fils et maman AprĂšs ĂȘtre rentrĂ©s chez nous avec Esra, nous avons traĂźnĂ© sur Internet pendant un moment. Nous nous sommes couchĂ©s tĂŽt parce que nous allions partir le matin, nous nous sommes levĂ©s tĂŽt le matin et sommes partis Ă 06h00. Il Ă©tait 7h30 lorsque nous sommes arrivĂ©s Ă lâhĂŽpital dâEreÄli. Lorsque nous sommes montĂ©s dans la chambre du grand-pĂšre dâEsra, Fatma et Asiye Hanım, la mĂšre de Fatma, nous ont accueillis. Esra Ă©treignit son grand-pĂšre. AprĂšs lâaccueil, Fatma a dit: âCâest bien que tu sois venue, jâai presque commencĂ© Ă sentir la saletĂ©! BĂ©bĂ©, ramĂšne maman et moi Ă la maison pour quâon puisse se nettoyer!âdit-il. Nous sommes allĂ©s chez sa mĂšre ensemble.
Fatma est immĂ©diatement allĂ©e dans la salle de bain, a nettoyĂ© et est partie. AprĂšs Fatma, lorsque sa mĂšre Asiye hanım est entrĂ©e dans la salle de bain, Fatma mâa attrapĂ© par le bras, mâa traĂźnĂ© dans la chambre et sâest accrochĂ©e Ă mes lĂšvres. Quand jâai mis ma main dans sa chatte, jâavais lâimpression que la chatte de ma Fatma brĂ»lait. DĂšs que nous Ă©tions nus, nous avons commencĂ© Ă nous embrasser sur le lit. Fatma a dit: âTa bite me manque tellement, mon amour!âen disant, il a commencĂ© Ă bouder ma bite. Jâai aussi commencĂ© Ă embrasser la chatte de ma Fatma. Sa chatte Ă©tait devenue consistante, jâai pris ses jambes sur mon Ă©paule et jâai enracinĂ© sa chatte. Fatma a dit: âOhhh mon amour, tu es merveilleux, tu me manques tellement, baise-moi!âil a commencĂ© Ă sâexclamer. Je lâai collĂ© jusquâĂ la racine, je lâai tirĂ© tout le long, je lâai enterrĂ© Ă nouveau dans la chatte de fatma. Fatma, â Putain, racine, nourris ta chienne jusquâĂ la bite, ohhh!âil Ă©jacula avec un gĂ©missement et une secousse. Jâai sorti ma bite de sa chatte et jâai commencĂ© Ă lui lĂ©cher la chatte. Fatma, â Tu tues avec plaisir Kemall, au-delĂ de mon amour tu es gĂ©niale!âil disait.
AprĂšs avoir lĂ©chĂ© les eaux de sa chatte, jâai fait se recroqueviller Fatma, lui ai lĂ©chĂ© le trou du cul, boudĂ©, dilatĂ©. Fatma, â Baise-moi aussi le cul, mon amour, mets ta grosse bite dans mon cul!âalors quâil gĂ©missait Ă nouveau, jâai mis ma bite contre son cul et lâai appuyĂ©e. Quand sa tĂȘte est entrĂ©e, il a dit: âOuf ça fait trĂšs mal, mon amour, ralentis sâil te plaĂźt!âcommença-t-il Ă dire. Jâai attendu un moment. Quand le connard sâest habituĂ© Ă ma bite, jâai tout enracinĂ©. Fatma se tord sous moi â â Baise mon amour, baise mon cul!âpendant quâelle criait, il a recommencĂ© Ă jouir en lui caressant la chatte. JâĂ©tais aussi arrivĂ© Ă la fin. Jâai tirĂ© fort sur ton cul et giclĂ© mon sperme au plus profond.
Je me suis habillĂ© et jâai quittĂ© la piĂšce en premier. Mme Asiye, la mĂšre de Fatma, Ă©tait dans la cuisine Ă cĂŽtĂ© de la chambre. Je suis allĂ© dans la cuisine et jâai pris un verre dâeau. Mme Asiye, â Va te nettoyer et bois ton eau comme ça!âdit-il. Jâai laissĂ© le verre et je suis allĂ© aux toilettes. Fatma Ă©tait dans la salle de bain, â Que sâest-il passĂ©?âdit-il. âJâallais boire de lâeau, ta mĂšre a dit de te nettoyer et de boire ensuite. Je suis aussi venu me faire nettoyer!âquand il a dit, il mâa dĂ©shabillĂ©, nous sommes allĂ©s sous la douche ensemble. Quand nous nous embrassions et jouions, ma bite est redevenue comme une tige coupante. Jâai tordu Fatma sous la douche et lui ai passĂ© la chatte par derriĂšre. Jâai pompĂ© Fatma jusquâĂ ce quâelle se vide. Ensuite, nous avons pris une douche et sommes sortis ensemble. Une fois que nous nous sommes tous prĂ©parĂ©s, nous avons quittĂ© la maison et sommes retournĂ©s Ă lâhĂŽpital.
Lorsquâelle est entrĂ©e dans la chambre dâhĂŽpital, Mme Asiye a dit: âFatma, ma fille, jâai oubliĂ© de prendre un verre dâanxiĂ©tĂ©, que va-t-il se passer maintenant?âdit-il. Jâai immĂ©diatement sautĂ©, â Quâest-ce qui va se passer, chĂ©rie, on va aller le chercher!Jâai dit. âCe sera un problĂšme pour vous aussiâŠâdit-il. âPeu importe, Mme Asiye, quel ennui, nous irons et reviendrons tout de suite!Jâai dit. âEh bien, allons-y!âdit-il. Mme Asiye et moi sommes repartis pour leur maison. Pendant que nous conduisions, Mme Asiye me regardait avec mĂ©chancetĂ© et elle vĂ©rifiait devant moi sans sâen apercevoir. Finalement, il nâa pas pu rĂ©sister: âKemal Bey, quâest-ce que tu as fait Ă ma fille, tu as fait hurler et hurler Fatma!âdit-il. Jâai dit: âMadame Asiye, je suis dĂ©solĂ© si je vous ai dĂ©rangĂ©. Fatma est presque ma femme maintenant, ne vous lâa-t-elle pas dit? Je lui ai proposĂ©, mais il a rejetĂ© mon offre, disant que câĂ©tait mieux comme ça, et mĂȘme sâil ne se mariait pas, il a coupĂ© court Ă mon offre, disant que je suis ta femme!Jâai dit. Mme Asiye, â Alors il y a autre chose qui rend ma fille heureuse, alors vous lâavezâŠânous sommes arrivĂ©s Ă lâavant de la maison.
Jâai garĂ© la voiture et nous sommes entrĂ©s dans la maison. Mme Asiye est allĂ©e dans la cuisine et a sorti une bouteille du placard, a rempli deux verres et mâen a tendu un: âTiens bois, sorbet au miel et jus de mĂ»rier noir, câest bon par cette chaleur!âdit-il. Jâai bu une gorgĂ©e, câĂ©tait dĂ©licieux, jâai bu le reste en une seule fois. Mme Asiye a dit: âCâest une bonne boisson, ils font boire les mariĂ©s ici avant dâentrer dans le mariage, ça donne de lâĂ©nergie!âdit-il. Jâai rĂ©alisĂ© que lorsque je baisais sa fille Fatma, Mme Asiye Ă©tait trĂšs impressionnĂ©e, mais dâune maniĂšre ou dâune autre (Baise-moi aussi comme ça!) il ne pouvait pas le dire. Je lui ai dit â â Maintenant tu me lâas fait boire aussi, oĂč ira cette Ă©nergie, il nây a pas de Fatma non plus?âquand il a dit, Mme Asiye,â Croyez-moi, Kemal bey, je suis mariĂ© depuis 38 ans, je nâai pas vu une telle chose de la part de mon mari, et je nâai pas vu si longtemps entre Fatma et son DĂ©funt mari! Je suis sorti de la salle de bain quand jâai entendu ta voix pendant que tu Ă©tais Ă lâintĂ©rieur, et je ne pouvais pas quitter ta porte tant que tu nâavais pas fini. MĂȘme quand tu es venu Ă la cuisine, mes contractions se poursuivaient âŠâquand je lâai dit, jâai embrassĂ© les lĂšvres de Mme Asiye.
Nous sommes allĂ©s dans la chambre Ă coucher en nous embrassant et en nous embrassant. Mme Asiye a Ă©tĂ© instantanĂ©ment dĂ©shabillĂ©e. Son corps Ă©tait tout Ă fait vivant pour son Ăąge, â Vous ĂȘtes comme une fille de 18 ans, Mme Asiye!Jâai dit. Mme Asiye a dit :â Vous ĂȘtes aussi un homme complet, vous avez fait hurler Fatma sans arrĂȘt pendant une demi-heure!âdit-il. Alors je me suis dĂ©shabillĂ©e, et quand jâai enlevĂ© ma culotte, les yeux de Mme Asiye se sont ouverts comme une diseuse de bonne aventure. âQuâest-ce que câest que ça, comme un coq de cheval! Il y a tellement de choses que ma fille crie, comment va-t-elle entrer en moi, Kemal bey?âpuis il a tendu la main et a attrapĂ© ma bite et a commencĂ© Ă la caresser. âMme Asiye, dĂ©tendez-vous, je lâai poussĂ©e Ă la fois dans la chatte et dans le cul de filles de 16-17 ans, elles gĂ©missaient de plaisir. Tu gĂ©miras bientĂŽt aussi!Jâai dit. Mme Asiye a dit: âEh bien, Kemal bey, je pensais que notre gars Ă©tait grand, mais celui-ci en a trois fois plus!âdit-il. Je lui ai dit: âDites, Mme Asiye, vous ĂȘtes encore vierge, regardez, quand vous mangerez ça, vous vous rendrez compte que vous ĂȘtes une femme, croyez-moi!Jâai dit.
Jâai fait allonger Mme Asiye sur le lit, jâai commencĂ© Ă lui lĂ©cher la chatte par derriĂšre. Le goĂ»t de sa chatte Ă©tait dĂ©licieux, lâodeur Ă©tait merveilleuse, jâai boudĂ© jusquâĂ ce que Mme Asiye vide sa chatte, jâai inhalĂ© son jus de chatte. Mme Asiye avait de la difficultĂ© Ă respirer, elle nâarrĂȘtait pas de soupirer et de se contracter. Cette fois, je commence Ă souhaiter pouvoir lĂ©cher ton trou du cul. Mme Asiye a dit: âAyyy Kemal bey, vas-tu me tuer, sâil te plaĂźt, laisse-moi me reposer un moment!âdit â il, allongĂ© face contre terre sur le lit. Alors je me suis allongĂ© Ă cĂŽtĂ© dâelle, âLa chatte de la fille Asiye est serrĂ©e, comme si Fatma nâĂ©tait pas sortie dâici!Jâai dit. Asiye a dit: âIl nâest pas sorti de lĂ de toute façon, ils lâont emmenĂ© par cĂ©sarienne!âdit-il. âEh bien, tu as Ă©tĂ© mariĂ© toutes ces annĂ©es, ça me surprend que ce soit toujours aussi serrĂ©!Jâai dit. ârien dâautre que mon doigt ne rentre depuis 10 ans, câest pourquoi!âdit-il. âTon mari ne baise pas?Jâai dit. âAhh ahh Kemal, ne demandez pas, il y a 10 ans, mon mari est tombĂ© dâun arbre en fouettant des noix, un morceau de bois Ă©pais comme un doigt est entrĂ© Ă la jonction de sa bite et de ses couilles, son sang ne sâest pas arrĂȘtĂ©, nous nous sommes prĂ©cipitĂ©s chez le mĂ©decin, enlevĂ© chirurgicalement et suturĂ©. Il nây a pas de dĂ©clic aprĂšs ce jour-lĂ , le gars!âquand il me lâa dit, jâai eu pitiĂ© de lui.
âEh bien, nâas-tu jamais Ă©tĂ© avec quelquâun dâautre?Jâai dit. âAyy Kemal, câest un tout petit endroit, ils vont y mettre un wpi tout de suite comme une chienne!âdit-il. Je lui ai dit: âAlors pourquoi voulais-tu avec moi?âquand jâai demandĂ©, il a dit ââ Tu es un Ă©tranger, et en plus, tu as une liaison avec ma fille, tu ne me le dirais pas!âdit-il. Jâai embrassĂ© ses lĂšvres, lĂ©chĂ© ses joues, ses lobes dâoreilles, son cou, boudĂ©. Jâai sucĂ© ses seins comme si je les arrachais. Il nây a plus dâendroit sur ton corps oĂč ma langue ne se touche pas. Asiye ââTu es gĂ©nial Kemal, ohhh baise-moi!âil a commencĂ© Ă se tortiller sous moi. Jâai crachĂ© ma bite, je lâai mouillĂ©e, jâai Ă©cartĂ© les lĂšvres de sa chatte et je lâai tenue, je lâai pressĂ©e lentement. Quand ma bite se met en travers, le Rebelle dit: âIihhh! Lentement, je deviendrai une victime lentement!âquand il gĂ©missait, jâattendais. Jâai pris ses seins dans ma paume et les ai pĂ©tris. Au fait, jâai enracinĂ© ma bite dans sa chatte sans quâelle sâen rende compte. DĂ©c. Le rebelle a marchĂ© sur le criâ â EnfoirĂ©, tu mâas dĂ©chirĂ© la chatte!âil a commencĂ© Ă gĂ©mir.
JâĂ©tais ambitieux, jâai continuĂ© Ă pomper de toutes mes forces. La chatte de lâasiya sâĂ©tait desserrĂ©e, arrosĂ©e, elle avait pris ma bite confortablement. Ă la fin de mon pompage pendant 15 minutes, Asiye volait maintenant avec plaisir. âTu es putain de gĂ©nial Kemal, ohhh mon homme, root, frappe â moi avec ta grosse bite!âil a Ă©jaculĂ©. Jâai retournĂ© Asiye face contre terre, je suis rentrĂ© dans sa chatte par derriĂšre. JâinsĂ©rais ma queue Ă la racine, la retirais et lâenracinais Ă nouveau. Asiye Ă©tait trempĂ©e sous moi, trempĂ©e de sueur. Jâai sorti ma bite, jâai bien sĂ©parĂ© ses jambes et jâai commencĂ© Ă lui lĂ©cher la chatte. Je te lĂ©chais le cul aussi. Asiye a dit: âOhhh Kemall, câest la premiĂšre fois que jâai lâimpression que se faire baiser est si agrĂ©able, tu es un mec formidable!âil disait. âTiens bon, ma rebelle, on vient de commencer, que de plaisirs vais-je te donner de plus!Jâai dit. âEh bien, Kemal, je ne sais pas quoi dire, je pensais que mon mari me baisait depuis 38 ans. Peut-ĂȘtre que tu as fait autant que mon mari mâa vidĂ© jusquâĂ ce jour jusquâĂ prĂ©sent. Croyez-moi, je ne peux mâen empĂȘcher, ma chatte fuit constamment! Tu es comme un taureau reproducteur, Kemal!âdit-il.
âAsiyeci, ta chatte est trĂšs douce et trĂšs serrĂ©e. Croyez-moi, la vĂŽtre est encore plus Ă©troite que la chatte de votre fille Fatma et de votre petite-fille Esra!âJâai dit, et jâai remis ma bite dans sa chatte. Tout en pĂ©trissant ses cuisses, mes doigts massaient son trou du cul. Asiye tourna la tĂȘte et dit â â As-tu baisĂ© Esra aussi, Kemal? Câest juste une fille aveugle, je ne mâattendrais pas à ça de ta part!âdit-il. âJe vais me rebeller, jâai beaucoup rĂ©sistĂ© pour ne pas baiser Esra, mais elle mâa menacĂ©, je devais le faire. (Je vais me faire baiser par quelquâun dâautre, je dirai Ă ma mĂšre que tu as baisĂ© aussi!) quand il a dit, crois-moi, mon Ćil sâest tournĂ© Ă ce moment-lĂ et je tâai soufflĂ© la chatte, salope!âquand il a dit, Asiya,â Sa mĂšre aussi, (lâoncle de Kemal a Ă©tĂ© gentil avec Esra, ma fille sâest amĂ©liorĂ©e!) il Ă©tait heureux, alors sa joie Ă©tait de manger de la bite!âdit-il.
Pendant ce temps, Asiye avait recommencĂ© Ă gĂ©mir et Ă pleurer, son Ă©jaculation Ă©tait proche en dĂ©cembre. Mais je voulais aussi le baiser dans le cul. âJe vais me rebeller, je veux goĂ»ter Ă ton cul aussi, sâil te plaĂźt, mon amour, ne mâĂ©pargne pas ça!Jâai dit. âAyy Kemal, comment cette grosse bite va-t-elle entrer dans le petit trou? Jâai dĂ©jĂ Ă peine pris ta bite dans ma chatte!âdit-il. âRebelle, oui, ça va faire un peu mal quand tu entres, mais alors tu auras dix fois plus de plaisir que ta chatte!Jâai dit. Jâai sorti ma bite de ton moment et lĂ©chĂ© ton trou du cul ââ Mon amour, attrape tes fesses avec tes mains et sĂ©pare-les bien!Jâai dit. Il a fait ce que jâai dit au rebelle. Jâai serrĂ© la tĂȘte de ma bite, et quand je lâai appuyĂ©e contre le trou de son cul, sa tĂȘte est entrĂ©e un peu. âĂa fait tellement mal Kemal, sâil te plaĂźt, ne le fais pas!âil a commencĂ© Ă mendier. Jâai juste attendu, â Toute ta douleur est cette Rebelle, il nây a rien dâautre, tu tây habitueras bientĂŽt, espĂšce de cul, tu supplieras pour une bite! Maintenant, caressez votre chatte dâune seule main!Jâai dit.