AprĂšs tous les mois de notre mariage, jâĂ©tais maintenant habituĂ©e au sexe monotone et faux de mon mari, essayant de nous enlever notre mariage en simulant un orgasme, que jâĂ©tais rassasiĂ©e ou non, je nâĂ©tais pas satisfaite. Bien que jâĂ©tais vierge quand je me suis mariĂ©e, je savais par Internet, par les livres que jâai lus que ce nâĂ©tait pas du vrai sexe. Mais je ne pouvais pas me permettre de rompre avec mon mari et de perturber ma commande juste pour cette raison.
Parce que mon beau-frĂšre Ă©tait lâopposĂ© de mon mari. Il traĂźnait avec des filles, mĂȘme quelques femmes mariĂ©es dans le quartier, faisant sa journĂ©e. Jâen entendais certaines de sa mĂšre, dâautres que jâapprenais des femmes voisines, du genre â â Câest ta belle-mĂšre, avec la femme de lâĂ©picierâŠâ. Bref, câĂ©tait un coureur de jupons qui ne manquait pas une mouche. Plus jâen entendais parler, plus je commençais Ă le regarder diffĂ©remment. Quand je passais devant ma porte et montais Ă lâĂ©tage, je trouvais une excuse, bavardais sur le pas de la porte Ă partir de rien. Pendant ce temps, je pouvais difficilement mâempĂȘcher de ne pas serrer dans mes bras le corps dĂ©construit de ma belle-mĂšre, ses larges Ă©paules triangulaires serrĂ©es. Plus je regardais, plus je regardais, le salaudâŠ
Cela mâa tellement affectĂ© que je ne pouvais plus le regarder parce quâil Ă©tait le frĂšre de mon mari, un parent. CâĂ©tait un homme. Et aussi beau, comme dalyan, un homme Ă la tige. AllongĂ© sous mon mari la nuit, je pensais Ă la façon dont il ferait lâamour Ă sa place, Ă la façon dont il sâembrasserait, Ă quoi ressembleraient les poches sur le devant de son jean. Jâai toujours rĂȘvĂ© que jâavais des relations sexuelles avec mon mari quand il entrait et sortait de moi, que jâĂ©tais Ă©crasĂ©e sous son poids.
Quand mon mari et moi revenions du travail, nous dĂźnions habituellement avec eux, nous nous asseyions, rentrions nous coucher. Je serais content quâil soit aussi Ă la maison, sâil nâest pas dehors. Jâaimerais quâil me regarde comme je le regarde et lâaime. Dans la famille, je portais des jupes aussi courtes que possible, des chemisiers Ă bretelles, et jâessayais dâattirer lâattention autant que possible. Quâest-ce que je manquais des chiennes avec qui il couchait! Lors des mariages, des pique-niques, des plages oĂč nous allions, je le coupais toujours, je trouvais des excuses pour ĂȘtre prĂšs de lui, pour lui toucher la main et le bras.
Finalement, la chose redoutĂ©e sâest produite. Le service militaire de longue durĂ©e de mon mari a commencĂ©. Avec lui, ma solitude a aussi commencĂ©. Ma vie sexuelle, que jâavais dĂ©jĂ trouvĂ©e inadĂ©quate, Ă©tait maintenant complĂštement rĂ©initialisĂ©e. Les jours ne savaient pas comment passer. Levez-vous le matin, allez au travail, venez le soir, mangez la nourriture prĂ©parĂ©e par votre belle-mĂšre, asseyez-vous un moment, aidez la femme, regardez votre belle-mĂšre avec des yeux affamĂ©s si elle est Ă la maison, va te faire foutre chez toi au coucher, dans ton lit solitaire, caresse-toi caressamment. 5, 10, 20 jours, 1 mois, 3 mois⊠Je nâen pouvais plus. JâĂ©tais trĂšs excitĂ©e, la masculinitĂ© mâa frappĂ© Ă la tĂȘte. Non, peu importe si je nâavais pas le goĂ»t de baiser! Bon ou mauvais, câest dommage de rester comme une tige aprĂšs sâĂȘtre habituĂ© Ă avoir des relations sexuelles avec un homme!
Parfois, je me retrouvais plongĂ© dans des rĂȘves Ă©rotiques en regardant Mert, ses lĂšvres, sa barbe sale, ses biceps, les poches sur le devant du pantalon, puis jâessayais de revenir Ă moi en haussant les Ă©paules. Je regardais autour de moi Mert avec peur. A-t-il vu que je le regardais avec dĂ©sir? Comprenait â il ce qui me passait par la tĂȘte, Ă quel point je le dĂ©sirais? Je pense quâil savait parce quâil Ă©tait au courant. Je pouvais le sentir. Quand jâai levĂ© les yeux du devant du pantalon et du short tout en le regardant lĂ oĂč jâĂ©tais assis, jâai rencontrĂ© ses yeux qui me regardaient, me demandant plusieurs fois. JâĂ©tais gĂȘnĂ©e, mes joues brĂ»laient de chaleur, je rougissais comme une jeune fille. Quâest-ce que tu regardes, idiot? Comprenez simplement! Depuis combien de mois ton frĂšre est parti? Sais-tu combien de mois jâai Ă©tĂ© sans homme?
Une secousse violente pendant 10 secondes avec un bruit Ă©trange venant du fond. Nous avons tous sautĂ©. Jâai peur Ă mort. Jetant la tasse de thĂ© dans ma main et hurlant, jâai Ă©treint Mert, qui se tenait juste Ă cĂŽtĂ© de moi, avec cette peur. Il mâa Ă©galement serrĂ© fermement entre ses bras comme pour me protĂ©ger. DĂ©c. Et une fois la commotion terminĂ©e, je nâai pas pu le quitter pendant un moment. Nous nous regardions effrayĂ©s, le lustre qui se balançait, les verres renversĂ©s sur le buffet. Mon cĆur battait comme un oiseau, des larmes sortaient de mes yeux. Puis jâai rĂ©alisĂ© la situation. Parce que jâĂ©tais dans les bras de mon beau-frĂšre.
Je suis tellement soulagĂ©e. JâĂ©tais en sĂ©curitĂ© dans ses bras. Jâai posĂ© ma tĂȘte sur sa large poitrine, jâai pris une profonde inspiration, jâai inhalĂ© son doux parfum masculin. Ses mains me caressaient le dos, me serrant fermement avec ses bras. âChut⊠Ok tante, btti, nâaie plus peur, calme-toi!âil essayait de rĂ©conforter, de se calmer avec cette voix masculine Ă©paisse, en disant.
Je me suis calmĂ© maintenant. Mais jâaimais tellement me tenir debout comme ça. JâĂ©tais prĂȘt Ă rester comme ça jusquâau matin si nĂ©cessaire. Dans ses bras, bien enveloppĂ©s, mes seins sont Ă©crasĂ©s contre son corps musclĂ©, nos entrejambes sont collĂ©es ensemble. Mais malheureusement, jâai dĂ» partir involontairement lorsque ma belle-mĂšre a cessĂ© de prier et est revenue vers nous. AgitĂ©s, nous nous sommes assis sur des Ă©pines. Un autre moment est passĂ©. Le sommeil a commencĂ© Ă faire des ravages. Mon beau-pĂšre nous a dit dâaller nous coucher maintenant, il nây a rien Ă craindre. JâĂ©tais toujours terrifiĂ©. Ils mâont demandĂ© de dormir lĂ -bas, jâai refusĂ©: âJe nâarrive pas Ă dormir, maman, je veux dormir dans mon propre lit. Mais jâai aussi peur dâĂȘtre seulâŠâDis-je dĂ©sespĂ©rĂ©.
Ma belle-mĂšre a dit: âSi tu veux rentrer Ă la maison, vas-y, ma fille. Si tu as peur, viens dormir dans le salon. Ce sera confortable quand il y aura quelquâun Ă la maison, bĂ©bĂ©! Allez, Mert, reste chez ta tante ce soir!â Je ne pouvais pas en croire mes oreilles quand tu as dit. Parce que câest Ben et moi. Le mari est seul dans la maison. Jâai maintenu mon apparence effrayĂ©e, essayant de cacher ma joie. Ma voix tremblait, âCe serait gĂ©nial, maman! Croyez-moi, jâai peur de mourir. Sâil y a une bouffĂ©e dâair dans la maison, au moins je peux dormir un peu. Sinon, je ne pourrai pas aller travailler le matin Ă cause de lâinsomnie!Jâai dit.
Nous nous sommes dit bonne nuit et sommes descendus avec mon beau-frĂšre. Mes mains tremblaient dâexcitation lorsque jâai ouvert la porte de la maison. Jâai fait le lit dans la petite chambre pour quâil aille se coucher. Jâai allumĂ© la tĂ©lĂ© et je suis allĂ© voir Mert, qui essayait de connaĂźtre la gravitĂ© du tremblement de terre. Il mâa fait de la place sur le siĂšge triple oĂč il Ă©tait assis, je me suis assis Ă cĂŽtĂ© de lui, nous avons commencĂ© Ă regarder ensemble. On regardait la tĂ©lĂ© dâun cĂŽtĂ©, on bavardait de lâautre. JâĂ©tais si heureuse quâil soit Ă cĂŽtĂ© de moi, Ă cĂŽtĂ© de moiâŠ
On parlait juste de la peur quâon avait, de la commotion cĂ©rĂ©brale, pour quâil nây ait pas dâautre crise? Je pense que câĂ©tait lâune des rĂ©pliques mineures dâintensitĂ© lĂ©gĂšre. Mais mĂȘme la peur de cette petite commotion cĂ©rĂ©brale Ă©tait suffisante pour que je saute sur mes pieds. La mĂȘme chose sâest reproduite, jâai serrĂ© Mert dans mes bras, qui sâest levĂ© avec moi. Ăa nâa mĂȘme pas pris deux ou trois secondes, crunch. Mais jâĂ©tais toujours dans ses bras, insĂ©parable, apprĂ©ciant les bras forts qui mâĂ©treignaient. Parce quâencore une fois, il essayait de me calmer en me caressant le dos avec des mouvements agitĂ©s. JâĂ©tais coincĂ© dans tes bras comme un chat. Tout mon corps Ă©tait en contact avec le sien, je tenais fermement.
Ă ce moment-lĂ , jâai senti la raideur qui touchait mon estomac. Avec la prĂ©sence de nos corps en contact Ă©troit les uns avec les autres, la bite de mon beau-frĂšre est devenue comme une pierre et il a commencĂ© Ă se sentir dĂ©cemment entre nous. Jâai frissonnĂ© de la tĂȘte aux pieds. Un incendie sâest dĂ©clarĂ© dans mon aine. Lui aussi sâagitait mal Ă lâaise. Des mains caressant mon dos ont attrapĂ© mes bras nus, jâai senti quâil essayait de mâĂ©loigner de lui. Il mâa dit dâune voix rauque: âTu as encore eu si peur, tante. Je vais te chercher de lâeau!âil a dit, essayant de ne pas me montrer son front, sâest retournĂ©, est allĂ© Ă la cuisine.
Je suis juste restĂ© lĂ . Je me suis jetĂ© sur le canapĂ©. Mes joues Ă©taient en feu. Jâai regardĂ© ma belle-mĂšre qui est venue avec un verre dâeau Ă la main avec mes yeux qui commençaient Ă se remplir. Mon Dieu, comme il Ă©tait beau. Jâaurais pu mourir, pour quâil me serre dans ses bras, mâaime, me fasse lâamour. Je ne supplierai pas, mĂȘme si je dois tomber Ă tes pieds. Mais Ă ce moment-lĂ , je ne pouvais rien dire, je lâai juste regardĂ© dans les yeux, je ne pouvais pas parler. Et il avait mĂȘme peur de me regarder. Jâai pris le verre quâil mâa tendu et jâai bu lâeau en un seul point. Il avait dĂ©truit la houle devant lui comme il sâen Ă©tait sorti. Il nây avait aucun signe de duretĂ© juste avant.
Il sâest Ă©loignĂ© de moi, sâest assis sur le siĂšge dâen face, a commencĂ© Ă regarder la tĂ©lĂ©vision. Je le regardais aussi. Il ne parlait pas du tout. Je pense quâil avait une lutte formidable Ă lâintĂ©rieur. Je pouvais le sentir. Moi, la femme de son frĂšre, sa belle-sĆur. La bite qui est devenue dure pour moi⊠Une fois, nous nous sommes assis comme ça, regardant la tĂ©lĂ©vision en silence. Puis jâen ai bĂąillĂ© quelques-uns, comme si jâavais sommeil. Jâai levĂ© les pieds et me suis allongĂ© sur le siĂšge, jâai Ă©tirĂ© ma longueur naturellement. Jâai commencĂ© Ă regarder la tĂ©lĂ© en mâallongeant. aprĂšs 5-10 minutes, mes paupiĂšres sont vraiment devenues lourdes, je me suis Ă©vanouie. Je ne sais pas combien de temps je suis restĂ© dans cette situation, car jâai repris mes esprits lorsque T. mâa appelĂ©. Mais je ne pouvais pas ouvrir les yeux. Il mâappelait de lâendroit oĂč il Ă©tait assis â â Tante? Tu as dormi?âparce que.
Je nâai pas rĂ©pondu, jâai marmonnĂ© dans mon sommeil comme si je rĂȘvais. Jâai levĂ© une de mes jambes et posĂ© mon pied sur le sol oĂč jâĂ©tais allongĂ©, et lâautre jâai plantĂ© mon genou en lâair et lâai posĂ© sur le dossier du siĂšge. Ma jupe courte au-dessus du genou sâest bien ouverte avec ce mouvement. Il a appelĂ© plusieurs fois de plus, je me suis soi-disant rendormi, je nâai pas rĂ©pondu. Ma tĂȘte Ă©tait tombĂ©e sur le cĂŽtĂ©. Parce que je regardais Dec Ă travers mes cils. Il ne pouvait pas dĂ©tacher ses yeux de moi, de mes jambes ouvertes. Il mit sa main sur les poches sur le devant de son pantalon, continua Ă le caresser. Parce quâil pensait que je dormais, il sâest levĂ© et est venu vers moi. Il sâagenouilla devant le canapĂ©. Il mâa attrapĂ© par lâĂ©paule et mâa secouĂ© doucement, âBelle-sĆur? Allez, rĂ©veille-toi!âdit-il.
Jâessayais de respirer correctement, jâai continuĂ© Ă donner lâimpression que je dormais. Jâavais fermĂ© les yeux. Jâai attendu, me demandant ce quâil ferait. Il resta immobile pendant un moment. Je pense quâil surveillait mes jambes, que ma jupe laissait sur le carrĂ©, mes seins Ă travers le col ouvert de mon chemisier. Puis jâai soudain senti le contact de ta main Ă mes piedsâŠ
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