Et dĂšs la nuit de noces, mon homme mĂ»r comprĂ©hensif a disparu, ou plutĂŽt, il a enlevĂ© son masque, et a Ă©tĂ© remplacĂ© par un mari ignorant, grossier, salope, trop jaloux. Pendant la pĂ©riode des fiançailles (Ma princesse! Mon bĂ©bĂ©!) lâhomme qui traĂźnait autour de moi juste la premiĂšre nuit, sans prĂȘter attention Ă mes peurs, Ă mon auto-contraction, Ă mes flottements, a dĂ©chirĂ© ma robe de mariĂ©e et mâa dĂ©shabillĂ©e. Il sâest dĂ©shabillĂ© en regardant mon corps nu, aveugle et intact avec des yeux brillants comme un violeur pervers. Avec son corps trapu et extrĂȘmement poilu qui est apparu, il a presque attaquĂ© et a commencĂ© Ă se dĂ©battre au-dessus de la fille naĂŻve qui attendait une nuit de noces romantiqueâŠ
Quand il a rĂ©ussi et est tombĂ© sur le cĂŽtĂ© en sueur, haletant comme un bĆuf, je regardais le plafond avec mon sang virginal DĂ©canter entre mes jambes jusquâau lit, des larmes coulant le long de mes joues jusquâĂ lâoreiller, des douleurs Ă lâaine et de terribles regrets. Quand jâai tournĂ© la tĂȘte sur le cĂŽtĂ©, jâai aperçu ma robe de mariĂ©e, qui Ă©tait dĂ©chirĂ©e en morceaux sur le sol. Le regret en moi a supprimĂ© le pincement Ă lâaine, (Dieu, quâai-je fait?) Je me suis dit. Et jusquâĂ aujourdâhui, jâai vĂ©cu avec cette phrase pendant presque 10 ans, (Quâai-je fait?).
Il nây a pas de retour en arriĂšre, papa nâouvrira mĂȘme pas la porte. Il nây a pas dâavenir, avec un diplĂŽme dâĂ©tudes secondaires, que puis-je faire sans aucune compĂ©tence, comment puis-je me faire une vie? Jâai Ă©tĂ© mariĂ©e Ă cet homme comme une plante toutes ces annĂ©es. Boire le soir avec lâodeur des cigarettes, rentrant gĂ©nĂ©ralement ivre Ă la maison. Trois ou cinq, par intĂ©rĂȘt personnel, des conversations qui ne mâintĂ©ressent pas. LâentrĂ©e du lit. Se mettant au-dessus de moi avec son torse dĂ©goĂ»tant au ventre poilu. Et un bref rapport sexuel sans baiser, sans caresser. Il Ă©jacule lui â mĂȘme, se retourne sur le cĂŽtĂ© et se met Ă ronfler. Et quâen est-il de son extrĂȘme jalousie? Mon crime est dâĂȘtre jeune et belle. Pas de sorties, pas de rĂ©unions dâamis et de famille, rideaux fermĂ©s, rapports sexuels limitĂ©s avec les locataires du rez-de-chaussĂ©e, une vie de captivitĂ© bien remplie. Il mâa aussi reprochĂ© de ne pas avoir dâenfant Ă chaque occasion. Et je ne suis pas du tout contrariĂ© Ă ce sujet. Je pensais quâil valait mieux vivre sans enfants que de mettre au monde une autre crĂ©ature comme mon mari.
Pourquoi je tâai dit tout ça? Pour chercher une excuse Ă la relation que jâavais avec Tolga, le fils adolescent de 20 ans des locataires dâen bas? Oui! Mais ce sont des faits, pas des excuses. Sâil nây avait pas une telle diffĂ©rence dâĂąge entre mon mari et moi, sâil me comprenait, mâaimait vraiment, me nourrissait au lit, aurais-je vĂ©cu tout ça, cette relation ? DĂ©c. Je ne pense pas!
Et est-ce que je le regrette? Absolument pas! Je nâai aucun regret! Tolga, ce jeune homme beau et fort, parce quâil mâa appris la vie, comment vivre, le sexe, la satisfaction, la satisfaction, lâorgasme, lâamour, ĂȘtre aimĂ©, rire. Je ne le regrette pas du tout. Au contraire, je suis trĂšs heureux!
Tout a commencĂ© il y a 2 ans. Quand mon mari allait dans une autre ville pendant trois jours pour le travail, il mâa laissĂ©e seule dans la grande maison avec mille et un avertissements. Jâallais mourir dâennui. Nos locataires Ă lâĂ©tage infĂ©rieur, oĂč je vais toujours discuter, Ă©taient Ă©galement allĂ©s au village⊠On a frappĂ© Ă la porte tard dans la soirĂ©e. Jâai regardĂ© timidement Ă travers le judas, le jeune fils de la famille vivant en bas, Tolga, se tenait devant la porte. Quand jâai vu son beau visage souriant, mon cĆur a grĂ©sillĂ©. Je lâaimais beaucoup. Sa conversation agrĂ©able, son visage souriant, ses maniĂšres cordiales mâont impressionnĂ©. Jâai ouvert la porte curieusement.
Tolga dit timidement: âBonsoir, sĆur Funda, je tâai dĂ©rangĂ©e, mais nos parents ne sont pas lĂ , ils ne sont venus quâĂ cette heure. Avez â vous une idĂ©e dâoĂč ils sont?âdit-il. Sa famille Ă©tait partie prĂ©cipitamment au village le matin, un parent Ă©tait dĂ©cĂ©dĂ©. Je lui ai dit: âIls tâont laissĂ© un mot, tu ne lâas pas vu?Jâai dit. âJe ne lâai pas vu, sĆur Funda. Je vous dĂ©range, bonsoirâŠâil a dit. Je ne voulais pas quâil parte, je mâennuyais terriblement. Jâai Ă©tĂ© jetĂ© dehors, â Allez, Tolga, jâai aussi fait du thĂ©. Prends une tasse de thĂ©, vas â y comme ça!Jâai dit. âNon, sĆur Funda, ne me dĂ©range pas, jâirai. Jâavais du travail sur lâordinateur. Je vous remercie!âil a dit, il est parti.
Puis je suis restĂ© seul. Puis jâai fermĂ© la porte et je suis rentrĂ© dans le couloir, dans ma solitude. Jâai errĂ© sans but dans les piĂšces. Mon Ăąme sâennuie, câest comme si les murs venaient sur moi. Je me suis dĂ©shabillĂ©, je me suis jetĂ© sur le lit. Jâai commencĂ© Ă faire ce que jâai toujours fait, me caresser en ayant des fantasmes. Mes yeux sont fermĂ©s, une main est dans ma culotte, lâautre main est sur ma poitrine, jâai rĂȘvĂ© en frottant mon mamelonâŠ
CâĂ©tait aussi facile de rĂȘver ce soir. Tolga, le hĂ©ros habituel de mes fantasmes, Ă©tait juste Ă ma porte. Jâai rĂȘvĂ© quâil ne partait pas, quâil entrait, quâon sâembrassait, quâon faisait lâamour. Pendant que Tolga me serrait dans ses bras, jâai aussi serrĂ© mes bras Ă©troitement autour de moi. Pendant quâelle suçait mes mamelons dans mon rĂȘve, jâai serrĂ© et frottĂ© mes deux mamelons entre mes doigts, que jâai mouillĂ©s avec ma langue. DĂ©c. Mardi DĂ©c. Dans mon rĂȘve, quand la jeune iris Ă©tait entre mes jambes avec son torse et me baisait, mes deux mains Ă©taient immergĂ©es dans ma culotte, jâai comprimĂ© les lĂšvres de ma chatte et relĂąchĂ© mon majeur Ă lâintĂ©rieur. Je me tordais dans mon lit froid, me caressant caressamment, me doigtant la chatte. Jâai gĂ©mi et Ă©jaculĂ©.
Je suis nue avec seulement une culotte mouillĂ©e, haletante, allongĂ©e sur le dos et regardant le plafond (Est-ce la vie?) jâai pensĂ©. Est-ce que ma vie sera comme ça? Caresse et caresse moi-mĂȘme. Seul. Seul. Avec un vieux mari antipathique, jaloux et despotique. Quatre murs commencent Ă se refermer sur moi. Jâavais lâimpression dâĂȘtre au fond de la tombe et jâĂ©tais bouleversĂ©. Je ne pouvais pas respirer.
Puis Tolga mâest venu Ă lâesprit. Il Ă©tait seul en bas, tout comme moi. Du thĂ©. Oh, oui. Je lui ai dit que je faisais du thĂ©. Il nâĂ©tait pas entrĂ©. Dois â je aller frapper Ă sa porte? Dois-je lui apporter le thĂ©? Je ne pense pas au sexe ou Ă quoi que ce soit, je viens dâavoir des relations sexuelles avec lui dans mon rĂȘve et jâai Ă©jaculĂ©. Puis-je avoir deux conversations comme un ĂȘtre humain? Si je quitte ma solitude?
Enfin, je ne pouvais pas le supporter. Je me suis levĂ©, jâai mis une culotte propre, un soutien-gorge, une robe dans le placard en juillet. Je me suis un peu nettoyĂ© dans le miroir de maquillage Ă la hĂąte. Je me suis regardĂ© dans le long miroir de lâarmoire. CâĂ©tait magnifique. Pour une raison quelconque, jâai choisi une robe que mon mari ne me permet pas de porter Ă lâextĂ©rieur, que jâutilise Ă la maison, la jupe est au-dessus du genou, le col est lĂ©gĂšrement dĂ©colletĂ©. Je suis allĂ© Ă la cuisine Ă pas pressĂ©s, jâai mis la thĂ©iĂšre et les verres sur un plateau et je suis descendu tout droit. Jâai appuyĂ© sur la cloche. Tolga lâouvrit.
ChĂšque par chĂšque, â Jâai fait du thĂ©, mais il nây a plus de sucre dans la maison, Tolga. Vous en avez un, je suis venu boire un verre ensemble, si je ne vous dĂ©range pas?Jâai dit. Il portait un pantalon de survĂȘtement, il mâa invitĂ© Ă lâintĂ©rieur â â Viens sis, quâest-ce que ça veut dire inconfort? Je vais changer de vĂȘtements jusquâĂ ce que tu remplisses les thĂ©sâŠâil a dit. âPas besoin, chĂ©rie, peu importe si tu portes le soir, ne tâembĂȘte pas!Jâai dit. Je suis allĂ© Ă lâintĂ©rieur. Jâai prĂ©parĂ© les thĂ©s en plaçant le plateau sur la table basse du salon. Tolga a Ă©galement apportĂ© le sucre. Nous avons allumĂ© la tĂ©lĂ© et avons commencĂ© Ă boire du thĂ© et Ă bavarder.
Le mot a circulĂ©, il est venu Ă notre solitude â â Ahmet abi nâest pas Ă la maison, je suppose?âdit-il. MĂȘme entendre son nom suffisait Ă me faire perdre mon plaisir. Jâai dit: âNon, il est parti travailler aussi, il ne reviendra pas avant quelques joursâŠâ. Ensuite, je nâai pas pu rĂ©sister et jâai ajoutĂ©: âCe ne serait pas grave si câĂ©tait arrivĂ© de toute façon, il se saoule constamment, sâĂ©vanouit. Je suis toujours seul comme ça aussiâŠâJâai dit.
DĂšs que les mots sont sortis de ma bouche, je suis revenu Ă moi, quâest-ce que je disais? Je regardais Tolga avec des joues rouges, il me regardait avec comprĂ©hension, des regards affectueux. Il nâarrĂȘtait pas de secouer la tĂȘte dâun cĂŽtĂ© Ă lâautre, il y avait une expression de pitiĂ© dans ses yeux. Lâordinateur dans le coin a attirĂ© mon attention. Jâai utilisĂ© lâordinateur comme excuse pour changer de sujet, pour mâĂ©loigner des eaux dangereuses. Jâai posĂ© quelques questions, il sâest ouvert et mâa montrĂ© quelques choses que je ne savais pas. Jâai tellement aimĂ© que le pĂ©dant pĂ©dant me lâa dit, jâaurais pu lâĂ©couter pendant des heuresâŠ
En ouvrant Internet et en affichant un ou deux sites, le site pĂžrnĂž, quâil avait ouvert plus tĂŽt par erreur, est apparu Ă lâĂ©cran. Des femmes nues, des hommes, tout couvrait lâĂ©cran de photos de baise sur la place. Il essaya de fermer les images ouvertes avec un visage rougi Ă la hĂąte. âEh bien, je pense que câest devenu viral, soeurâŠâil bĂ©gayait dâune part. Alors jâĂ©tais gĂȘnĂ© et jâai dĂ©tournĂ© la tĂȘte. JâĂ©tais mariĂ©e, mais jâĂ©tais au moins aussi ignorante que Tolga sur ces questions, et jâĂ©tais aussi embarrassĂ©e quâune jeune fille, au moins autant que lui. Jâai pensĂ© un instant si je devais me lever et partir, puis jâai abandonnĂ©, je ne pouvais pas rester seul Ă la maison comme un oiseau chatte. Nous avons Ă©teint lâordinateur et nous nous sommes assis tranquillement lâun Ă cĂŽtĂ© de lâautre sur le grand canapĂ©.
Pourquoi alors Tolga a rompu le silence, â Funda sis, je suis dĂ©solĂ©. Croyez-moi, je ne lâai pas fait exprĂšsâŠâil a dit. Jâai regardĂ© son visage. Son beau, beau visage. Ses yeux bleus me disaient que je ne mentais pas. Jâai tendu ma main et lâai posĂ©e sur sa main, voulant le rĂ©conforter, âNe tâinquiĂšte pas, Tolga. Tu es jeune, tu es cĂ©libataire. De telles choses sont normales!Jâai dit. Comme si jâĂ©tais trĂšs expĂ©rimentĂ©, comme si jâen savais beaucoup. En disant cela, la chaleur de sa main me brĂ»lait presque la main, je retirai rapidement ma main. JâĂ©tais perplexe sur ce quâil fallait faire. Cet air Ă©lectrique ne se dissiperait tout simplement pas. Je devais faire quelque chose.
Je me suis levĂ©, jâai rafraĂźchi les thĂ©s. Alors que je tendais la tasse de thĂ© Ă Tolga avec des mains tremblantes, quand il a tendu la main, elle a heurtĂ© ma main, la tasse de thĂ© chaude sâest renversĂ©e sur ses genoux telle quâelle Ă©tait. Il sauta sur ses pieds de douleur. Le devant du survĂȘtement Ă©tait devenu du thĂ©, il fumait de la vapeur. Il se prĂ©cipita vers la salle de bain Ă la hĂąte. JâĂ©tais aussi bouleversĂ© que le garçon ait Ă©tĂ© blessĂ©. AprĂšs ma premiĂšre surprise, je lâai immĂ©diatement secouĂ© par derriĂšre pour aider. Jâai ouvert la porte de la salle de bain et je suis entrĂ©. âTolga, ça tâa fait mal, comment vas-tu?âen demandant, jâai vu quâil avait enlevĂ© le bas du survĂȘtement et quâil tenait de lâeau Ă lâentrejambe avec un tuyau de douche dans la baignoireâŠ
Ma bouche Ă©tait ouverte, jâĂ©tais figĂ© en le regardant. Il avait une bite Ă©paisse et longue entre ses jambes musclĂ©es. DĂ©c. Bien sĂ»r, que lâon le veuille ou non, Ă la maison, on fait une comparaison entre cette belle bite et ce que mon mari mâinsĂšre depuis des annĂ©es. DĂ©c. Je lâai fait aussi. Jâai pris la petite bite noire et sĂšche de mon mari en moi dans le but de dick toutes ces annĂ©es. Mais en ce moment, devant moi, une bite rose avec une tĂȘte Ă©norme, un torse veinĂ©, une bite bien soignĂ©e, embrassĂ©e, insĂ©rĂ©e, me regardait comme si elle me provoquait. Tolga a Ă©galement Ă©tĂ© congelĂ©. Il ne pouvait mĂȘme pas penser Ă cacher sa queue, Ă la couvrir. Sa propriĂ©tĂ© Ă©tait sur la place, il avait oubliĂ© le tuyau de douche qui jaillissait de lâeau de la pointe dans sa main, le pauvre, lâeau coulait sur le sol.
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