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modĂšle sexuel amiens Chine Porno Ma sĆur Damla Ă©tait une fille qui nâĂ©tait pas trĂšs belle, mais qui avait un corps vivant.elle Ă©tait diplĂŽmĂ©e du dĂ©partement des sciences infirmiĂšres de lâuniversitĂ© Ă lâĂąge de 22 ans.Jâattendais aussi que les rĂ©sultats de lâexamen universitaire soient annoncĂ©s cette annĂ©e. La cĂ©rĂ©monie de remise des diplĂŽmes a eu lieu dans une salle de sport Ă EskiĆehir.Damla avait emballĂ© toutes ses affaires, les avait mises dans la voiture. Nous allions partir pour Istanbul aprĂšs la cĂ©rĂ©monie. Maman et papa travaillaient le lendemain. Elle Ă©tait vĂȘtue dâune robe poudrĂ©e noire Ă un pouce au-dessus de ses genoux. Sur ses pieds, les stelettos avaient donnĂ© un air distinct Ă ses jambes et Ă ses hanches. Pas de maquillage trop lourd, mais un rouge Ă lĂšvres foncĂ© avait rĂ©vĂ©lĂ© ses lĂšvres charnues. Lâodeur Ă©tait incroyable. Quand nous nous sommes Ă©treints, jâĂ©tais trĂšs excitĂ© de saisir sa taille Ă©lancĂ©e. Parmi tant de belles filles, est-ce que je baisse les yeux sur ma sĆur? DĂ©c.je ne pouvais pas me sĂ©parer de dan.Maman Ă©tait assise sur le siĂšge avant, jâĂ©tais sur le siĂšge derriĂšre le chauffeur. AprĂšs avoir bavardĂ© pendant un moment ^ oui, je suis mort aujourdâhui dâavoir couru en talons sur mon pied^ il a enlevĂ© ses pieds et a Ă©tirĂ© ses pieds sur mes genoux. Ses pieds Ă©taient lĂ©gĂšrement moites. (arda cim, frotte un peu, ma sĆur, DĂ©c) il a dit. Il Ă©tait reconnaissant pour ma vie. Elle avait les pieds pĂ©dicurĂ©s, les ongles vernis Ă ongles. Jâai commencĂ© Ă prendre ses pieds dans mes mains un par un et Ă les frotter. Sa jupe, qui Ă©tait dĂ©jĂ courte, Ă©tait un peu plus dĂ©nudĂ©e, et je pouvais voir ses mollets alors que la lumiĂšre frappait dans lâobscuritĂ© de la nuit. JâĂ©tais tellement endurci. Il sâest endormi pendant que je le frottais. Maman mâa dit de montrer le brochet mince dans la voiture et de le recouvrir sur ma sĆur. dit. Les pieds de ma sĆur sur mes genoux Jâai couvert le brochet ĂŒstĂŒne.ve Jâen ai aussi dissimulĂ© une partie sur moi-mĂȘme. Mais je pensais toujours Ă ma sĆur. Comme ses lĂšvres Ă©taient sexy. Ses pieds touchaient ma bite, qui durcissait Ă mesure que la voiture se balançait. Je ne pouvais pas le supporter quand maman sâendormait aussi. Il est impossible pour mon pĂšre de voir, aprĂšs tout, jâai sorti ma bite de dessous le brochet en disant. Et jâai commencĂ© Ă frotter les pieds de ma sĆur. Il dormait si profondĂ©ment quâil ne sâen est mĂȘme pas aperçu.
Jâai pris une serviette dans ma main et jâai rampĂ© jusquâĂ ses pieds et jâai Ă©jaculĂ©. Jâai jetĂ© la serviette par la fenĂȘtre et jâai fait mes valises. Nous Ă©tions sur le point dâentrer sur lâautoroute et je ne pouvais rien cacher sur la route Ă©clairĂ©e.Je partais en vacances dâĂ©tĂ©. Damla avait signĂ© avec un hĂŽpital voisin. Comme lâhĂŽpital Ă©tait en rĂ©novation, il a fallu encore un mois ou deux avant quâil ne commence Ă travailler. Nous avons passĂ© beaucoup de temps ensemble Ă la maison. Il ne voulait pas le laisser seul, je marchais constamment autour de lui. Je capturais chacun de ses mouvements, chaque coup franc. Ma sĆur Damla Ă©tait maintenant devenue le point focal de mon life.My sĆur a dit quâun jour elle mâa vu sauter en marchant. < rien, ma sĆur> ai-je dit. dit. Jâai dit: âJe suis gĂȘnĂ©e, ma soeur, jâai un tour de cheveux ou quelque chose comme une Ă©bullition dans lâaine, ça fait mal â.-je suis infirmier, dit â il, laisse-moi voir si tu lâouvres.- ma sĆur, jâai dit que jâaurais honte dans un mauvais endroit.-mon fils, nous avons vu beaucoup de ces problĂšmes, ne tâinquiĂšte pas,dâailleurs, je suis infirmiĂšre, sans vergogne, laisse-moi me regarder affamĂ©, il a dit, selon lui, je vais lâemmener chez le mĂ©decin. Jâai acceptĂ©, en disant OK. Je me suis allongĂ© sur le lit, jâai baissĂ© mon short, ma sĆur a apportĂ© la trousse de premiers soins. Ma sĆur, je pensais tĂ©lĂ©charger baxter, allumer le bouton et regarder Ă partir de lĂ . Dâaccord, ouvrons-le, dit â il. Baxter, jâai dĂ©boutonnĂ© les boutons et ouvert la plaie Ă ma sĆur. Hmm, a-t-il dit.. lorsque vous achetiez cet endroit avec un rasoir, il y avait de lâacnĂ©, la piĂšce arrivait jusquâĂ la racine des cheveux, alors restez et attendez, a-t-il dit. JâĂ©tais excitĂ©. Ma sĆur a pris lâaiguille dâinjection dans sa main et lâa plongĂ©e dans la plaie. Et il a serrĂ© tout en enlevant lâinflammation lĂ -bas, ça faisait mal, mais jâobtenais un plaisir Ă©trange. Ma sĆur sâoccupait juste de la blessure Ă la racine de ma bite, et pendant quâelle faisait ça, sa main a touchĂ© ma bite, quâelle le veuille ou non, sur baxter. Ma bite, qui a reculĂ© dâembarras lorsque je lâai ouverte pour la premiĂšre fois, avait commencĂ© Ă prendre du volume. Ma sĆur a pressĂ© lâinflammation et a pris le follicule pileux avec une pince Ă Ă©piler. Nous devons fermer cet endroit, a-t-il dit, lâenlever. Neee, jâai dit non. Oh, mon dieu, tu es si timide arda. DĂ©c. Il a dit allez ou ça va ĂȘtre pire. Dâaccord, jâai dit tourne-toi. Il a ri et a dit, dâaccord, idiot. Quand il a tournĂ© la tĂȘte, jâai baissĂ© la tĂȘte et jâai commencĂ© Ă me camoufler en prenant ma bite dans ma main. Ma sĆur a nettoyĂ© et scotchĂ© la plaie dâune maniĂšre trĂšs normale. Jâai eu une bonne Ă©rection. Ăa ne tenait plus dans ma main.
Quây a â t-il, len.. il a dit hallenion Ă ta sĆur en riant. Je suis une grande soeur, jâai dit, ne mâembarrasse pas. Allez, allez, lĂšve-toi.. il a dit que de telles choses sont normales Ă ton Ăąge. Pendant que je rangeais, jâessayais de le couvrir avec ma main dâun cĂŽtĂ© et dâessayer de mâhabiller de lâautre.Le lendemain, il est venu dans ma chambre. Il avait Ă nouveau la trousse de premiers soins Ă la main-voyons, il a dit le temps de sâhabiller. Soeur, jâai dit pas besoin, mais elle a dit allez, sors. Cette fois, je me suis allongĂ© plus confortablement et jâai baissĂ© mon short et mes sous-vĂȘtements ensemble. Ooo arda Dech, je vois que ton embarras est terminĂ©, dit-il en riant.. allez, soeur, jâai dit.. Ne plaisante pas.. je me suis arrĂȘtĂ© en tenant ma bite par la tĂȘte. Je redevenais raide, alors ma sĆur a tirĂ© le vieux pansement fort.. il lâavait fait dĂ©libĂ©rĂ©ment.. jâai criĂ© ahhh ça fait mal? il a dit que câĂ©tait une douleur Ă la banane. Garde ça droit.. il lâessuya Ă nouveau, le nettoya et fit une vinaigrette plus petite.ce nâest plus nĂ©cessaire, il est guĂ©ri. Mais il a dit de ne plus se couper les cheveux pendant un moment.Cela a Ă©tĂ© une dĂ©cadence entre ma sĆur et moi.JâĂ©tais plus Ă lâaise avec ma sĆur maintenant. Il ne cachait pas mon Ă©rection, mes vĂȘtements nâĂ©taient pas un problĂšme. Je voyageais avec baxter pendant les pĂ©riodes oĂč nous Ă©tions seuls Ă la maison. JâĂ©tais trĂšs Ă lâaise mĂȘme pour entrer et sortir de la salle de bain. Ma sĆur nâĂ©tait pas du tout Ă©trange non plus, elle agissait trĂšs Ă lâaise. Comment Arda a-t-elle eu ta blessure, ma sĆur a-t-elle guĂ©ri dĂ©cemment? Il a dit un jour. Oui, ala, mais jâai dit si tu veux jeter un coup dâĆil. Il Ă©tait assis sur le canapĂ© en train de lire un livre. Il a dit de venir me montrer. Jâai traversĂ© devant toi et jâai tout tĂ©lĂ©chargĂ©. Il a dit ohaaa.. si tu ne veux pas ĂȘtre aussi Ă lâaise, alors il sâest mis Ă rire. Il a Ă©cartĂ© ma bite avec un toucher doux. CâĂ©tait assez pour me rendre fou.
Le mien Ă©tait droit jusquâĂ ce que je regarde cette blessure. Dâabord, il a regardĂ© le visage de ma bite onra. Arda a dit de foutre le camp dâici. DĂ©c..mais il nâĂ©tait pas fou?Mes oncles allaient rester avec nous pour le mariage dâun parent.Ils sont arrivĂ©s vendredi soir. Quand je dis que le dĂźner est une conversation, il est temps dâaller au lit. Maman a envoyĂ© ma soeur Ă mon room.My des oncles allaient dormir dans le lit de ma sĆur. Ma sĆur est venue avec des chemises de nuit Ă la main. Arda a dit de fermer les yeux et je vais changer de Deckclothes. Jâai fermĂ© les yeux et il a mis sa combinaison avec un short, qui Ă©tait une chemise de nuit. CâĂ©tait quelque chose comme un bĂ©bĂ© zib avec des manches courtes boutonnĂ©es Ă partir de la poitrine, ce qui Ă©tait une exigence courte. AprĂšs nous ĂȘtre assis dans ma chambre pendant un moment et avoir regardĂ© un film, nous sommes allĂ©s nous coucher dans un lit simple. LĂ -bas, lĂ -bas, nous ne pouvions pas nous installer. Le milieu du lit Ă©tait Ă©galement lĂ©gĂšrement effondrĂ©, de sorte que le lit nous a rassemblĂ©s au milieu. Finalement, ma sĆur sâest retournĂ©e en position fĆtale. Alors je me suis approchĂ© de lâarriĂšre.Jâai mis mon bras autour de lâoreiller et nous sommes allĂ©s nous coucher. Mais je nâarrivais pas Ă dormir. En arrivant au milieu du lit, je mâappuyais sur ma sĆur. Arda, reste calme maintenant, ma sĆur nâen a plus dit. DĂ©c. Ma sĆur, jâai dit que le lit Ă©tait inconfortable. Dâaccord, approchez-vous, dit-il un peu plus, jâai serrĂ© ma sĆur dans mes bras par derriĂšre. Ma bite est redevenue comme un pieu pendant que jâen inhalais lâodeur sur la nuque de mon visage. Je prenais la tempĂ©rature de ton corps Ă travers le mince jumpsuit.my sĆur nâa pas enlevĂ© ses sous-vĂȘtements.Jâai appuyĂ© doucement sur sa hanche. JâĂ©tais essoufflĂ© dâexcitation. Arda, va aux toilettes et viens si tu veux, a dit ma sĆur. DĂ©c. Tu ne pourras pas dormir.. mais, euh? il nây a pas de quoi sâexcuser quand je dis que je suis dĂ©solĂ©.. câest normal. Mais va te dĂ©tendre.. il a dit dâaller dormir et de mâendormir aussi.Je me suis levĂ© et jâai tirĂ© 31 en pensant Ă ma sĆur. Quand je suis revenu, ma sĆur Ă©tait asleep.so Je me suis endormi en me serrant dans mes bras.Le lendemain soir, quand il Ă©tait temps de se recoucher, ma sĆur mâa dit avant que je me couche, tu vas aux toilettes, allez. La salle de bain Ă©tait pleine quand je suis parti. Je suis revenu avant de pouvoir entrer. Il a dit Ă quelle vitesse tu es revenu. Ma sĆur sâest moquĂ©e de moi en disant que tu Ă©tais venue si tĂŽt, ma sĆur. Non, jâai dit que la salle de bain Ă©tait pleine, je ne pouvais pas entrer.
Dâaccord, allez, dit â il, va te coucher. Et il a pris la position dâhier soir. Mais il nây avait pas de soutien-gorge ce soir-lĂ . Il lâa sorti et lâa mis sur ma chaise. Je me suis de nouveau serrĂ© dans mes bras et ma bite sâest relevĂ©e. Arda bi sahib nâen dit pas plus. DĂ©c. On met un oreiller entre nous? DĂ©c.. jâai dit peut-ĂȘtre. Ă ce moment, la porte de la salle de bain sâouvrit. Je pars, jâai dit dâaller dormir jusquâĂ ce quâil vienne. Jâai pris le soutien-gorge de ma sĆur de la chaise et je suis allĂ© au magasin. Jâai commencĂ© Ă sentir le soutien-gorge, il faisait chaud. Il sentait lĂ©gĂšrement la sueur et la peau. Ce nâĂ©tait pas trĂšs grand. Jâai rapidement Ă©jaculĂ© violemment. Quand je suis entrĂ©e dans la piĂšce, jâai remis le soutien-gorge Ă sa place dâorigine. Ma sĆur avait pris un oreiller fin et lâavait mis derriĂšre elle. Je suis allĂ© me coucher et je me suis serrĂ© dans mes bras.. câest ce que jâai dit.. mâa-t-il dit dâaller dormir maintenant? il a aussi demandĂ© si tu nâavais pas sali mon soutien-gorge, nâest-ce pas?.oh, non.. je disais juste.. quand je me suis rĂ©veillĂ© le matin, ma sĆur Ă©tait allongĂ©e sur le dos. Alors jâai mis ma tĂȘte sur sa poitrine et je lâai serrĂ© dans mes bras. Je pouvais voir ses seins entre les boutons de sa combinaison, je voulais toucher Dec, mais je nâosais pas. Ma bite Ă©tait Ă nouveau debout. Ă ce moment-lĂ , ma mĂšre a frappĂ© Ă la porte et a dit, allez, lĂšve-toi, le petit dĂ©jeuner est prĂȘt. Pendant que je continuais Ă dormir, ma sĆur sâest rĂ©veillĂ©e et est sortie du lit en me serrant dans ses bras. Il pensait que je dormais et a enlevĂ© sa salopette. Je ne pouvais pas voir leur ciel parce que leur dos Ă©tait face Ă moi, mais la culotte string avec des bords en tulle dans le dos mâexcitait Ă fond. Elle a mis ses vĂȘtements rieurs et mâa appelĂ©. Arda, allez, grande soeur. DĂ©c.. Je suis aussi devenu nerveux en prĂ©tendant que je venais de me rĂ©veiller. Ma bite avait de nouveau installĂ© une tente. Quây a-t-il, soeur, ai-je dit. Est-ce quâil a dit, allez, pose â le et viens breakfast?.My sĆur portait une combinaison dos nu. CâĂ©tait sa taille dans laquelle elle nâavait pas de soutien-gorge. Il y avait Ă nouveau un lĂ©ger maquillage sur son visage. Les talons de son pied avaient rĂ©vĂ©lĂ© la beautĂ© de ses pieds et de son talon blanc. Elle avait ses cheveux auburn en queue de cheval et son cou Ă©tait exposĂ©. Et bien sĂ»r, jâai fait la premiĂšre danse avec une telle beautĂ©. DĂšs que jâai jetĂ© sa main autour de sa taille, jâai rĂ©alisĂ© quâil avait un string culpt, quâil ne prĂ©fĂ©rait pas beaucoup. En dansant, jâapprĂ©ciais lâodeur et le contact de ma sĆur. Il a dit, quâen penses-tu? Tu portes un string.. en fait, tu ne prĂ©fĂ©rerais pas vraiment ça.. jâai dit? il Ă©clata de rire.. il a dit non, idiot.. quand je tâemmĂšne aux toilettes le soir? quâen pensez-vous, a-t-il dit.. Je ne mâattendais pas à ça.. quâest-ce que je suis censĂ© penser, soeur? Jâai dit, quel genre de question est-ce? il a probablement dit que tu tâĂ©tais inspirĂ© de moi et que tu nâimaginais personne dâautre.. sĆur a dit ok, ouais.. une fois la chanson terminĂ©e, Dec mâa Ă©treint dâune certaine maniĂšre et a mis un baiser entre ma joue et ma lĂšvre.Quand nous sommes rentrĂ©s Ă la maison aprĂšs le mariage, mes oncles Ă©taient de nouveau avec nous. Ils allaient partir le lendemain, et cela pourrait ĂȘtre la derniĂšre nuit que nous passerons avec ma sĆur. Elle est entrĂ©e avec son maquillage essuyĂ©, ma sĆur. Elle avait une chemise de nuit peignĂ©e Ă la main. Nous nous sommes assis sur le bord du lit pendant un moment et avons parlĂ© du mariage. Il faisait trĂšs chaud.