. Nous Ă©tions debout, il sâest approchĂ© et mâa pris la main. Il a dit: âSâil te plaĂźt, dĂ©tends-toi chĂ©rie⊠Si tu veux que je parte, jâirai tout de suite, mais je tâen supplie, laisse-moi rester, crois-moi, tu ne le regretteras pas.â