chat vomissant jaune Bonjour Ă tous, chers lecteurs dâhistoires de sexe. Je mâappelle en fait. Je suis actuellement mariĂ©e Ă lâĂąge de 29 ans, mĂšre dâun enfant. Comme cela me vient Ă lâesprit, je veux partager avec vous un souvenir que mes souvenirs dâinceste gonflent et que je suis excitĂ©.Nous Ă©tions deux enfants de la maison, nos parents Ă©taient des gens dâaffaires. Ils travaillent dans une entreprise privĂ©e, leurs yeux ne pouvaient pas nous voir du travail. Nous avons passĂ© le plus de temps Ă la maison avec mon frĂšre. Il y a une diffĂ©rence de 2 ans entre lui et Dec. Lorsque nous avons vĂ©cu cet Ă©vĂ©nement, nous Ă©tions tous les deux des individus qui venaient dâentrer dans lâadolescence. Il avait 18 ans Ă lâĂ©poque, jâen avais 16. JâĂ©tais en deuxiĂšme annĂ©e de lycĂ©e. Au lycĂ©e, nos filles Ă©taient malades avec mon frĂšre, pour ainsi dire, elles Ă©taient folles. JâĂ©tais une adolescente aux cheveux blonds, aux yeux verts, aux grosses hanches, aux seins bombĂ©s avec lâeffet de lâadolescence. En classe avec mes copines, Ă nos rendez-vous, elle tirait les mecs, ouvrait du porno de temps en temps, nos yeux voyaient des bites. DĂ©c. Certaines de mes amies prostituĂ©es raccourcissaient leurs jupes Ă lâĂ©cole, sĂ©duisaient les hommes. Certaines personnes disent quâil a eu des relations sexuelles anales par le cul, il nous le dirait mĂȘme si nous ne le croyions pas, et nous serions excitĂ©s sâil le voulait ou non. Mes journĂ©es Ă©taient passĂ©es Ă Ă©couter mes amis faire lâamour. Je nâai jamais vu une vraie bite en direct, et comme jâĂ©tais Ă la mĂȘme Ă©cole que mon frĂšre, les trucs de petit ami Ă©taient aussi un mensonge, bien sĂ»r. Bref, vous lâaurez compris, ma comprĂ©hension du sexe nâĂ©tait remplie que du porno que je regardais, des histoires de mes amis qui avaient une liaison, de mon rĂ©servoir dâinformations. Je nâavais aucune expĂ©rience. Parfois, il se bat avec mon frĂšre Ă la maison, me tend involontairement la main droite et gauche avec sa main tout en combattant Dec, et ces tĂątonnements mâont rendu fou.
Avec le dĂ©sir de lâadolescence, jâai voulu rendre mon frĂšre fou un jour.* Maman et papa revenaient du travail Ă 19 heures. Nous avons quittĂ© lâĂ©cole Ă 3 heures du matin et sommes rentrĂ©s chez nous. Jâai dit que jâallais prendre une douche et jâai prĂ©parĂ© mes vĂȘtements. Quand jâentre dans la salle de bain, je dois la verrouiller car la porte est dĂ©fectueuse. Si je ne la verrouille pas, la porte sâouvre au moindre contact. Pendant que jâĂ©tais sous la douche, notre chat Burhan a poussĂ© la porte avec sa patte, la porte Ă©tait ouverte jusquâau bout, mes cheveux Ă©taient lavĂ©s, je sollicitais mon corps, jâĂ©tais debout. Quand jâai ouvert les yeux, jâai rĂ©alisĂ© que mon frĂšre me regardait. Jâai dit â â Quâest-ce que tu regardes, ferme simplement la porte.â â Ma fille te crie de fermer ta porteâ, il est venu, a fermĂ© la porte, et je suis allĂ© derriĂšre lui et jâai verrouillĂ© la porte. Quand je suis allĂ© sous lâeau, jâaimais que mon frĂšre me regarde, jâavais un sourire sur mon visage. Tout en tenant la giclĂ©e contre mon corps, chaque fois que je la tenais vers ma chatte, mes entrailles bougeaient, je pensais Ă la sexualitĂ©, je mâallongeais dans la baignoire, sĂ©parais mes jambes.
Jâai rĂ©glĂ© la fontaine sur de lâeau thaĂŻlandaise et jâai commencĂ© Ă la tenir contre ma chatte. Alors que lâeau jaillissait dans ma chatte avec tayzik, mes entrailles devenaient Ă©tranges, jâĂ©tais chatouillĂ©e. Je caressais ma chatte Ă ma novice, mais rien ne me donnait plus de plaisir que lorsque cette eau frappait ma chatte. AprĂšs avoir tenu lâeau contre ma chatte pendant un moment, je me suis sĂ©chĂ©, jâai mis mes sous-vĂȘtements, jâĂ©tais sur le point de mâenvelopper dans une serviette, jâai attrapĂ© la serviette et lâai jetĂ©e par terre. Il Ă©tait trempĂ© dans lâeau. Jâai dĂ©verrouillĂ© la porte et suis sorti en sous-vĂȘtements. Jâai frappĂ© Ă la porte de la chambre de mon frĂšre.Fille, quây a-t-il?FrĂšre, jâai froid, donne-moi une serviette de ta chambre.Oh, pourquoi ne prends-tu pas ta serviette, je nâarrive pas Ă me lever, je suis au match, entre. prendre it.it il est arrivĂ© ce que je voulais. Jâai ouvert la porte de sa chambre. Je portais une culotte blanche avec de la dentelle Ă lâavant et Ă lâarriĂšre, et un soutien-gorge fin avec des mamelons Ă©vidents sur moi. Mon frĂšre Ă©tait enterrĂ© dans lâordinateur, jouait Ă des jeux, discutait avec ses amis, il ne me regardait mĂȘme pas. JâĂ©tais nerveux. Je suis passĂ© devant lui, je suis allĂ©, je savais oĂč Ă©tait la serviette, mais je ne sais pas, jâai sorti la serviette du placard pour mâallonger sur son pied et je lâai cachĂ©e sur le cĂŽtĂ©, sous les vĂȘtements. Jâai errĂ© vers lui; FrĂšre, oĂč puis-je ne pas le trouver?Ma fille, je ne sais pas, regarde, lĂ elle is.No frĂšre, bien sĂ»r que jâai froid, viens voir le rat game.As en fait, son hors-garde a heurtĂ© la table et sâest levĂ© de la table. Quand il sâest levĂ©, il a Ă©tabli un contact visuel avec mes grosses cuisses, qui Ă©taient enroulĂ©es vers lui. Il ne parlait pas; FrĂšre, viens-tu?Mince, je suis lĂ âŠ
Il bĂ©gaya, se blottit Ă cĂŽtĂ© de moi et commença Ă chercher la serviette; oh merde, oĂč lâas-tu mise?Je ne sais pas, jâai si froid Ă cause de ta servietteâŠJe me suis levĂ© de lâendroit oĂč jâĂ©tais allongĂ© et jâai enroulĂ© mes deux mains autour de mon corps. En fait, il faisait chaud, il nây a pas de temps pour avoir froid, mais câest toujours excitĂ©. Mon frĂšre a attrapĂ© la toison de lâĂ©cole et lâa recouverte sur moi, ses doigts ont touchĂ© mes seins tout en la recouvrant, jâai pu remarquer que mon frĂšre regardait mon corps, mes seins;frĂšre, nâas-tu jamais vu de seins, quâas-tu regardĂ©?Il Ă©tait lĂ©gĂšrement embarrassĂ©; Ă quoi ça sert, ma fille, je tâai vu plus souvent.Je me vois avec des seins alla alla quand je me regarde dans le miroir, je me demande comment tu vas le voir?Reste en dehors de ça, prends la serviette que jâai trouvĂ©e, va tâhabiller, nâaie pas froid.AprĂšs cela, leur histoire: tutukuluhikayeler.com je le partagerai sur et seuls mes abonnĂ©s qui sont membres de mon site pourront lire les nouvelles sections. Il prend actuellement de nouvelles sections sur le site. Jâai pris la serviette de sa main avec une bouffĂ©e, je suis allĂ© dans ma chambre et jâai sĂ©chĂ© mes cheveux avec une serviette et je me suis habillĂ©. Jâai sĂ©chĂ© et redressĂ© mes cheveux, appliquĂ© mes crĂšmes, verrouillĂ© la porte de ma chambre, me suis allongĂ©e sur mon lit et jâai enlevĂ© mon short et ma culotte. Jâai mis ma crĂšme hydratante sur les lĂšvres de ma chatte et jâai commencĂ© Ă caresser. Elle rĂȘve que mon frĂšre touche mes seins, me voit dans la salle de bain, veut constamment y mettre mes doigts en me doigtant la chatte, mais elle avait peur que je gĂąche mon enfance parce que jâĂ©tais une fille, je ne pouvais pas. Mes yeux sont rivĂ©s sur mes crayons. Jâen ai pris un, jâai mis la crĂšme sur mon trou du cul et jâai commencĂ© Ă insĂ©rer lentement le stylo. Je nâai rien senti au dĂ©but, il lâa attrapĂ© du bout du stylo, quand il a commencĂ© Ă les insĂ©rer et Ă les retirer tous, jâai senti pour la premiĂšre fois quâil y avait quelque chose en moi. Je le mettais dedans et le sortais comme si câĂ©tait une bite. Mais je ne pouvais pas en profiter. Jâai attrapĂ© le stylo et lâai jetĂ©. Jâai enfilĂ© mon short, je me suis habillĂ© et jâai quittĂ© ma chambre. Jâai passĂ© la soirĂ©e Ă regarder la tĂ©lĂ©vision en attendant lâarrivĂ©e de mes parents. Câest ainsi que la journĂ©e ended.It câĂ©tait le matin, on allait Ă lâĂ©cole. Mon frĂšre ne sâest pas rĂ©veillĂ© comme dâhabitude, je suis allĂ© le rĂ©veiller dans sa chambre,FrĂšre, allez, on se fait tard, prĂ©pare-toi, frĂšre, jâen ai marre de la mĂȘme chose, mais tous les matins.Quand jâai sorti le drap dont il se couvrait, le devant de son short Ă©tait gonflĂ©, quelque chose me fixait. Quand mon frĂšre sâĂ©tirait, il ouvrait les jambes, sa bite Ă©tait visible dans son short. Quand je pensais Ă qui sait quelle Ă©paisseur, quelle taille, je me demandais, jâai encore poussĂ© mon frĂšre, je lâai poussĂ© dans les bras, on mâa dit de me lever, de mâarrĂȘter ou quelque chose du genre.
Jâai mis sa main sur la rĂ©gion abdominale, jâai dit lĂšve â toi, allez, lĂšve-toi, et tout en tirant ma main, jâai dĂ©libĂ©rĂ©ment touchĂ© sa bite. Il Ă©tait dur comme une pierre. Je lâai rĂ©veillĂ© mĂȘme si câĂ©tait difficile, quand je suis allĂ© dans ma chambre et que jâai prĂ©parĂ© mes livres, il est venu dans ma chambre dĂ©jĂ habillĂ©.Allez, je suis prĂȘt, le service est arrivĂ©.Je suis lĂ , je suis lĂ .Nous sommes descendus et sommes montĂ©s dans le bus scolaire, et quand je suis arrivĂ© Ă lâĂ©cole, mes copines perverses regardaient mon frĂšre dans les yeux, riaient, disaient bonjour. JâĂ©tais jaloux de mon frĂšre. Dans lâĂ©quipe de basket-ball de lâĂ©cole, câĂ©tait un garçon blond aux yeux verts, mesurant 1,85 m, qui ne perturbait pas ses sports, son corps Ă©tait beaucoup plus haut que les enfants de lâĂ©cole, il y avait autant de filles mortes et finies. Les filles sont entrĂ©es dans mes bras; bien sĂ»r, si ton frĂšre me baise une fois, je suis prĂȘt Ă donner ma chatte, ma jeunesse.Oh, tais-toi, pervers.Les autres filles riaient;cette cornĂ©e excitĂ©e a besoin dâĂȘtre baisĂ©e de toute urgence.En fait, jâĂ©tais excitĂ©e aussi, jâaimerais que mon frĂšre me baise mĂȘme. Ă midi, nos 4 derniĂšres leçons Ă©taient Ă©galement vides. Nous avons donc dĂ©cidĂ© de sortir avec les filles au lieu de rester inactifs dans la classe. Mes camarades de classe; Melike, Arzu, Sibel, Ćenay et Yunus, le petit ami de Ćenay, ont fait leurs valises et ont quittĂ© lâĂ©cole. Jâai envoyĂ© un texto Ă mon frĂšre et lâai informĂ© de la situation, ils allaient dĂ©jeuner avec un groupe dâamis, il mâa renvoyĂ© mon message en disant ok. En marchant le long de la route, en rĂ©flĂ©chissant Ă ce quâil faut faire, il fait chaud, nous voulions aller quelque part et nous asseoir. Parce que nous Ă©tions fatiguĂ©s des endroits de style cafĂ©, Senay nous a proposĂ© de rentrer chez nous. Nos parents sont prĂȘts, ils sâembrasseront confortablement avec leur amoureux. Jâai compris, jâai dit ok pour ne pas offenser mon ami, et nous sommes montĂ©s et sommes allĂ©s chez nous. Nous avons achetĂ© du coca, des chips, des dĂ©guisements Ă lâĂ©picerie, bref. On allait ouvrir et regarder un film ensemble. Pendant que les filles et moi prĂ©parons Ă manger, Ă boire. Senay et Yunus Ă©taient assis Ă lâintĂ©rieur. Quand tout Ă©tait prĂȘt, nous sommes allĂ©s dans le hall. Yunus serra Ćenay dans ses bras, ils sâembrassaient sur les lĂšvres. Autres filles;Ouah, frĂšre, ouah! il y a ceux qui ne le font pas exist.Do toi-mĂȘme, frĂšre, laisse-le ĂȘtre un amant alors. il a dit mĂšre ĆenayYok, ce sont tous des biens, que devrions-nous faire, ma fille en fait?Oh, de quoi ai-je besoin, mon esprit est tranquille, ma parole hors du Parlement, bien sĂ»r.Bien sĂ»r, mĂȘme si jâavais un frĂšre comme thatâŠmy un autre ami lui pincerait le bras, se taisait, parce que Yunus est lĂ . Nous nous sommes assis, nous avons ouvert le film, nous avons Ă©tĂ© installĂ©s dans nos siĂšges, nous avons commencĂ© Ă regarder. Senay et Yunus ne se tenaient pas confortablement, ils sâembrassaient constamment, Senay jetait sa main sur son pantalon Ă la bite de Yunus. Je les observais du bout des yeux. De cette façon, quand ils nâavaient pas regardĂ© le film aprĂšs sâĂȘtre embrassĂ©s, le premier dĂ©cembre Ă©tait terminĂ©. 2. quand jâallais insĂ©rer le CD, les filles ont commencĂ© Ă parler tout le temps dâune bouche;et si on ne le regardait pas trop ennuyeux, en fait?Aaa Ă©tait bon, alors que voudriez-vous ouvrir quoi?Yunus entra dans la conversation Ă partir de lĂ . ?Les filles ont dit ohaa; Oh, mon frĂšre, est-ce du porno?Oui, et quâen est-il? Comme si tu ne regardais pas fille contre fille? Fais comme si je ne le faisais pas exist.No, ne sois pas ridicule, et nous nâavons pas de porno.Je lâai fait.Il a sorti un CD de son sac et me lâa donnĂ©.Allez, regardons ça, câest ce qui se passe.Je regardais les visages des filles, câĂ©tait Ă©vident dâaprĂšs la façon dont elles voulaient que je le porte;si tu le dis Ă quelquâun, je vais te foutre en lâair, mais juste pour que tu know.No, ce qui se passe ici restera ici, je le promets. Tak hadi.Cd je lâai mis. Le logo Brazzers est apparu, le thĂšme Ă©tait le porno, lâhomme chauve johny sins est apparu Ă lâĂ©cran, il nây avait rien dans les premiĂšres minutes. Ce qui sâest passĂ© sâest passĂ© lorsque la camĂ©ra a Ă©tĂ© tournĂ©e vers lâautre piĂšce. Une fille prenait la bite dâun homme noir dans sa bouche quand elle Ă©tait jeune et de notre Ăąge. Les filles ont criĂ©; comment est-ce que Ay bune beOha le prend?Yuuuhh regarde la bite. AprĂšs cela, leur histoire: tutukuluhikayeler.com je le partagerai sur et seuls mes abonnĂ©s qui sont membres de mon site pourront lire les nouvelles sections. Il prend actuellement de nouvelles sections sur le site. Salaud Yunus, le salaud riait;Quoi quâil y ait, il y a aussi des Ă©trangers, frĂšre, si câĂ©tait toi, il nây a aucun moyen que tu ne puisses mĂȘme pas y toucher.Oh, quâest-ce que je vais toucher la lune, comment ça va la piquer ou la fille va mourir, Dans les derniĂšres minutes, lâhomme a commencĂ© Ă prendre la fille dans ses bras et Ă enfoncer sa bite dans sa chatte, en faisant des allers-retours. Nous regardions, absorbĂ©s par des yeux perplexes.Oh, je me sentais nausĂ©eux⊠Jâai quittĂ© la piĂšce, je suis allĂ© Ă la cuisine, mais jâĂ©tais mauvais, je me sentais Ă©trange Ă lâintĂ©rieur. Senay est venu me voir; Mec, je peux te demander quelque chose?Bien sĂ»r que tu veux ce que tu veux, mon frĂšre.On peut sâasseoir dans ta chambre avec Yunus?Comment? Quâest-ce que tu vas faire dans ma chambre?Asseyons-nous un instant, sâil vous plait.