recherche sĂ©curisĂ©e dĂ©sactivĂ©e Ce que je vais raconter nâest pas une histoire de sexe ou de faire lâamour, mais en fait une histoire de harcĂšlement que jâai rĂ©alisĂ© des annĂ©es plus tard. Lâincident a eu lieu entre moi et ma tante, une mĂšre mariĂ©e de deux enfants au dĂ©but de la trentaine, Ă lâĂ©tĂ© 2009 â un homme dĂ©cadent, alors ĂągĂ© de 14-15 ans, qui venait dâentrer dans la pubertĂ©.
Il y avait deux rues entre nos maisons, qui se trouvaient dans une ville mĂ©tropolitaine dâun pays en dĂ©veloppement et dans une zone sous-dĂ©veloppĂ©e de cette ville. DĂ©c. Les gens venaient vivre dans un endroit aussi proche tous les deux ou trois jours, et ceux qui migraient de village en ville dans cette mĂ©tropole avaient dĂ©jĂ des voisins, parents ou paysans.
Chaque fois que ma tante venait sâasseoir ou que nous partions, elle montrait un grand intĂ©rĂȘt pour moi, me serrait dans ses bras, mâembrassait, appuyait sur sa poitrine. CâĂ©tait normal de montrer une telle attention aux jeunes enfants, mais maintenant jâĂ©tais entrĂ©e dans lâadolescence et câĂ©tait devenu un rituel qui me faisait plaisir.
Le mari de ma tante Ă©tait maĂźtre dâouvrage et il allait travailler en Roumanie pendant environ un an et demi. Ma tante a commencĂ© Ă vivre seule avec ses deux enfants. Au cours de ce processus, il restait gĂ©nĂ©ralement avec nous pendant la journĂ©e et se rendait chez lui le soir. Ăa sâest passĂ© comme ça au dĂ©but, mais un jour quand il est venu sâasseoir, il a recommencĂ© Ă mâaimer. Jâavais lâhabitude de penser que câĂ©tait un acte de compassion, pas une chose sexuelle.
Mais cette nuit-lĂ , il Ă©tait assis Ă cĂŽtĂ© de moi, parlant Ă mon pĂšre dâun cĂŽtĂ© et jouant avec ma main de lâautre. Il a pris ma main sous son bras et lâa mise sur sa jambe pour quâelle soit prĂšs de son aine pendant quâil parlait. Je pouvais sentir sa jambe Ă travers sa jupe, qui Ă©tait fine, et cela mâa immĂ©diatement fait chaud avec cette sensation, mais parce que jâai commencĂ© Ă ĂȘtre sexuellement attirĂ©e par ma tante, jâai commencĂ© Ă serrer doucement ma main au lieu de la retirer. Connaissant lâopportunitĂ© pour mon pĂšre de se tourner vers le briquet de la tĂ©lĂ©vision pour allumer sa cigarette, jâai doucement bougĂ© Ă nouveau ma main, pendant que ma tante disait quelque chose Ă mon pĂšre.
Peut-ĂȘtre quâĂ cause de lâadolescence, je ne pouvais serrer personne dans mes bras Ă ce moment-lĂ . Prenant courage de cet incident, alors que jâallais embrasser ma tante plus tard-et ma tante mâa dĂ©jĂ serrĂ© dans ses bras â jâai commencĂ© Ă la serrer fermement maintenant, lui tapotant le dos avec ma main tout en lâĂ©treignant, frottant dĂ©libĂ©rĂ©ment ma main contre son soutien-gorge.
Mais je ne pensais pas que ma tante avait remarquĂ© ce que je faisais. Un jour, alors quâil allait se lever aprĂšs sâĂȘtre assis chez nous, il a dit Ă mon pĂšre quâil avait peur la nuit et lui a demandĂ© de me renvoyer, et mon pĂšre a dit dâaccord. Cette nuit-lĂ , jâai dormi dans une chambre sĂ©parĂ©e. Je me suis rĂ©veillĂ© la nuit avec une dĂ©mangeaison Ă la jambe, ma tante me caressait la jambe avec sa main, passant sa main Ă travers lâentrejambe de mon short et caressant ma bite. Je faisais semblant de dormir.
La piĂšce Ă©tait presque sombre, mais je pouvais vaguement voir ma tante se masturber avec son autre main. Je me retenais Ă peine et contrĂŽlais ma respiration pour quâil ne comprenne pas. Cependant, parce quâil nâarrĂȘtait pas de caresser ma bite, il a complĂštement boursouflĂ©, a presque explosĂ©, jâai senti que jâallais jouir.
Jâai dĂ» bouger lĂ©gĂšrement ma jambe en Ă©jaculant, mais cela ne le dĂ©rangeait pas. Il a continuĂ© Ă me caresser aprĂšs que jâai Ă©jaculĂ©, je pense que quand il a Ă©jaculĂ© lui â mĂȘme, il est parti. Une fois lâexcitation de lâĂ©vĂ©nement passĂ©e, je me suis dit que si jâavais montrĂ© au lit que jâĂ©tais rĂ©veillĂ©, peut-ĂȘtre quâon aurait baisĂ©.
Le matin, jâai dit âJe prendrai le petit dĂ©jeuner Ă la maisonâ et je suis parti. On ne sâest plus jamais parlĂ© aprĂšs ça, il mâa serrĂ© dans ses bras comme avant et nâa pas montrĂ© dâintĂ©rĂȘt.